Profond respect pour ces femmes capables de nous offrir leur corps et leur coeur avec cette sincérité bluffante. Que de bonheur elles nous apportent !
Mon rapport galant aux femmes a été forgé adolescent à la lecture d'ouvrages romanesques de grands écrivains à cheval entre le XIX et le XX siècle.
Autant dire que mes codes sont aux antipodes de ceux du porno, où la crudité me déplait et la réification de la femme m'offense. J'apprécie le charme courtois du vouvoiement, puis le rapprochement et l'abandon dans le tutoiement.
La vulgarité et la familiarité me rebutent. Délicatesse, douceur, prévenance et petites attentions me touchent. Le contraste avec l'impétuosité sensuelle devient alors d'autant plus savoureux. Je retrouve ces qualités plus fréquemment chez les courtisanes ayant été éduquées dans la culture asiatique classique.
Celles inscrites dans mon TOP 50 (ordonné) m'ont mis la tête à l'envers, chacune à leur façon. Quant à celles qui n'y figurent pas, cela signifie que je n'ai pas l'intention de les revoir.
J'ai rencontré toutes les escortes de ma liste de suivi. Si elles n'ont pas de commentaire, c'est qu'elles l'ont effacé (j'avais sans doute émis une réserve).
Je n'éprouve pas d'animosité pour celles qui m'ont trompé ou déçu. Si quelque chose m'avait plu avant de les voir, je le signale, mais je termine par une ou plusieurs réserves.
Vive les filtres sur les portraits des jolies filles !
Déjà, j'avais été séduit par cette photo où Lu Lu pose tête inclinée, sourire engageant et grands yeux avenants, ses longs cheveux tombant jusqu'aux reins. Mais ce matin à l'ouverture de la porte, quel ravissement ! Je n'avais pas anticipé qu'elle aurait les traits si fins, si harmonieux, et qu'elle irradierait tant de joie de vivre. Une petite tenue craquante amplifiait ces émotions et la rendait diablement désirable.
La douche m'enchanta tout autant. J'ai pu jouer avec le savon tandis que la Belle prenait soin de mon hygiène. Sa peau était douce, lisse et ferme sous les caresses. Ses seins étaient … Ah ! Ses seins ! Ils se lovaient parfaitement au creux de mes mains, et ses tétons pointaient, durs et charnus. J'étais au Paradis.
La suite se déroula dans son alcôve, où sa langue m'a butiné, s'attardant ici et là, puis son adorable bouche prit le relai pour entretenir mon désir d'elle. Bien d'autres choses encore, qu'un doux massage vint clore.
Une petite remarque. Lorsqu'il s'agissait de jeux avec ma langue, soit l'embrasser, soit taquiner son intimité, bien qu'acceptés avec grâce, ces élans restaient contenus. A l'observation d'autres signes, j'ai mis cette réserve sur le compte d'une louable préoccupation sanitaire (après tout, elle ignorait l'attention que je porte à ma santé).
Alice m'avait tout de suite séduit lorsque son profil avait resurgi. Dans une vidéo maintenant disparue, mon cœur avait manqué un battement lors d'une scène fugace où une gracieuse ondulation de sa tête se mariait parfaitement à une adorable mimique espiègle, le tout dans un élan de joyeuse spontanéité.
La distorsion temporelle relevée par ElRaoul dans son dernier commentaire (merci de m'avoir convaincu d'une visite à la Belle sans tarder !), je l'ai vécue à l'identique au contact de cette jeune femme pleine de charme et entièrement dévouée à me satisfaire. L'heure s'est envolée je ne sais comment ! Je suspecte une collision frontale entre quantique et tantrique.
Allons-y pour le partage de deux épisodes câlins ayant participé à cette contraction du temps.
De doux effleurements le long de son intimité encore sèche, et trois soupirs plus tard, la pulpe de mon doigt s'était couverte du fruit de son excitation. Je n'avais jamais été témoin d'une réaction aussi vive ! Flatté, le garçon !
En Andromaque, mon amante me chevaucha très longuement, alternant le rythme et les ondoiements du bassin, les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes, haletante, nous deux isolés du monde sous sa chevelure nous enveloppant de ses fragrances florales. Sa langue venait régulièrement se mêler à la mienne, dans de longs baisers voluptueux...
J'ai chaud, tout à coup. Pas vous ?
Hier en fin de matinée, Jaya m'a accueilli dans une robe moulante et coquine si attirante, qu'elle aiguisa en moi un furieux appétit charnel. Ce n'était pourtant pas gagné : j'avais l'esprit gourd et ensommeillé à mon arrivée. Malgré cette petite forme, mon désir d'elle n'aura pas faibli un seul instant jusqu'à l'apothéose.
