Profond respect pour ces femmes capables de nous offrir leur corps et leur coeur avec cette sincérité bluffante. Que de bonheur elles nous apportent !
Mon rapport galant aux femmes a été forgé adolescent à la lecture d'ouvrages romanesques de grands écrivains à cheval entre le XIX et le XX siècle.
Autant dire que mes codes sont aux antipodes de ceux du porno, où la crudité me déplait et la réification de la femme m'offense. J'apprécie le charme courtois du vouvoiement, puis le rapprochement et l'abandon dans le tutoiement.
La vulgarité et la familiarité me rebutent. Délicatesse, douceur, prévenance et petites attentions me touchent. Le contraste avec l'impétuosité sensuelle devient alors d'autant plus savoureux. Je retrouve ces qualités plus fréquemment chez les courtisanes ayant été éduquées dans la culture asiatique classique.
Celles inscrites dans mon TOP 50 (ordonné) m'ont mis la tête à l'envers, chacune à leur façon. Quant à celles qui n'y figurent pas, cela signifie que je n'ai pas l'intention de les revoir.
J'ai rencontré toutes les escortes de ma liste de suivi. Si elles n'ont pas de commentaire, c'est qu'elles l'ont effacé (j'avais sans doute émis une réserve).
Je n'éprouve pas d'animosité pour celles qui m'ont trompé ou déçu. Si quelque chose m'avait plu avant de les voir, je le signale, mais je termine par une ou plusieurs réserves.
Très appréciable : Xiaoxiao veille à ne pas nous faire patienter dehors. La semaine dernière, je n'avais pas dû attendre plus d'une minute. Mardi matin, encore plus fort. Je n’avais pas tapé deux caractères pour la prévenir que, déjà, ses consignes m'étaient envoyées !
Quand la porte s’ouvrit, et comme la fois précédente, ce furent des baisers chaleureux qui m’accueillirent. Mes mains goûtèrent rapidement au soyeux de sa peau, à la tonicité de son petit corps raffermi par le sport, et à ses seins savoureux qui se logent si bien dans la paume. Elles caressèrent aussi les lignes de son visage, tandis que ma bouche se régalait du tendre de ses lèvres. Une pause, parfois, histoire de profiter un instant de ses yeux pétillants et enjoués.
J’ai eu très envie d’inverser un temps les rôles, de me consacrer à elle, de lui procurer du plaisir. Calé entre ses jambes offertes, je la butinais, me délectant de ses chairs enflées de désir, de son suc, de ses réactions, la sentant proche de venir (et elle m'avertissait alors avec une tonalité adorable dans la voix), puis s’éloigner un peu, puis revenir, et onduler ainsi sur la crête à plusieurs reprises, jusqu’à ce qu’elle basculât. Quel bonheur !
Elle vous récompense alors d’un sourire de reconnaissance et de quelques mots qui réchauffent le cœur, pour se montrer ensuite très généreuse avec vous.
Alors certes, en regardant la vidéo de Xiaoxiao, j’avais noté le charme qui se dégageait de sa démarche lente et gracieuse, accompagnée de son petit sourire presque timide. Et ce drapé de satin qu’elle rabattait sur sa jolie silhouette comme les ailes d’un ange m’avait touché.
En revanche, je ne m’attendais pas du tout à ce que cette demoiselle me ravisse à ce point ! Cette rencontre m’a enchanté. Je me suis abreuvé de sa tendresse, de sa prévenance, de ses longs baisers langoureux et de ses câlins.
Et cela a commencé dès que la porte s’est refermée. Une douche et quelques embrassades plus tard, je savais déjà que j’allais passer un moment merveilleux.
Xiaoxiao s’enquérait parfois de ce que je ressentais, levant sa radieuse petite frimousse encadrée par sa longue chevelure douce et lisse : « Do you like it? ». Oh oui !
Et que dire de son corps, menu, ferme mais moelleux là où nos mains polissonnes aiment empoigner, sa peau douce appelant les caresses, son gabarit se calant à la perfection dans les étreintes amoureuses, tous ses tissus érectiles réagissant avec bonheur à la succion ? Un régal !
Certains terminent leurs appréciations par : « Je reviendrai ». Ok. Mais peut-être dans un mois ou dans un an.
Je dis pareil qu’eux, sauf que l’impatience me démange : je me réserve déjà les services de cette amante adorable pour ma prochaine aventure coquine.
Ah ! Petit complément sur mon appréciation de la veille. Pour une heure de temps ou plus, il y a du nouveau depuis la visite de @NoFakeReference le mois dernier.
Ceux suffisamment agiles pour franchir un bord de baignoire se régaleront d’une douche très polissonne, et profiteront avec délice de l’excitant pouvoir glissant et caressant du savon liquide. Y a-t-il plus belle manière de partir à la découverte de la féminité de Lizanna, son ventre plat et ses cuisses fermes, sa poitrine à se damner, tandis que mon désir, bien durci par tant d’intensité érotique, lui massait le bas du dos ?
Pour mon plus grand bonheur, ses initiatives buccales s’y exprimèrent aussi avec talent, en même temps que cette charmante nymphe, agenouillée, plongeait son regard dans mes yeux, attentive aux sensations qu’elle me procurait.
Cela me plaisait alors de replacer quelques mèches échappées de sa longue chevelure attachée à la va-vite, leur évitant d’être trempées : cet infime négligé dans sa coiffure, comme un doux abandon involontaire, débordait à mes yeux, chacun sa perception, de grâce féminine.
Chez Lizanna (Bonnie), la forme de ses lèvres m’émeut. Sur l’un des portraits, le filtre les a fidèlement restituées, préservant leur courbure élégante, sexy, tout à mon goût.
Elles dégagent à mes yeux une pincée de mélancolie mêlée de romantisme, le tout pimenté d’une touche d’érotisme. Ce mélange détonnant éveille de douces tentations charnelles et rend cette jeune femme particulièrement attirante, attachante même.
Ces impressions se sont confirmées ce matin. Quel joli brin de femme ! Et puis son corps taillé pour l’amour appelle les étreintes, les caresses, les baisers. Comme c’était bon de la serrer contre moi, elle lascive et tendrement offerte, ou de parcourir des doigts et du regard les lignes de son visage, la pulpe de ses lèvres, son petit nez si gracieux, ses courbes voluptueuses, son intimité, ses seins … Ah ! Ses seins ! L’équilibre parfait, idéal ! Lourds et pleins mais fermes, généreux, galbés à la perfection, doux sous les caresses, pointant dru sous les stimulations digitales et buccales, excitants à contempler et à saisir, que cette beauté soit allongée ou bien jouant de sa bouche avec mon désir (ce qu’elle fait d’ailleurs à merveille, quelles délicieuses sensations !).
Bref ! Une belle parenthèse coquine après laquelle son chat sympathique ne m’en voulut pas trop d’avoir accaparé l’affection de sa maîtresse.
Chez Bonnie (Lizanna), la forme de ses lèvres m’émeut. Sur l’un des portraits, le filtre les a fidèlement restituées, préservant leur courbure élégante, sexy, tout à mon goût.