Jaya fut une amoureuse douce et généreuse comme j'aime, câline, à la peau soyeuse et caressante, aux seins moelleux et réactifs, à l'intimité si veloutée que je m'y suis longuement attardé, aux lèvres si joliment sculptées que je ne me lassais pas de les embrasser, au cou si gracile que je la manipulais avec précaution. Par delà son mont de Vénus proéminent (je kiffe !), un tatouage (j'adore !).
Ce craquant petit bout de femme se révéla aussi exquise libertine, qui empoignait mon membre pour se caresser : sentir mon extrémité glisser sans peine le long de sa vulve mouillée de plaisir me ravissait. D'ordinaire, je ne partage pas de tels détails licencieux, mais la charge érotique était tellement forte que c'en était beau !
Jaya, encore merci pour les soins que tu m'as accordés. Ça m'a touché. Je n'oublierai pas. Ton parfum discret s'est attardé sur moi tout au long de la journée, et durant tout ce temps, mes pensées se sont nourries de ces précieux moments. Une réminiscence de toi, qui s'est dissipée peu à peu.
@Voyageur77 : pour ma part, aucune photo demandée.
Que les indécis qui ne vous connaissent pas encore se rassurent. Il suffit de regarder tous les commentaires laudatifs, de profils tellement variés, écrits dans des styles différents, mais se rejoignant tous pour exprimer comment vous nous faites chavirer, pour assurer ceux qui ne vous connaissent pas que vous êtes une amante formidable et précieuse, une belle âme, un joyau.
Excellent ! Voilà une annonce extrêmement bien tournée, qui file la métaphore avec discrétion, sans se faire repérer par sa cible.
Vous vous démarquez ; qualification agent double-zéro, "license to (love) (s)kill", sans doute.
Vous forgez votre « légende » d’agent secret autour de l’escorting … Bien vu, comme couverture ! N’est-ce pas sur l’oreiller que l’on récolte les informations les plus précieuses ?
Je regrette qu'il me faille dénicher la planque où siroter un "Vodka Martini, shaken not stirred" devant un bon feu de cheminée crépitant, avec vous, charmante James Bond girl, dans les bras : vous vous destinez aux espions en opération loin de leur base.
Lingling m'a reçu jeudi matin, alors qu'elle achevait sa toilette. Restaient ses beaux cheveux longs et lisses à sécher. Un bien agréable spectacle que d'admirer une jolie femme, coquette et joyeuse, finir de se préparer pour vous.
A peine le temps de me régaler de ses séduisants dessous coquins que les voilà à ses pieds, et nous deux sous la douche. Vive le pouvoir caressant de l'eau savonneuse sur les formes rebondies !
Une fois sur le lit, sa langue ferme et pointue entreprit une exploration fureteuse et hardie de mon corps, des oreilles jusqu'à une partie, euh !, assez secrète, qui n'avait jamais connu ce genre d'hommage, si l'on ne compte la témérité de quelques doigts lors de certains massages approfondis.
Cela marqua le début de longs préliminaires très câlins, qui s'achevèrent entre Andromaque et missionnaire. Tout du long, je m'arrêtais parfois pour suivre des doigts les traits de son visage et la contempler. Les yeux pétillants et un petit sourire aux lèvres, elle y mettait fin avec de longs baisers amoureux.
La séance finit par un massage détente et une nouvelle douche à deux, où les soins prodigués par la belle à mon hygiène intime relancèrent, plus que n'apaisèrent, mon désir d'elle.
Ce matin, j’ai passé une heure très intense en compagnie de Kimi.
Depuis quelques jours, j’accumulais petites tensions et contrariétés. Deux remèdes connus pour traiter ça : activité sportive intense ou déluge de douceur et de tendresse. J’ai choisi la seconde option.
La photo de couverture, combinée à quelques commentaires, m’ont convaincu que Kimi m’apporterait la sérénité recherchée.
L’intuition fut bonne ! J’ai vécu un déferlement de douceur et de tendresse, et une complicité amoureuse dans les câlins. Et que dire des appétits que cette jolie femme pulpeuse éveille, de la douche jusqu’à l’apothéose ? Ses seins sont magnifiques, on perd la tête rien qu’à les caresser. Lourds mais fermes, moelleux, réactifs, quel bonheur !
Et que dire de sa bouche, de sa langue et de ses lèvres ? Elle embrasse merveilleusement bien, mais pas que. J’ai adoré la regarder s’occuper de mon désir d’elle, tandis qu’un miroir fort bien placé, le coquin, y reflétait sa croupe sans rien dissimuler de son intimité.
Je suis sorti complètement apaisé.
Pour rebondir sur le commentaire de @christo37 et éclairer ceux qui ne l'ont pas encore rencontrée, on reconnaît son appartement sur chacune des photos. Celle avec chaise, table et papillons sur les murs, la porte entrouverte derrière accueille la climatisation quand il fait chaud, par exemple.
Lulu a appliqué un filtre pour lisser les traits de son visage et préserver ainsi son anonymat. Un autre s'est chargé de donner un effet sur sa poitrine (pourtant fort bien au naturel, ma langue et mes mains s'en souviennent tout autant que mes yeux). C'est un choix fait selon ses critères et ses contraintes.
On ne parle pas là de présenter des photos qui appartiennent à une autre. Ce sont les siennes, retouchées.
Lorsque Lulu m’a reçu en fin d’après-midi, elle tourbillonnait comme un adorable feu-follet, dopée à l’énergie renvoyée par la musique qui imprégnait la chambre.
D’habitude, j’aime bien prendre les choses en main, mais là, je me suis laissé entraîner par cette petite tornade. Elle m’a octroyé le rôle de son amant/sex toy : elle disposait de mon corps selon ses envies et son plaisir. Nouveau pour moi, mais plaisant, d’autant qu’ayant déjà honoré un rendez-vous galant le jour même, mon endurance n’avait pour limite que celle que je voulais bien lui donner.
Pour terminer la séance, un massage très efficace, vigoureux et relaxant, exécuté avec la précision apportée par l’expérience. J’en ai eu des frissons quasi tout du long.
Je me languissais de Lissa, partie trois semaines en congés.
Enfin la revoilà, et elle est magnifique ! Sa peau a pris le soleil, une belle couleur dorée qui la rend vraiment croquante. Son visage paraît radieux sans qu’elle ait même à sourire.
Une pincée de soleil, un petit tour de magie dont les jolies femmes gardent le secret, et j’aurais presque pu croire qu’il s’agissait d’une autre fille sublime ! Je dis « presque », car sa métamorphose n’a pas passé l’épreuve des câlins : ces baisers là, si savoureux, n’appartiennent qu’à Lissa, comme ces lèvres, si désirables, si sensuelles, si excitantes lorsqu’elle vient chercher les vôtres.
Je ne m’étendrai pas sur les caresses que nous échangeâmes ni sur comment j’ai adoré lorsque nous fusionnâmes. D’autres commentaires, moins elliptiques sur ces points, aideront sans doute les indécis.
J’ai eu un pincement au cœur en partant. Je n’étais pas rassasié d’elle, de sa présence, de sa douceur tranquille. Je l’aurais bien encore câlinée, contemplée, écoutée (en parfait français) … Le reste de la journée.
Je viens de la quitter, mais je pense déjà à revenir.
Hormis les bons commentaires, c’est l’adorable frimousse d’Isabelle, vêtue de cette robe rouge striée à la cuisse, qui m’a interpellé.
L’objectif l’a captée avec une très grande fidélité. Elle est juste plus radieuse au réel, où l’on découvre la douce mélodie de sa voix à l’accent charmant. Qu’est-ce qu’elle est mignonne, cette petite puce !
Son visage, j’y suis revenu plusieurs fois, à contempler la finesse de ses traits, son air rieur, son petit nez, ses lèvres pulpeuses dans lesquelles j’ai croqué tout mon soûl.
Après, Isabelle offre d’autres panoramas magnifiques. Sa taille fine qui fait ressortir les rondeurs de sa croupe à la façon d’un Stradivarius, ses jambes bien ciselées et … Son intimité, ma foi, une gourmandise à déguster avec plaisir.
Puisque me voilà à aborder les coquineries buccales, une mention spéciale pour sa fellation, profonde, douce et énergique à la fois. En fait, je ne saurais décrire précisément. J’étais aux anges, pas à en faire une synthèse rigoureuse.
Avant de se quitter, Isabelle a enfilé un tee shirt marqué « I want to hold you, to hug you, to touch you, to kiss you. »
Oh! C’était le programme de notre matinée!
Dans le petit SMS détaillant ses services, Chloé précise qu’à l’ouverture de la porte, pas de mauvaise surprise qui pousserait à faire demi-tour. Cet après-midi, c’est une jeune femme élancée, toute jolie et très attirante dans sa petite tenue sexy, qui m’a accueilli. L’idée de tourner les talons m’a-t-elle seulement effleuré l’esprit ? Ça ne risquait pas, vu que l’esprit, je venais de le perdre.
Pour la suite, mon amante s’est montrée câline, attentive, tendre et douce comme j’aime, avec de longs baisers très sensuels, quand nos lèvres n’étaient pas occupées ailleurs.