Elles dégagent à mes yeux une pincée de mélancolie mêlée de romantisme, le tout pimenté d’une touche d’érotisme. Ce mélange détonnant éveille de douces tentations charnelles et rend cette jeune femme particulièrement attirante, attachante même.
Ces impressions se sont confirmées ce matin. Quel joli brin de femme ! Et puis son corps taillé pour l’amour appelle les étreintes, les caresses, les baisers. Comme c’était bon de la serrer contre moi, elle lascive et tendrement offerte, ou de parcourir des doigts et du regard les lignes de son visage, la pulpe de ses lèvres, son petit nez si gracieux, ses courbes voluptueuses, son intimité, ses seins … Ah ! Ses seins ! L’équilibre parfait, idéal ! Lourds et pleins mais fermes, généreux, galbés à la perfection, doux sous les caresses, pointant dru sous les stimulations digitales et buccales, excitants à contempler et à saisir, que cette beauté soit allongée ou bien jouant de sa bouche avec mon désir (ce qu’elle fait d’ailleurs à merveille, quelles délicieuses sensations !).
Bref ! Une belle parenthèse coquine après laquelle son chat sympathique ne m’en voulut pas trop d’avoir accaparé l’affection de sa maîtresse.
Je prends toujours des séances d’une heure minimum : de tels moments, si délicieux, appellent à prolonger l’excitation, en s’abreuvant jusqu’à plus soif de volupté et de sensualité. Le plaisir explose le plus tard possible, et tant mieux s’il en reste un peu pour un massage vigoureux ou relaxant.
Mais Maria avait son idée sur le déroulé convenant à ce format temporel. Elle prit la direction des opérations, avec câlins et préliminaires enchaînés rapidement, le reste aussi. Et me voilà tout penaud, ma cartouche grillée alors même qu’il nous restait bien du temps.
Le désarroi m’habita un moment, jusqu’à ce que le massage prît une tournure plus polissonne. Oh ! Oh !
Son intention était donc de ranimer mes ardeurs pour m’offrir un second orgasme. Honnêtement, je pensais ne plus pouvoir renaître en un temps si court. C’était sans compter le talent de Maria, elle réagissant sur l’instant aux départs de flamme ou aux coups de mou du loustic, jusqu’à ce que l’animal retrouvât sa vigueur sans plus réclamer assistance.
Sans divulguer de secret d’état, les jeux de bouche, dans leur diversité, jouèrent un rôle certain. Les jeux de mains aussi.
Je n’aurais pas parié un kopeck sur ce regain de sève, mais Maria avait confiance en ses capacités à ressusciter un homme.
Après plusieurs semaines d’inactivité forcée, j’aspirais à me laisser submerger par un flot de sensualité et de complicité charnelle. J’ai jeté mon dévolu sur Bee, suivant en cela les conseils de @Celeste184, enthousiaste sur la demoiselle.
En parcourant sa fiche, je note deux photos illustrant des personnalités distinctes.
Le premier portrait suggère une certaine réserve, avec sa frimousse inclinée sur le côté, le regard levé vers l’appareil, ses lèvres retenant un petit sourire, sa peau aussi blanche que le lait.
Le second dévoile un côté espiègle, avec deux oreilles de lapin et sa langue dardant entre ses lèvres, comme une invitation à vous embrasser.
Alors ?
Et bien, c’est l’espièglerie qui l’emporte chez Bee ! Elle vous dévore du regard avant de vous embrasser avec fougue, jouant de sa coquine langue fureteuse. Son nom de scène prend sens : Bee est une butineuse, et vous êtes le miel dont elle se nourrit.
Je terminerai en évoquant deux moments forts, parmi d’autres : (1) ses jeux de bouche sur mon désir d’elle, profonds, enveloppants, qui me contraignirent à quelques pauses tellement les sensations étaient puissantes, et (2) la fusion de nos corps, empreinte de sensualité et de tendresse amoureuse, où je peinais à contenir mon excitation tellement son intimité m’était accueillante.
Feier descendit m’accueillir. Dans les escaliers, cette petite gazelle sautillante me devançait d’un pas vif. Son pantalon bien coupé accentuait ses hanches et sa taille fine. J’aurais bien prolongé cette contemplation un étage de plus.
Lorsqu’elle se dévêtit, je changeai d’avis sur-le-champ. La belle dévoila des dessous torrides présentant bien des opportunités d’explorations infiltrantes.
À ce stade, mon vit vire d’ordinaire au dur et ne mollit pas avant l’extase. Aujourd’hui, la batterie Duracell prenait mal la charge. Je découvrais mes organes sensibles au froid mordant, le moteur toussotant au démarrage et peinant par la suite.
Seules les délicieuses aspirations mouillées de mon amante, combinées aux taquineries de sa langue, parvenaient à maintenir raide ma dignité.
Et pourtant, ses baisers profonds et veloutés, me transportaient ; sa langue coquine me léchait partout tandis que ses seins pointus me caressaient ; son intimité mouillait à ravir ; mes mains glissaient sur sa peau lisse, satinée, et se délectaient de ses courbes excitantes ; un miroir polisson témoignait de nos ébats… Tout était là pour vivre un moment formidable.
Pour clore, Feier me détendit avec un massage de qualité appuyé là où ça soulage. En dernier réconfort, elle propose des bonbons avant de la quitter. Le sucré atténue la perte des douceurs qu'elle nous prodigue.
On rencontre parfois dans les retours d’expérience un cri du cœur que je ne m’entends pas prononcer un jour : « J’aimerais bien la garder pour moi tout seul ». Pour l’heure, la possessivité et l’exigence d’exclusivité ne m’habitent pas vraiment.
En revanche, pendant les câlins, cela me plaît de croire, entre autres, que celle qui m’apporte du bonheur avec tant de conviction, ressente une brève envie de me garder pour elle toute seule.
Je ne suis pas naïf, et l’illusion de le croire me suffit amplement. Une fois la magie dissipée, la passion s'évanouit, ma raison reprend les rênes et cantonne ces illusions à l’heure passée, sans les renier, me laissant de beaux souvenirs. Un spectacle de prestidigitation : un jeu d’apparences très réalistes, j’en prends plein les mirettes et je ressors avec le sourire.
Point-barre.
D’ordinaire, il en est ainsi.
Mais pour Caihong, j’aime bien l’idée de lui plaire même dans le réel, et j'interprète certains signes tangibles comme y parvenant un peu. Ces signes, s’agit-il aussi d’illusions ? Peut-être. Ou pas.
Quoi qu'il en soit, à lire certaines des évaluations plus bas, je comprends que je ne suis pas le seul à souhaiter m’attirer ses bonnes grâces.
J’en viendrais presque à faire le paon.
Pour ceux qui la connaîssent, cette femme n’est-elle pas envoûtante ?
J’avais rencontré Caihong très récemment sous son autre profil. Elle avait illuminé ma journée !
Caihong signifierait « arc-en-ciel », et interagissant aujourd'hui avec le temps pluvieux, sa douce lumière intérieure a égaillé ma journée de rais iridescents.