J’ai eu droit à quelques compliments … Ou constats que j’ai décidé de prendre comme tels. C’est agréable à recevoir, surtout à mon âge.
J’ai noté aussi que la Belle se calait fort bien entre mes bras lorsque je l’enlaçais.
À la fin, un doux massage à l’huile laisse le temps de retrouver ses esprits.
Je tiens à remercier chaleureusement monsieur « ElRaoul » de m’avoir conseillé cette adresse.
Ce matin, la porte s’est ouverte sur un joli brin de femme, élancée, épanouie, qui m’attendait vêtue d’une tenue très coquine, ce genre de dessous affriolants qui attisent d’emblée les sens.
Un très beau présage pour la suite, qui se révéla intensément tendre et excitante, romantique et torride, câline et érotique, tout ce mélange, tous ces contrastes dont j’avais besoin, dont j’avais envie, et qui s’exercèrent avec le plus grand naturel.
Cette femme, que l’on sent bien dans sa peau, sûre d’elle et de ses charmes, j’ai adoré la sentir s’abandonner dans mes bras, et m’offrir sa jouissance à deux reprises.
D’ailleurs, alors que j’écris ces lignes, je gonfle de désir à l’évocation de tous ces souvenirs…
Bref ! Pas convaincus, messieurs ? Alors regardez sa vidéo, voyez-la bouger au naturel, écoutez les modulations de sa voix et son accent si mignon. N’est-elle pas charmante ?
Qiqi apprend le français depuis un an ; cela montre sa détermination.
Quand vous lui rendrez visite, discutez avec elle et voyez le niveau atteint en si peu de temps ; cela montre ses capacités.
Angelina m’a reçu ce matin dans la jolie tenue qu’elle porte sur la photo nr 8 en partant de la fin. N’est-elle pas ravissante, allongée telle une déesse des Temps Anciens ?
Mon amante ne tarda guère à exprimer sa sensualité par de généreux baisers voluptueux, où nos langues et nos lèvres ne cessaient de se cajoler.
Une fois la robe tombée (pour les coquins, on accède à la fermeture à glissière par le flanc droit), et alors que la belle nous entraînait pour une douche crapuleuse, s’est dévoilé un charmant tatouage de fleur dont la tige courait le long de son dos comme une caresse.
Après de longs préliminaires polissons, nous fusionnâmes, lèvres collées les unes aux autres. J’ai adoré ce tendre et doux moment… Jusqu’à ce que mon cerveau reptilien débranchât mon cortex en entendant les soupirs de cette délicieuse Angelina devenir plus pressants, et écourtât ce que j’aurais bien durer. J’ai vraiment bien aimé.
La séance se termina par un massage tellement bienvenu que je me suis surpris à deux doigts de plonger dans le sommeil.
Nous avons largement dépassé l’heure. C’est fou comme le temps est passé vite.
Oh ! Quelle belle surprise !
Si monsieur « ElRaoul » ne me l’avait pas recommandée, je n’aurais peut-être jamais goûté aux charmes de cette adorable jeune femme.
Certaines des photos déformant les proportions, je ne m’attendais pas à ce qu’elle dégage autant de féminité.
Sa beauté, mêlant douceur rehaussée d’une pointe de mélancolie et pudeur orientale, m’a fait lui dire ce que son miroir lui confirme tous les jours : comme elle est jolie !
Voici donc pour le premier contact. Le ton était donné : des baisers savoureux, un corps à la fois ferme et généreux qui appelle les caresses et les étreintes… Bref ! J’ai ressenti une tendre complicité amoureuse jusqu’à la toute fin, où Lissa a eu un petit geste charmant en reboutonnant partiellement ma chemise.
Bien des choses encore à dire, mais ce sera pour une prochaine fois.
Je suis conquis.
Emily, ma délicieuse Emily ! Ce matin, j'ai passé un moment merveilleux entre tes bras.
Ta douceur, ta gentillesse, ta prévenance, tes yeux qui pétillent... Je n'avais pas réalisé à quel point ça m'avait manqué. Et encore ! Je ne parle même pas des câlins, à la fois coquins et pleins d'affection. Tu te situes hors catégorie.
Merci aussi pour l'efficacité de tes massages, du corps et de la tête, qui redressent mon dos, enlèvent les tensions et me vident l'esprit.
Je suis sorti sur un petit nuage, apaisé, heureux.
Merci !
J'ai rencontré Maliya hier en tout début de matinée. Femme gentille et attentionnée, qui prodigue un massage à la fois lent et vigoureux, tout à fait bienvenu pour remettre les os en place et détendre les muscles endoloris.
Je me dois de faire mention de sa poitrine délicieusement moelleuse, qui appelle aux caresses et qui ravit les sens.
Passée la douce séance de câlins, on sort apaisé.
Décidément, je suis accroc ! Hier matin, je me suis à nouveau évadé dans les bras d’Emily, et quel voyage délicieux ! J’adore comme elle sait prendre soin de moi, et me laisser surprendre par ses initiatives. Une jouissive escapade hors-temps. On en oublie l’horloge.
Pour amortir le retour au monde extérieur, Emily propose avant de la quitter des chocolats qui adoucissent le sevrage de ses câlins.
Emily, vous aviez promis qu'à ma prochaine visite vous m'offririez davantage de soins et d'attention, et mardi dernier, vous avez tenu parole ! Merci beaucoup pour ces tendres moments magiques.
Vive les filtres sur les portraits des jolies filles !
Déjà, j'avais été séduit par cette photo où Lu Lu pose tête inclinée, sourire engageant et grands yeux avenants, ses longs cheveux tombant jusqu'aux reins. Mais ce matin à l'ouverture de la porte, quel ravissement ! Je n'avais pas anticipé qu'elle aurait les traits si fins, si harmonieux, et qu'elle irradierait tant de joie de vivre. Une petite tenue craquante amplifiait ces émotions et la rendait diablement désirable.
La douche m'enchanta tout autant. J'ai pu jouer avec le savon tandis que la Belle prenait soin de mon hygiène. Sa peau était douce, lisse et ferme sous les caresses. Ses seins étaient … Ah ! Ses seins ! Ils se lovaient parfaitement au creux de mes mains, et ses tétons pointaient, durs et charnus. J'étais au Paradis.
La suite se déroula dans son alcôve, où sa langue m'a butiné, s'attardant ici et là, puis son adorable bouche prit le relai pour entretenir mon désir d'elle. Bien d'autres choses encore, qu'un doux massage vint clore.
Une petite remarque. Lorsqu'il s'agissait de jeux avec ma langue, soit l'embrasser, soit taquiner son intimité, bien qu'acceptés avec grâce, ces élans restaient contenus. A l'observation d'autres signes, j'ai mis cette réserve sur le compte d'une louable préoccupation sanitaire (après tout, elle ignorait l'attention que je porte à ma santé).
Alice m'avait tout de suite séduit lorsque son profil avait resurgi. Dans une vidéo maintenant disparue, mon cœur avait manqué un battement lors d'une scène fugace où une gracieuse ondulation de sa tête se mariait parfaitement à une adorable mimique espiègle, le tout dans un élan de joyeuse spontanéité.
La distorsion temporelle relevée par ElRaoul dans son dernier commentaire (merci de m'avoir convaincu d'une visite à la Belle sans tarder !), je l'ai vécue à l'identique au contact de cette jeune femme pleine de charme et entièrement dévouée à me satisfaire. L'heure s'est envolée je ne sais comment ! Je suspecte une collision frontale entre quantique et tantrique.
Allons-y pour le partage de deux épisodes câlins ayant participé à cette contraction du temps.
De doux effleurements le long de son intimité encore sèche, et trois soupirs plus tard, la pulpe de mon doigt s'était couverte du fruit de son excitation. Je n'avais jamais été témoin d'une réaction aussi vive ! Flatté, le garçon !
En Andromaque, mon amante me chevaucha très longuement, alternant le rythme et les ondoiements du bassin, les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes, haletante, nous deux isolés du monde sous sa chevelure nous enveloppant de ses fragrances florales. Sa langue venait régulièrement se mêler à la mienne, dans de longs baisers voluptueux...
J'ai chaud, tout à coup. Pas vous ?
Hier en fin de matinée, Jaya m'a accueilli dans une robe moulante et coquine si attirante, qu'elle aiguisa en moi un furieux appétit charnel. Ce n'était pourtant pas gagné : j'avais l'esprit gourd et ensommeillé à mon arrivée. Malgré cette petite forme, mon désir d'elle n'aura pas faibli un seul instant jusqu'à l'apothéose.
Jaya fut une amoureuse douce et généreuse comme j'aime, câline, à la peau soyeuse et caressante, aux seins moelleux et réactifs, à l'intimité si veloutée que je m'y suis longuement attardé, aux lèvres si joliment sculptées que je ne me lassais pas de les embrasser, au cou si gracile que je la manipulais avec précaution. Par delà son mont de Vénus proéminent (je kiffe !), un tatouage (j'adore !).
Ce craquant petit bout de femme se révéla aussi exquise libertine, qui empoignait mon membre pour se caresser : sentir mon extrémité glisser sans peine le long de sa vulve mouillée de plaisir me ravissait. D'ordinaire, je ne partage pas de tels détails licencieux, mais la charge érotique était tellement forte que c'en était beau !