Quel registre illustre le mieux ses talents ? Affectueux ? Sensuel ? Érotique ? Relaxant ? Je ne trancherai pas. Abordons chacun d'eux.
Caihong m’enveloppa d’une exquise tendresse amoureuse, m’embrassant d’abondance (je fonds !), parcourant mon corps de sa langue et de ses doigts, passant sa main dans mes cheveux, se serrant contre moi... J’ai adoré ses câlins.
Elle déborda aussi de sensualité, jouant de mon impatience alors qu’elle se déshabillait ou, plus tard, attachant ses cheveux assise sur mon bassin, son corps arqué et ses seins tendus offerts à mon regard et à mes caresses.
Elle veilla à ce que mon désir surfât sur la crête de mes ondes de plaisir, atténuant parfois son ardeur pour ne pas me faire chavirer. Aspirations, succions, langue agile titillant avec gourmandise la hampe et son extrémité … J’aurais perdu la tête si je n’avais pas détourné mon attention sur son intimité.
Quant à la fusion de nos corps … Miam !
Notre moment se termina par un massage, tendre et coquin d’abord, énergique ensuite, qui me détendit pleinement.
Ça se confirme : j’adore faire l’amour avec Xixi !
Je l’avais prévenue qu’elle pourrait ne pas me reconnaître, que j’avais coupé mes cheveux vraiment très courts. Une fois dans mes bras, mon amante a chuchoté : « tu es beau, comme ça » et, plus tard, elle laissa ses doigts courir le long de mon visage et dans mes cheveux. C’était très plaisant à entendre et très tendre. Ça et quelques mots doux, elle m’avait de nouveau conquis.
Doublement conquis ! Xixi me dévora tout du long de ses baisers profonds, généreux, excitants et apaisants à la fois (lisez @ToutenUn du 25/11). Lorsque nos langues et nos corps se pressaient avec davantage d’ardeur, cette petite chérie laissait des soupirs de plaisir s’échapper. Quel merveilleux stimulant !
Triplement conquis ! Voici une découverte fabuleuse, que j’avais manquée la première fois. En Andromaque, son ventre d’une exquise étroitesse enserrait avec fermeté mon désir d’elle, et mon extrémité percevait avec une grande acuité l’effet de glisser entre ses chairs comprimées. Un régal !
Gage du plaisir que Xixi m’avait procuré, mon membre garda sa vigueur encore longtemps après l’orgasme, nullement ramolli par l’effort, refusant de reconnaître qu’il n’avait plus 20 ans.
L’animal faillit me convaincre qu’il pouvait enchaîner direct, mais j’ai préféré lui épargner l’humiliation d’un coup de mou en pleine action.
Cette jolie femme au regard franc affiche l’assurance de celles qui plaisent aux hommes et qui le savent, mais une fois croquée la première bouchée de ce fruit succulent, on se délecte de sa douceur sucrée, de sa tendresse et de ses câlines attentions.
La décoration de sa chambre reflète cette facette de son âme, en restituant une atmosphère paisible, familière, imprégnée d’une touchante innocence, offrant un refuge tranquille propice aux échanges de caresses.
Pour mieux me butiner, mon amante attacha négligemment sa longue chevelure avec une grâce toute féminine. J’étais séduit. De là commença un voyage empreint de sensualité et de volupté. D’un érotisme torride aussi : sa bouche se révéla follement accueillante et joueuse, léchant et suçant, s’efforçant de m’engloutir tout entier ; sensations incroyables garanties.
Tandis qu’elle vous gâte, impossible de rester impassible face à son corps sculpté pour l’amour. Ses seins sont un régal à contempler, palper, sucer et téter. Ses courbes si lisses et si bien dessinées appellent les caresses. Son visage harmonieux réclame les baisers. Et entre ses jambes… Ah ! Quel plaisir ! Mais quel plaisir d’y être ! J’aurais voulu prolonger ce moment, mais ma jouissance s’est imposée bien trop tôt, la diablesse.
Le temps a filé si vite qu’il n’en restait plus pour goûter son massage. Ce sera pour la prochaine fois.
Monsieur @Pervalet, j’entends ce que vous dites en seconde partie de votre évaluation, mais ma perception diffère de la vôtre.
De mon point de vue, on signe un contrat pour le déroulement d’une prestation sur un format horaire déterminé.
Si la fille ne respecte pas l’horaire, on la qualifie de « chrono » (ce qui n’est pas le cas ici).
Si le client déborde et qu’aucun rendez-vous ne suit, il a la possibilité avec son accord d’étendre la durée du contrat en ajoutant quelques roses 🌹. Cela m’est déjà arrivé.
Passé le temps contractuel, ce temps-là lui appartient à nouveau : envoyer des messages, se nourrir, échanger avec une amie…
Je comprends de votre évaluation que, sur cette demi-heure, Xixi vous a comblé. A vos yeux, a-t-elle rempli sa part du contrat sur le temps contractuel ?
Les photos de cette femme sublime m'avaient charmé. Elle y dégage une sensualité à la fois douce, raffinée et torride, un condensé de féminité propre à enflammer mon désir.
C’était avant de découvrir sa présentation.
Là, quelle belle surprise ! Ses mots touchèrent juste. « femme solaire », « tourbillon de douceur mêlé à une vague de sensualité », « beauté et douceur naturelles » …
C’en était fait, l’adorable chasseresse m’avait harponné. Je ne brûlais plus que de l’impatience de la croquer. Elle y répondit favorablement, et nous vécûmes notre moment.
Mon post précédent se terminait comment, déjà ? « Rêver, c’est bien ; le vivre, c’est mieux » ?
C’est clair !
Imaginez serrer dans vos bras ce corps si ferme, presque félin, aux jambes fuselées, au ventre plat collé au vôtre, aux lèvres gourmandes généreuses de baisers, aux fesses souples et aux seins délicieusement moelleux, à la peau brune au grain si soyeux, aux courbes diablement féminines qui brillent sous la douce lumière, comme huilées ...
Excitant !
Et cette femme pleine de tendresse n’est là que pour vous, à se préoccuper de votre bien-être, de votre plaisir, de votre jouissance. Elle se donne tout à vous.
La charmante Honey vous quitte sur une étreinte passionnée, éveillant en vous le désir de rester et de la butiner à nouveau.
J’ai grand plaisir à vous découvrir par le biais de vos photos. Elles sont magnifiques, et le mérite ne revient guère au photographe : le modèle est sublime, quel que soit l’angle et l’éclairage.
Combinés, ces deux portraits de vous vêtue de cette éblouissante robe de soirée inspireraient pour sûr un joaillier séduit par la grâce élégante et sensuelle que vous dégagez.
En remaniant les formes et les courbes, ce charmant bandeau posé négligemment sur votre cuisse se métamorphoserait en le bras d’un amant, et le reste de votre robe, en son corps fusionné au vôtre.
De ce croquis, cet artisan, artiste admirateur de votre féminité, concevrait un joyau symbole de son brûlant désir de vous.
Pour l’amant, il sertirait une pierre sanguine, veinée aux motifs de votre robe, nervures où pulseraient l’excitation, l’ivresse et le plaisir. Ce gemme embrasserait vos courbes harmonieuses et empoignerait vos rondeurs exquises, celles-ci moulées dans un or aux reflets charnels, et satiné aux teintes délicatement tropicales de votre peau.
Le créateur devrait aussi relever un défi. On jurerait qu’une douce lumière intérieure irradie de votre décolleté, sa source côté cœur. Cette aura, comment en restituerait-il l’effet ?
Pour l’heure, je vous imagine et je vous fantasme. C'est bien.
Bientôt si possible, je m'abandonnerai à vos caresses. C'est mieux !
Si j’avais trois secondes pour présenter Anny, ce serait sans hésiter avec ces mots-là.
Elle se donne sans retenue, de toute son âme et de toute sa fougue amoureuse. Elle ne le joue pas, elle le vit ; vous êtes son Roi, et elle vous gâte, et elle vous aime. Son authenticité ne ment pas, qui s’exprime aussi dans l’éclat de ses yeux, et dans ses baisers profonds, pénétrants, affamés de votre langue et de vos lèvres.
Une femme si attentionnée, si affectueuse, si généreuse, on veut lui rendre la pareille. Ce matin, la scène suivante m’a particulièrement enflammé.
Partie à la découverte de ses chairs intimes, ma bouche s’est régalée de son exquise vulve charnue, mouillée abondamment d’un désir au goût sucré. Mon amante me guida avec des « là, c’est bien » de plus en plus pressants, jusqu’à atteindre l’orgasme. J’étais aux anges.
Son hypersensibilité disparue, je repris mes caresses buccales, excité de sentir comme son clitoris saillait davantage. La belle me fit grâce d’un deuxième orgasme.
La séance était loin de finir, qu’Anny m’avait déjà offert de quoi illuminer cette journée.
Nous nous quittâmes sur des baisers passionnés. En naquit une érection qui affronta sans coup férir le froid et l’humidité : le souvenir de nos ébats me colla longtemps à la peau.
Si j’avais trois secondes pour présenter Anny, ce serait sans hésiter avec ces mots-là.
Elle se donne sans retenue, de toute son âme et de toute sa fougue amoureuse. Elle ne le joue pas, elle le vit ; vous êtes son Roi, et elle vous gâte, et elle vous aime. Son authenticité ne ment pas, qui s’exprime aussi dans l’éclat de ses yeux, et dans ses baisers profonds, pénétrants, affamés de votre langue et de vos lèvres.
Une femme si attentionnée, si affectueuse, si généreuse, on veut lui rendre la pareille. Ce matin, la scène suivante m’a particulièrement enflammé.
Partie à la découverte de ses chairs intimes, ma bouche s’est régalée de son exquise vulve charnue, mouillée abondamment d’un désir au goût sucré. Mon amante me guida avec des « là, c’est bien » de plus en plus pressants, jusqu’à atteindre l’orgasme. J’étais aux anges.
Son hypersensibilité disparue, je repris mes caresses buccales, excité de sentir comme son clitoris saillait davantage. La belle me fit grâce d’un deuxième orgasme.
La séance était loin de finir, qu’Anny m’avait déjà offert de quoi illuminer cette journée.
Nous nous quittâmes sur des baisers passionnés. En naquit une érection qui affronta sans coup férir le froid et l’humidité : le souvenir de nos ébats me colla longtemps à la peau.
« Cette robe lui va si bien ; comme cela met en valeur sa silhouette élancée ! Comme cette femme est gracieuse ! » furent les premières pensées à émerger du flot de douces émotions que ZhuZhu éveilla en moi hier en début d'après-midi. Je découvrais une beauté tranquille, dégageant cette délicieuse réserve typique des femmes d'Extrême-Orient éduquées un peu comme autrefois, et se mouvant en gestes économes et distingués. La gentillesse, la bienveillance et la prévenance émanaient de son visage harmonieux et de sa posture.
Notre rencontre se poursuivit sous l'emprise de cette ambiance, mélange de douceur, d'attentions et d'érotisme. C'était un plaisir de caresser ses magnifiques cheveux longs et lisses, qui s'immiscaient parfois au milieu de nos jeux polissons oscillant entre câlins et torrides (pour les coquins, fellation très mouillée).
J'aimais contempler son petit nez tout rond, tout mignon. J'ai aussi découvert ZhuZhu particulièrement jolie sur un mouvement qu'elle fit de profil.
Nous terminâmes sur un massage qui soulagea mon dos encore crispé par le froid de dehors.
Alors que je l'admirais brièvement à l'instant de la quitter, cette même constatation du tout début me toucha : « Cette robe lui va si bien ; comme cela met en valeur sa silhouette élancée ! Comme cette femme est gracieuse ! ». A cela s'ajouta : « Comme je la trouve belle après l'amour ! »
Ce matin, j'ai croisé Daisy dans le hall de son immeuble avant de la rejoindre dans son joli appartement.
Et bien, j'en fus très heureux !
Ce que je découvris d'elle en tenue de sortie, longues bottes noires élégantes tranchant sur un manteau blanc, me plut instantanément. De suite, il m'apparut évident qu'une petite flamme bondissante devait animer cette charmante jeune femme vive, souriante, aux yeux pétillants.
Glacés de dehors, nous nous précipitâmes sous la douche, où la température grimpa en flèche lorsque je découvris les courbes ensorcelantes de son petit corps menu et ferme qui, par un affolant contraste, livrait à mes mains exploratrices des fesses pleines appelant les caresses, ainsi que de beaux seins ronds fièrement dressés, aux tétons si saillants qu'ils me rendirent fous à plusieurs reprises.
La suite se poursuivit sur le lit, avec avalanche de baisers, de caresses, de câlins et de jeux de bouche coquins. A ce sujet, mon amante m'offrit un cadeau magnifique en acceptant de s'abandonner sous les taquineries de ma langue au coeur de son intimité, et de libérer son plaisir dans un orgasme particulièrement intense. Daisy, j'ai adoré ce don de toi ainsi que les tendres moments qui ont suivi. Ce fut puissant.
L'heure m'avait semblé s'être écoulée en un clin d'oeil, mais quand j'y repense, nous l'avons vraiment bien remplie !
Ce matin, j'ai croisé Daisy dans le hall de son immeuble avant de la rejoindre dans son joli appartement.
Et bien, j'en fus très heureux !
Ce que je découvris d'elle en tenue de sortie, longues bottes noires élégantes tranchant sur un manteau blanc, me plut instantanément. De suite, il m'apparut évident qu'une petite flamme bondissante devait animer cette charmante jeune femme vive, souriante, aux yeux pétillants.
Glacés de dehors, nous nous précipitâmes sous la douche, où la température grimpa en flèche lorsque je découvris les courbes ensorcelantes de son petit corps menu et ferme qui, par un affolant contraste, livrait à mes mains exploratrices des fesses pleines appelant les caresses, ainsi que de beaux seins ronds fièrement dressés, aux tétons si saillants qu'ils me rendirent fous à plusieurs reprises.