Jaya, encore merci pour les soins que tu m'as accordés. Ça m'a touché. Je n'oublierai pas. Ton parfum discret s'est attardé sur moi tout au long de la journée, et durant tout ce temps, mes pensées se sont nourries de ces précieux moments. Une réminiscence de toi, qui s'est dissipée peu à peu.
@Voyageur77 : pour ma part, aucune photo demandée.
Que les indécis qui ne vous connaissent pas encore se rassurent. Il suffit de regarder tous les commentaires laudatifs, de profils tellement variés, écrits dans des styles différents, mais se rejoignant tous pour exprimer comment vous nous faites chavirer, pour assurer ceux qui ne vous connaissent pas que vous êtes une amante formidable et précieuse, une belle âme, un joyau.
Excellent ! Voilà une annonce extrêmement bien tournée, qui file la métaphore avec discrétion, sans se faire repérer par sa cible.
Vous vous démarquez ; qualification agent double-zéro, "license to (love) (s)kill", sans doute.
Vous forgez votre « légende » d’agent secret autour de l’escorting … Bien vu, comme couverture ! N’est-ce pas sur l’oreiller que l’on récolte les informations les plus précieuses ?
Je regrette qu'il me faille dénicher la planque où siroter un "Vodka Martini, shaken not stirred" devant un bon feu de cheminée crépitant, avec vous, charmante James Bond girl, dans les bras : vous vous destinez aux espions en opération loin de leur base.
Lingling m'a reçu jeudi matin, alors qu'elle achevait sa toilette. Restaient ses beaux cheveux longs et lisses à sécher. Un bien agréable spectacle que d'admirer une jolie femme, coquette et joyeuse, finir de se préparer pour vous.
A peine le temps de me régaler de ses séduisants dessous coquins que les voilà à ses pieds, et nous deux sous la douche. Vive le pouvoir caressant de l'eau savonneuse sur les formes rebondies !
Une fois sur le lit, sa langue ferme et pointue entreprit une exploration fureteuse et hardie de mon corps, des oreilles jusqu'à une partie, euh !, assez secrète, qui n'avait jamais connu ce genre d'hommage, si l'on ne compte la témérité de quelques doigts lors de certains massages approfondis.
Cela marqua le début de longs préliminaires très câlins, qui s'achevèrent entre Andromaque et missionnaire. Tout du long, je m'arrêtais parfois pour suivre des doigts les traits de son visage et la contempler. Les yeux pétillants et un petit sourire aux lèvres, elle y mettait fin avec de longs baisers amoureux.
La séance finit par un massage détente et une nouvelle douche à deux, où les soins prodigués par la belle à mon hygiène intime relancèrent, plus que n'apaisèrent, mon désir d'elle.
Ce matin, j’ai passé une heure très intense en compagnie de Kimi.
Depuis quelques jours, j’accumulais petites tensions et contrariétés. Deux remèdes connus pour traiter ça : activité sportive intense ou déluge de douceur et de tendresse. J’ai choisi la seconde option.
La photo de couverture, combinée à quelques commentaires, m’ont convaincu que Kimi m’apporterait la sérénité recherchée.
L’intuition fut bonne ! J’ai vécu un déferlement de douceur et de tendresse, et une complicité amoureuse dans les câlins. Et que dire des appétits que cette jolie femme pulpeuse éveille, de la douche jusqu’à l’apothéose ? Ses seins sont magnifiques, on perd la tête rien qu’à les caresser. Lourds mais fermes, moelleux, réactifs, quel bonheur !
Et que dire de sa bouche, de sa langue et de ses lèvres ? Elle embrasse merveilleusement bien, mais pas que. J’ai adoré la regarder s’occuper de mon désir d’elle, tandis qu’un miroir fort bien placé, le coquin, y reflétait sa croupe sans rien dissimuler de son intimité.
Je suis sorti complètement apaisé.
Pour rebondir sur le commentaire de @christo37 et éclairer ceux qui ne l'ont pas encore rencontrée, on reconnaît son appartement sur chacune des photos. Celle avec chaise, table et papillons sur les murs, la porte entrouverte derrière accueille la climatisation quand il fait chaud, par exemple.
Lulu a appliqué un filtre pour lisser les traits de son visage et préserver ainsi son anonymat. Un autre s'est chargé de donner un effet sur sa poitrine (pourtant fort bien au naturel, ma langue et mes mains s'en souviennent tout autant que mes yeux). C'est un choix fait selon ses critères et ses contraintes.
On ne parle pas là de présenter des photos qui appartiennent à une autre. Ce sont les siennes, retouchées.
Lorsque Lulu m’a reçu en fin d’après-midi, elle tourbillonnait comme un adorable feu-follet, dopée à l’énergie renvoyée par la musique qui imprégnait la chambre.