La suite se poursuivit sur le lit, avec avalanche de baisers, de caresses, de câlins et de jeux de bouche coquins. A ce sujet, mon amante m'offrit un cadeau magnifique en acceptant de s'abandonner sous les taquineries de ma langue au coeur de son intimité, et de libérer son plaisir dans un orgasme particulièrement intense. Daisy, j'ai adoré ce don de toi ainsi que les tendres moments qui ont suivi. Ce fut puissant.
L'heure m'avait semblé s'être écoulée en un clin d'oeil, mais quand j'y repense, nous l'avons vraiment bien remplie !
Très appréciable : Xiaoxiao veille à ne pas nous faire patienter dehors. La semaine dernière, je n'avais pas dû attendre plus d'une minute. Mardi matin, encore plus fort. Je n’avais pas tapé deux caractères pour la prévenir que, déjà, ses consignes m'étaient envoyées !
Quand la porte s’ouvrit, et comme la fois précédente, ce furent des baisers chaleureux qui m’accueillirent. Mes mains goûtèrent rapidement au soyeux de sa peau, à la tonicité de son petit corps raffermi par le sport, et à ses seins savoureux qui se logent si bien dans la paume. Elles caressèrent aussi les lignes de son visage, tandis que ma bouche se régalait du tendre de ses lèvres. Une pause, parfois, histoire de profiter un instant de ses yeux pétillants et enjoués.
J’ai eu très envie d’inverser un temps les rôles, de me consacrer à elle, de lui procurer du plaisir. Calé entre ses jambes offertes, je la butinais, me délectant de ses chairs enflées de désir, de son suc, de ses réactions, la sentant proche de venir (et elle m'avertissait alors avec une tonalité adorable dans la voix), puis s’éloigner un peu, puis revenir, et onduler ainsi sur la crête à plusieurs reprises, jusqu’à ce qu’elle basculât. Quel bonheur !
Elle vous récompense alors d’un sourire de reconnaissance et de quelques mots qui réchauffent le cœur, pour se montrer ensuite très généreuse avec vous.
Alors certes, en regardant la vidéo de Xiaoxiao, j’avais noté le charme qui se dégageait de sa démarche lente et gracieuse, accompagnée de son petit sourire presque timide. Et ce drapé de satin qu’elle rabattait sur sa jolie silhouette comme les ailes d’un ange m’avait touché.
En revanche, je ne m’attendais pas du tout à ce que cette demoiselle me ravisse à ce point ! Cette rencontre m’a enchanté. Je me suis abreuvé de sa tendresse, de sa prévenance, de ses longs baisers langoureux et de ses câlins.
Et cela a commencé dès que la porte s’est refermée. Une douche et quelques embrassades plus tard, je savais déjà que j’allais passer un moment merveilleux.
Xiaoxiao s’enquérait parfois de ce que je ressentais, levant sa radieuse petite frimousse encadrée par sa longue chevelure douce et lisse : « Do you like it? ». Oh oui !
Et que dire de son corps, menu, ferme mais moelleux là où nos mains polissonnes aiment empoigner, sa peau douce appelant les caresses, son gabarit se calant à la perfection dans les étreintes amoureuses, tous ses tissus érectiles réagissant avec bonheur à la succion ? Un régal !
Certains terminent leurs appréciations par : « Je reviendrai ». Ok. Mais peut-être dans un mois ou dans un an.
Je dis pareil qu’eux, sauf que l’impatience me démange : je me réserve déjà les services de cette amante adorable pour ma prochaine aventure coquine.
Ah ! Petit complément sur mon appréciation de la veille. Pour une heure de temps ou plus, il y a du nouveau depuis la visite de @NoFakeReference le mois dernier.
Ceux suffisamment agiles pour franchir un bord de baignoire se régaleront d’une douche très polissonne, et profiteront avec délice de l’excitant pouvoir glissant et caressant du savon liquide. Y a-t-il plus belle manière de partir à la découverte de la féminité de Lizanna, son ventre plat et ses cuisses fermes, sa poitrine à se damner, tandis que mon désir, bien durci par tant d’intensité érotique, lui massait le bas du dos ?
Pour mon plus grand bonheur, ses initiatives buccales s’y exprimèrent aussi avec talent, en même temps que cette charmante nymphe, agenouillée, plongeait son regard dans mes yeux, attentive aux sensations qu’elle me procurait.
Cela me plaisait alors de replacer quelques mèches échappées de sa longue chevelure attachée à la va-vite, leur évitant d’être trempées : cet infime négligé dans sa coiffure, comme un doux abandon involontaire, débordait à mes yeux, chacun sa perception, de grâce féminine.
Comment mieux démarrer la séance ?
Chez Lizanna (Bonnie), la forme de ses lèvres m’émeut. Sur l’un des portraits, le filtre les a fidèlement restituées, préservant leur courbure élégante, sexy, tout à mon goût.
Elles dégagent à mes yeux une pincée de mélancolie mêlée de romantisme, le tout pimenté d’une touche d’érotisme. Ce mélange détonnant éveille de douces tentations charnelles et rend cette jeune femme particulièrement attirante, attachante même.
Ces impressions se sont confirmées ce matin. Quel joli brin de femme ! Et puis son corps taillé pour l’amour appelle les étreintes, les caresses, les baisers. Comme c’était bon de la serrer contre moi, elle lascive et tendrement offerte, ou de parcourir des doigts et du regard les lignes de son visage, la pulpe de ses lèvres, son petit nez si gracieux, ses courbes voluptueuses, son intimité, ses seins … Ah ! Ses seins ! L’équilibre parfait, idéal ! Lourds et pleins mais fermes, généreux, galbés à la perfection, doux sous les caresses, pointant dru sous les stimulations digitales et buccales, excitants à contempler et à saisir, que cette beauté soit allongée ou bien jouant de sa bouche avec mon désir (ce qu’elle fait d’ailleurs à merveille, quelles délicieuses sensations !).
Bref ! Une belle parenthèse coquine après laquelle son chat sympathique ne m’en voulut pas trop d’avoir accaparé l’affection de sa maîtresse.
Chez Bonnie (Lizanna), la forme de ses lèvres m’émeut. Sur l’un des portraits, le filtre les a fidèlement restituées, préservant leur courbure élégante, sexy, tout à mon goût.
Elles dégagent à mes yeux une pincée de mélancolie mêlée de romantisme, le tout pimenté d’une touche d’érotisme. Ce mélange détonnant éveille de douces tentations charnelles et rend cette jeune femme particulièrement attirante, attachante même.
Ces impressions se sont confirmées ce matin. Quel joli brin de femme ! Et puis son corps taillé pour l’amour appelle les étreintes, les caresses, les baisers. Comme c’était bon de la serrer contre moi, elle lascive et tendrement offerte, ou de parcourir des doigts et du regard les lignes de son visage, la pulpe de ses lèvres, son petit nez si gracieux, ses courbes voluptueuses, son intimité, ses seins … Ah ! Ses seins ! L’équilibre parfait, idéal ! Lourds et pleins mais fermes, généreux, galbés à la perfection, doux sous les caresses, pointant dru sous les stimulations digitales et buccales, excitants à contempler et à saisir, que cette beauté soit allongée ou bien jouant de sa bouche avec mon désir (ce qu’elle fait d’ailleurs à merveille, quelles délicieuses sensations !).
Bref ! Une belle parenthèse coquine après laquelle son chat sympathique ne m’en voulut pas trop d’avoir accaparé l’affection de sa maîtresse.
Je prends toujours des séances d’une heure minimum : de tels moments, si délicieux, appellent à prolonger l’excitation, en s’abreuvant jusqu’à plus soif de volupté et de sensualité. Le plaisir explose le plus tard possible, et tant mieux s’il en reste un peu pour un massage vigoureux ou relaxant.
Mais Maria avait son idée sur le déroulé convenant à ce format temporel. Elle prit la direction des opérations, avec câlins et préliminaires enchaînés rapidement, le reste aussi. Et me voilà tout penaud, ma cartouche grillée alors même qu’il nous restait bien du temps.
Le désarroi m’habita un moment, jusqu’à ce que le massage prît une tournure plus polissonne. Oh ! Oh !
Son intention était donc de ranimer mes ardeurs pour m’offrir un second orgasme. Honnêtement, je pensais ne plus pouvoir renaître en un temps si court. C’était sans compter le talent de Maria, elle réagissant sur l’instant aux départs de flamme ou aux coups de mou du loustic, jusqu’à ce que l’animal retrouvât sa vigueur sans plus réclamer assistance.
Sans divulguer de secret d’état, les jeux de bouche, dans leur diversité, jouèrent un rôle certain. Les jeux de mains aussi.
Je n’aurais pas parié un kopeck sur ce regain de sève, mais Maria avait confiance en ses capacités à ressusciter un homme.
Bientôt le printemps !
Après plusieurs semaines d’inactivité forcée, j’aspirais à me laisser submerger par un flot de sensualité et de complicité charnelle. J’ai jeté mon dévolu sur Bee, suivant en cela les conseils de @Celeste184, enthousiaste sur la demoiselle.
En parcourant sa fiche, je note deux photos illustrant des personnalités distinctes.
Le premier portrait suggère une certaine réserve, avec sa frimousse inclinée sur le côté, le regard levé vers l’appareil, ses lèvres retenant un petit sourire, sa peau aussi blanche que le lait.
Le second dévoile un côté espiègle, avec deux oreilles de lapin et sa langue dardant entre ses lèvres, comme une invitation à vous embrasser.
Alors ?
Et bien, c’est l’espièglerie qui l’emporte chez Bee ! Elle vous dévore du regard avant de vous embrasser avec fougue, jouant de sa coquine langue fureteuse. Son nom de scène prend sens : Bee est une butineuse, et vous êtes le miel dont elle se nourrit.
Je terminerai en évoquant deux moments forts, parmi d’autres : (1) ses jeux de bouche sur mon désir d’elle, profonds, enveloppants, qui me contraignirent à quelques pauses tellement les sensations étaient puissantes, et (2) la fusion de nos corps, empreinte de sensualité et de tendresse amoureuse, où je peinais à contenir mon excitation tellement son intimité m’était accueillante.
Feier descendit m’accueillir. Dans les escaliers, cette petite gazelle sautillante me devançait d’un pas vif. Son pantalon bien coupé accentuait ses hanches et sa taille fine. J’aurais bien prolongé cette contemplation un étage de plus.
Lorsqu’elle se dévêtit, je changeai d’avis sur-le-champ. La belle dévoila des dessous torrides présentant bien des opportunités d’explorations infiltrantes.
À ce stade, mon vit vire d’ordinaire au dur et ne mollit pas avant l’extase. Aujourd’hui, la batterie Duracell prenait mal la charge. Je découvrais mes organes sensibles au froid mordant, le moteur toussotant au démarrage et peinant par la suite.
Seules les délicieuses aspirations mouillées de mon amante, combinées aux taquineries de sa langue, parvenaient à maintenir raide ma dignité.
Et pourtant, ses baisers profonds et veloutés, me transportaient ; sa langue coquine me léchait partout tandis que ses seins pointus me caressaient ; son intimité mouillait à ravir ; mes mains glissaient sur sa peau lisse, satinée, et se délectaient de ses courbes excitantes ; un miroir polisson témoignait de nos ébats… Tout était là pour vivre un moment formidable.
Pour clore, Feier me détendit avec un massage de qualité appuyé là où ça soulage. En dernier réconfort, elle propose des bonbons avant de la quitter. Le sucré atténue la perte des douceurs qu'elle nous prodigue.
Suite...
On rencontre parfois dans les retours d’expérience un cri du cœur que je ne m’entends pas prononcer un jour : « J’aimerais bien la garder pour moi tout seul ». Pour l’heure, la possessivité et l’exigence d’exclusivité ne m’habitent pas vraiment.
En revanche, pendant les câlins, cela me plaît de croire, entre autres, que celle qui m’apporte du bonheur avec tant de conviction, ressente une brève envie de me garder pour elle toute seule.
Je ne suis pas naïf, et l’illusion de le croire me suffit amplement. Une fois la magie dissipée, la passion s'évanouit, ma raison reprend les rênes et cantonne ces illusions à l’heure passée, sans les renier, me laissant de beaux souvenirs. Un spectacle de prestidigitation : un jeu d’apparences très réalistes, j’en prends plein les mirettes et je ressors avec le sourire.
Point-barre.
D’ordinaire, il en est ainsi.
Mais pour Caihong, j’aime bien l’idée de lui plaire même dans le réel, et j'interprète certains signes tangibles comme y parvenant un peu. Ces signes, s’agit-il aussi d’illusions ? Peut-être. Ou pas.
Quoi qu'il en soit, à lire certaines des évaluations plus bas, je comprends que je ne suis pas le seul à souhaiter m’attirer ses bonnes grâces.
J’en viendrais presque à faire le paon.
Pour ceux qui la connaîssent, cette femme n’est-elle pas envoûtante ?
J’avais rencontré Caihong très récemment sous son autre profil. Elle avait illuminé ma journée !
Caihong signifierait « arc-en-ciel », et interagissant aujourd'hui avec le temps pluvieux, sa douce lumière intérieure a égaillé ma journée de rais iridescents.
Quel registre illustre le mieux ses talents ? Affectueux ? Sensuel ? Érotique ? Relaxant ? Je ne trancherai pas. Abordons chacun d'eux.
Caihong m’enveloppa d’une exquise tendresse amoureuse, m’embrassant d’abondance (je fonds !), parcourant mon corps de sa langue et de ses doigts, passant sa main dans mes cheveux, se serrant contre moi... J’ai adoré ses câlins.
Elle déborda aussi de sensualité, jouant de mon impatience alors qu’elle se déshabillait ou, plus tard, attachant ses cheveux assise sur mon bassin, son corps arqué et ses seins tendus offerts à mon regard et à mes caresses.