D’habitude, j’aime bien prendre les choses en main, mais là, je me suis laissé entraîner par cette petite tornade. Elle m’a octroyé le rôle de son amant/sex toy : elle disposait de mon corps selon ses envies et son plaisir. Nouveau pour moi, mais plaisant, d’autant qu’ayant déjà honoré un rendez-vous galant le jour même, mon endurance n’avait pour limite que celle que je voulais bien lui donner.
Pour terminer la séance, un massage très efficace, vigoureux et relaxant, exécuté avec la précision apportée par l’expérience. J’en ai eu des frissons quasi tout du long.
Je me languissais de Lissa, partie trois semaines en congés.
Enfin la revoilà, et elle est magnifique ! Sa peau a pris le soleil, une belle couleur dorée qui la rend vraiment croquante. Son visage paraît radieux sans qu’elle ait même à sourire.
Une pincée de soleil, un petit tour de magie dont les jolies femmes gardent le secret, et j’aurais presque pu croire qu’il s’agissait d’une autre fille sublime ! Je dis « presque », car sa métamorphose n’a pas passé l’épreuve des câlins : ces baisers là, si savoureux, n’appartiennent qu’à Lissa, comme ces lèvres, si désirables, si sensuelles, si excitantes lorsqu’elle vient chercher les vôtres.
Je ne m’étendrai pas sur les caresses que nous échangeâmes ni sur comment j’ai adoré lorsque nous fusionnâmes. D’autres commentaires, moins elliptiques sur ces points, aideront sans doute les indécis.
J’ai eu un pincement au cœur en partant. Je n’étais pas rassasié d’elle, de sa présence, de sa douceur tranquille. Je l’aurais bien encore câlinée, contemplée, écoutée (en parfait français) … Le reste de la journée.
Je viens de la quitter, mais je pense déjà à revenir.
Hormis les bons commentaires, c’est l’adorable frimousse d’Isabelle, vêtue de cette robe rouge striée à la cuisse, qui m’a interpellé.
L’objectif l’a captée avec une très grande fidélité. Elle est juste plus radieuse au réel, où l’on découvre la douce mélodie de sa voix à l’accent charmant. Qu’est-ce qu’elle est mignonne, cette petite puce !
Son visage, j’y suis revenu plusieurs fois, à contempler la finesse de ses traits, son air rieur, son petit nez, ses lèvres pulpeuses dans lesquelles j’ai croqué tout mon soûl.
Après, Isabelle offre d’autres panoramas magnifiques. Sa taille fine qui fait ressortir les rondeurs de sa croupe à la façon d’un Stradivarius, ses jambes bien ciselées et … Son intimité, ma foi, une gourmandise à déguster avec plaisir.
Puisque me voilà à aborder les coquineries buccales, une mention spéciale pour sa fellation, profonde, douce et énergique à la fois. En fait, je ne saurais décrire précisément. J’étais aux anges, pas à en faire une synthèse rigoureuse.
Avant de se quitter, Isabelle a enfilé un tee shirt marqué « I want to hold you, to hug you, to touch you, to kiss you. »
Oh! C’était le programme de notre matinée!
Dans le petit SMS détaillant ses services, Chloé précise qu’à l’ouverture de la porte, pas de mauvaise surprise qui pousserait à faire demi-tour. Cet après-midi, c’est une jeune femme élancée, toute jolie et très attirante dans sa petite tenue sexy, qui m’a accueilli. L’idée de tourner les talons m’a-t-elle seulement effleuré l’esprit ? Ça ne risquait pas, vu que l’esprit, je venais de le perdre.
Pour la suite, mon amante s’est montrée câline, attentive, tendre et douce comme j’aime, avec de longs baisers très sensuels, quand nos lèvres n’étaient pas occupées ailleurs.
J’ai eu droit à quelques compliments … Ou constats que j’ai décidé de prendre comme tels. C’est agréable à recevoir, surtout à mon âge.
J’ai noté aussi que la Belle se calait fort bien entre mes bras lorsque je l’enlaçais.
À la fin, un doux massage à l’huile laisse le temps de retrouver ses esprits.
Je tiens à remercier chaleureusement monsieur « ElRaoul » de m’avoir conseillé cette adresse.
Ce matin, la porte s’est ouverte sur un joli brin de femme, élancée, épanouie, qui m’attendait vêtue d’une tenue très coquine, ce genre de dessous affriolants qui attisent d’emblée les sens.
Un très beau présage pour la suite, qui se révéla intensément tendre et excitante, romantique et torride, câline et érotique, tout ce mélange, tous ces contrastes dont j’avais besoin, dont j’avais envie, et qui s’exercèrent avec le plus grand naturel.