Elle veilla à ce que mon désir surfât sur la crête de mes ondes de plaisir, atténuant parfois son ardeur pour ne pas me faire chavirer. Aspirations, succions, langue agile titillant avec gourmandise la hampe et son extrémité … J’aurais perdu la tête si je n’avais pas détourné mon attention sur son intimité.
Quant à la fusion de nos corps … Miam !
Notre moment se termina par un massage, tendre et coquin d’abord, énergique ensuite, qui me détendit pleinement.
Ça se confirme : j’adore faire l’amour avec Xixi !
Je l’avais prévenue qu’elle pourrait ne pas me reconnaître, que j’avais coupé mes cheveux vraiment très courts. Une fois dans mes bras, mon amante a chuchoté : « tu es beau, comme ça » et, plus tard, elle laissa ses doigts courir le long de mon visage et dans mes cheveux. C’était très plaisant à entendre et très tendre. Ça et quelques mots doux, elle m’avait de nouveau conquis.
Doublement conquis ! Xixi me dévora tout du long de ses baisers profonds, généreux, excitants et apaisants à la fois (lisez @ToutenUn du 25/11). Lorsque nos langues et nos corps se pressaient avec davantage d’ardeur, cette petite chérie laissait des soupirs de plaisir s’échapper. Quel merveilleux stimulant !
Triplement conquis ! Voici une découverte fabuleuse, que j’avais manquée la première fois. En Andromaque, son ventre d’une exquise étroitesse enserrait avec fermeté mon désir d’elle, et mon extrémité percevait avec une grande acuité l’effet de glisser entre ses chairs comprimées. Un régal !
Gage du plaisir que Xixi m’avait procuré, mon membre garda sa vigueur encore longtemps après l’orgasme, nullement ramolli par l’effort, refusant de reconnaître qu’il n’avait plus 20 ans.
L’animal faillit me convaincre qu’il pouvait enchaîner direct, mais j’ai préféré lui épargner l’humiliation d’un coup de mou en pleine action.
Cette jolie femme au regard franc affiche l’assurance de celles qui plaisent aux hommes et qui le savent, mais une fois croquée la première bouchée de ce fruit succulent, on se délecte de sa douceur sucrée, de sa tendresse et de ses câlines attentions.
La décoration de sa chambre reflète cette facette de son âme, en restituant une atmosphère paisible, familière, imprégnée d’une touchante innocence, offrant un refuge tranquille propice aux échanges de caresses.
Pour mieux me butiner, mon amante attacha négligemment sa longue chevelure avec une grâce toute féminine. J’étais séduit. De là commença un voyage empreint de sensualité et de volupté. D’un érotisme torride aussi : sa bouche se révéla follement accueillante et joueuse, léchant et suçant, s’efforçant de m’engloutir tout entier ; sensations incroyables garanties.
Tandis qu’elle vous gâte, impossible de rester impassible face à son corps sculpté pour l’amour. Ses seins sont un régal à contempler, palper, sucer et téter. Ses courbes si lisses et si bien dessinées appellent les caresses. Son visage harmonieux réclame les baisers. Et entre ses jambes… Ah ! Quel plaisir ! Mais quel plaisir d’y être ! J’aurais voulu prolonger ce moment, mais ma jouissance s’est imposée bien trop tôt, la diablesse.
Le temps a filé si vite qu’il n’en restait plus pour goûter son massage. Ce sera pour la prochaine fois.
Monsieur @Pervalet, j’entends ce que vous dites en seconde partie de votre évaluation, mais ma perception diffère de la vôtre.
De mon point de vue, on signe un contrat pour le déroulement d’une prestation sur un format horaire déterminé.
Si la fille ne respecte pas l’horaire, on la qualifie de « chrono » (ce qui n’est pas le cas ici).
Si le client déborde et qu’aucun rendez-vous ne suit, il a la possibilité avec son accord d’étendre la durée du contrat en ajoutant quelques roses 🌹. Cela m’est déjà arrivé.
Passé le temps contractuel, ce temps-là lui appartient à nouveau : envoyer des messages, se nourrir, échanger avec une amie…
Je comprends de votre évaluation que, sur cette demi-heure, Xixi vous a comblé. A vos yeux, a-t-elle rempli sa part du contrat sur le temps contractuel ?
Les photos de cette femme sublime m'avaient charmé. Elle y dégage une sensualité à la fois douce, raffinée et torride, un condensé de féminité propre à enflammer mon désir.
C’était avant de découvrir sa présentation.
Là, quelle belle surprise ! Ses mots touchèrent juste. « femme solaire », « tourbillon de douceur mêlé à une vague de sensualité », « beauté et douceur naturelles » …
C’en était fait, l’adorable chasseresse m’avait harponné. Je ne brûlais plus que de l’impatience de la croquer. Elle y répondit favorablement, et nous vécûmes notre moment.
Mon post précédent se terminait comment, déjà ? « Rêver, c’est bien ; le vivre, c’est mieux » ?
C’est clair !
Imaginez serrer dans vos bras ce corps si ferme, presque félin, aux jambes fuselées, au ventre plat collé au vôtre, aux lèvres gourmandes généreuses de baisers, aux fesses souples et aux seins délicieusement moelleux, à la peau brune au grain si soyeux, aux courbes diablement féminines qui brillent sous la douce lumière, comme huilées ...
Excitant !
Et cette femme pleine de tendresse n’est là que pour vous, à se préoccuper de votre bien-être, de votre plaisir, de votre jouissance. Elle se donne tout à vous.
La charmante Honey vous quitte sur une étreinte passionnée, éveillant en vous le désir de rester et de la butiner à nouveau.
J’ai grand plaisir à vous découvrir par le biais de vos photos. Elles sont magnifiques, et le mérite ne revient guère au photographe : le modèle est sublime, quel que soit l’angle et l’éclairage.
Combinés, ces deux portraits de vous vêtue de cette éblouissante robe de soirée inspireraient pour sûr un joaillier séduit par la grâce élégante et sensuelle que vous dégagez.
En remaniant les formes et les courbes, ce charmant bandeau posé négligemment sur votre cuisse se métamorphoserait en le bras d’un amant, et le reste de votre robe, en son corps fusionné au vôtre.
De ce croquis, cet artisan, artiste admirateur de votre féminité, concevrait un joyau symbole de son brûlant désir de vous.
Pour l’amant, il sertirait une pierre sanguine, veinée aux motifs de votre robe, nervures où pulseraient l’excitation, l’ivresse et le plaisir. Ce gemme embrasserait vos courbes harmonieuses et empoignerait vos rondeurs exquises, celles-ci moulées dans un or aux reflets charnels, et satiné aux teintes délicatement tropicales de votre peau.
Le créateur devrait aussi relever un défi. On jurerait qu’une douce lumière intérieure irradie de votre décolleté, sa source côté cœur. Cette aura, comment en restituerait-il l’effet ?
Pour l’heure, je vous imagine et je vous fantasme. C'est bien.
Bientôt si possible, je m'abandonnerai à vos caresses. C'est mieux !
Une immense et authentique générosité !
Si j’avais trois secondes pour présenter Anny, ce serait sans hésiter avec ces mots-là.
Elle se donne sans retenue, de toute son âme et de toute sa fougue amoureuse. Elle ne le joue pas, elle le vit ; vous êtes son Roi, et elle vous gâte, et elle vous aime. Son authenticité ne ment pas, qui s’exprime aussi dans l’éclat de ses yeux, et dans ses baisers profonds, pénétrants, affamés de votre langue et de vos lèvres.
Une femme si attentionnée, si affectueuse, si généreuse, on veut lui rendre la pareille. Ce matin, la scène suivante m’a particulièrement enflammé.
Partie à la découverte de ses chairs intimes, ma bouche s’est régalée de son exquise vulve charnue, mouillée abondamment d’un désir au goût sucré. Mon amante me guida avec des « là, c’est bien » de plus en plus pressants, jusqu’à atteindre l’orgasme. J’étais aux anges.
Son hypersensibilité disparue, je repris mes caresses buccales, excité de sentir comme son clitoris saillait davantage. La belle me fit grâce d’un deuxième orgasme.
La séance était loin de finir, qu’Anny m’avait déjà offert de quoi illuminer cette journée.
Nous nous quittâmes sur des baisers passionnés. En naquit une érection qui affronta sans coup férir le froid et l’humidité : le souvenir de nos ébats me colla longtemps à la peau.
Une immense et authentique générosité !
Si j’avais trois secondes pour présenter Anny, ce serait sans hésiter avec ces mots-là.
Elle se donne sans retenue, de toute son âme et de toute sa fougue amoureuse. Elle ne le joue pas, elle le vit ; vous êtes son Roi, et elle vous gâte, et elle vous aime. Son authenticité ne ment pas, qui s’exprime aussi dans l’éclat de ses yeux, et dans ses baisers profonds, pénétrants, affamés de votre langue et de vos lèvres.
Une femme si attentionnée, si affectueuse, si généreuse, on veut lui rendre la pareille. Ce matin, la scène suivante m’a particulièrement enflammé.
Partie à la découverte de ses chairs intimes, ma bouche s’est régalée de son exquise vulve charnue, mouillée abondamment d’un désir au goût sucré. Mon amante me guida avec des « là, c’est bien » de plus en plus pressants, jusqu’à atteindre l’orgasme. J’étais aux anges.
Son hypersensibilité disparue, je repris mes caresses buccales, excité de sentir comme son clitoris saillait davantage. La belle me fit grâce d’un deuxième orgasme.
La séance était loin de finir, qu’Anny m’avait déjà offert de quoi illuminer cette journée.
Nous nous quittâmes sur des baisers passionnés. En naquit une érection qui affronta sans coup férir le froid et l’humidité : le souvenir de nos ébats me colla longtemps à la peau.
« Cette robe lui va si bien ; comme cela met en valeur sa silhouette élancée ! Comme cette femme est gracieuse ! » furent les premières pensées à émerger du flot de douces émotions que ZhuZhu éveilla en moi hier en début d'après-midi. Je découvrais une beauté tranquille, dégageant cette délicieuse réserve typique des femmes d'Extrême-Orient éduquées un peu comme autrefois, et se mouvant en gestes économes et distingués. La gentillesse, la bienveillance et la prévenance émanaient de son visage harmonieux et de sa posture.
Notre rencontre se poursuivit sous l'emprise de cette ambiance, mélange de douceur, d'attentions et d'érotisme. C'était un plaisir de caresser ses magnifiques cheveux longs et lisses, qui s'immiscaient parfois au milieu de nos jeux polissons oscillant entre câlins et torrides (pour les coquins, fellation très mouillée).
J'aimais contempler son petit nez tout rond, tout mignon. J'ai aussi découvert ZhuZhu particulièrement jolie sur un mouvement qu'elle fit de profil.
Nous terminâmes sur un massage qui soulagea mon dos encore crispé par le froid de dehors.
Alors que je l'admirais brièvement à l'instant de la quitter, cette même constatation du tout début me toucha : « Cette robe lui va si bien ; comme cela met en valeur sa silhouette élancée ! Comme cette femme est gracieuse ! ». A cela s'ajouta : « Comme je la trouve belle après l'amour ! »
Ce matin, j'ai croisé Daisy dans le hall de son immeuble avant de la rejoindre dans son joli appartement.
Et bien, j'en fus très heureux !
Ce que je découvris d'elle en tenue de sortie, longues bottes noires élégantes tranchant sur un manteau blanc, me plut instantanément. De suite, il m'apparut évident qu'une petite flamme bondissante devait animer cette charmante jeune femme vive, souriante, aux yeux pétillants.
Glacés de dehors, nous nous précipitâmes sous la douche, où la température grimpa en flèche lorsque je découvris les courbes ensorcelantes de son petit corps menu et ferme qui, par un affolant contraste, livrait à mes mains exploratrices des fesses pleines appelant les caresses, ainsi que de beaux seins ronds fièrement dressés, aux tétons si saillants qu'ils me rendirent fous à plusieurs reprises.
La suite se poursuivit sur le lit, avec avalanche de baisers, de caresses, de câlins et de jeux de bouche coquins. A ce sujet, mon amante m'offrit un cadeau magnifique en acceptant de s'abandonner sous les taquineries de ma langue au coeur de son intimité, et de libérer son plaisir dans un orgasme particulièrement intense. Daisy, j'ai adoré ce don de toi ainsi que les tendres moments qui ont suivi. Ce fut puissant.
L'heure m'avait semblé s'être écoulée en un clin d'oeil, mais quand j'y repense, nous l'avons vraiment bien remplie !
Ce matin, j'ai croisé Daisy dans le hall de son immeuble avant de la rejoindre dans son joli appartement.
Et bien, j'en fus très heureux !
Ce que je découvris d'elle en tenue de sortie, longues bottes noires élégantes tranchant sur un manteau blanc, me plut instantanément. De suite, il m'apparut évident qu'une petite flamme bondissante devait animer cette charmante jeune femme vive, souriante, aux yeux pétillants.
Glacés de dehors, nous nous précipitâmes sous la douche, où la température grimpa en flèche lorsque je découvris les courbes ensorcelantes de son petit corps menu et ferme qui, par un affolant contraste, livrait à mes mains exploratrices des fesses pleines appelant les caresses, ainsi que de beaux seins ronds fièrement dressés, aux tétons si saillants qu'ils me rendirent fous à plusieurs reprises.
La suite se poursuivit sur le lit, avec avalanche de baisers, de caresses, de câlins et de jeux de bouche coquins. A ce sujet, mon amante m'offrit un cadeau magnifique en acceptant de s'abandonner sous les taquineries de ma langue au coeur de son intimité, et de libérer son plaisir dans un orgasme particulièrement intense. Daisy, j'ai adoré ce don de toi ainsi que les tendres moments qui ont suivi. Ce fut puissant.
L'heure m'avait semblé s'être écoulée en un clin d'oeil, mais quand j'y repense, nous l'avons vraiment bien remplie !