Cette femme, que l’on sent bien dans sa peau, sûre d’elle et de ses charmes, j’ai adoré la sentir s’abandonner dans mes bras, et m’offrir sa jouissance à deux reprises.
D’ailleurs, alors que j’écris ces lignes, je gonfle de désir à l’évocation de tous ces souvenirs…
Bref ! Pas convaincus, messieurs ? Alors regardez sa vidéo, voyez-la bouger au naturel, écoutez les modulations de sa voix et son accent si mignon. N’est-elle pas charmante ?
Qiqi apprend le français depuis un an ; cela montre sa détermination.
Quand vous lui rendrez visite, discutez avec elle et voyez le niveau atteint en si peu de temps ; cela montre ses capacités.
Angelina m’a reçu ce matin dans la jolie tenue qu’elle porte sur la photo nr 8 en partant de la fin. N’est-elle pas ravissante, allongée telle une déesse des Temps Anciens ?
Mon amante ne tarda guère à exprimer sa sensualité par de généreux baisers voluptueux, où nos langues et nos lèvres ne cessaient de se cajoler.
Une fois la robe tombée (pour les coquins, on accède à la fermeture à glissière par le flanc droit), et alors que la belle nous entraînait pour une douche crapuleuse, s’est dévoilé un charmant tatouage de fleur dont la tige courait le long de son dos comme une caresse.
Après de longs préliminaires polissons, nous fusionnâmes, lèvres collées les unes aux autres. J’ai adoré ce tendre et doux moment… Jusqu’à ce que mon cerveau reptilien débranchât mon cortex en entendant les soupirs de cette délicieuse Angelina devenir plus pressants, et écourtât ce que j’aurais bien durer. J’ai vraiment bien aimé.
La séance se termina par un massage tellement bienvenu que je me suis surpris à deux doigts de plonger dans le sommeil.
Nous avons largement dépassé l’heure. C’est fou comme le temps est passé vite.
Oh ! Quelle belle surprise !
Si monsieur « ElRaoul » ne me l’avait pas recommandée, je n’aurais peut-être jamais goûté aux charmes de cette adorable jeune femme.
Certaines des photos déformant les proportions, je ne m’attendais pas à ce qu’elle dégage autant de féminité.
Sa beauté, mêlant douceur rehaussée d’une pointe de mélancolie et pudeur orientale, m’a fait lui dire ce que son miroir lui confirme tous les jours : comme elle est jolie !
Voici donc pour le premier contact. Le ton était donné : des baisers savoureux, un corps à la fois ferme et généreux qui appelle les caresses et les étreintes… Bref ! J’ai ressenti une tendre complicité amoureuse jusqu’à la toute fin, où Lissa a eu un petit geste charmant en reboutonnant partiellement ma chemise.
Bien des choses encore à dire, mais ce sera pour une prochaine fois.
Je suis conquis.
Emily, ma délicieuse Emily ! Ce matin, j'ai passé un moment merveilleux entre tes bras.
Ta douceur, ta gentillesse, ta prévenance, tes yeux qui pétillent... Je n'avais pas réalisé à quel point ça m'avait manqué. Et encore ! Je ne parle même pas des câlins, à la fois coquins et pleins d'affection. Tu te situes hors catégorie.
Merci aussi pour l'efficacité de tes massages, du corps et de la tête, qui redressent mon dos, enlèvent les tensions et me vident l'esprit.
Je suis sorti sur un petit nuage, apaisé, heureux.
Merci !
J'ai rencontré Maliya hier en tout début de matinée. Femme gentille et attentionnée, qui prodigue un massage à la fois lent et vigoureux, tout à fait bienvenu pour remettre les os en place et détendre les muscles endoloris.
Je me dois de faire mention de sa poitrine délicieusement moelleuse, qui appelle aux caresses et qui ravit les sens.
Passée la douce séance de câlins, on sort apaisé.
Je l'ai rencontrée en début d'année. Ling Ling est un petit bout de femme gentille et appliquée.
Décidément, je suis accroc ! Hier matin, je me suis à nouveau évadé dans les bras d’Emily, et quel voyage délicieux ! J’adore comme elle sait prendre soin de moi, et me laisser surprendre par ses initiatives. Une jouissive escapade hors-temps. On en oublie l’horloge.
Pour amortir le retour au monde extérieur, Emily propose avant de la quitter des chocolats qui adoucissent le sevrage de ses câlins.
Emily, vous aviez promis qu'à ma prochaine visite vous m'offririez davantage de soins et d'attention, et mardi dernier, vous avez tenu parole ! Merci beaucoup pour ces tendres moments magiques.