Profond respect pour ces femmes capables de nous offrir leur corps et leur coeur avec cette sincérité bluffante. Que de bonheur elles nous apportent !
Mon rapport galant aux femmes a été forgé adolescent à la lecture d'ouvrages romanesques de grands écrivains à cheval entre le XIX et le XX siècle.
Autant dire que mes codes sont aux antipodes de ceux du porno, où la crudité me déplait et la réification de la femme m'offense. J'apprécie le charme courtois du vouvoiement, puis le rapprochement et l'abandon dans le tutoiement.
La vulgarité et la familiarité me rebutent. Délicatesse, douceur, prévenance et petites attentions me touchent. Le contraste avec l'impétuosité sensuelle devient alors d'autant plus savoureux. Je retrouve ces qualités plus fréquemment chez les courtisanes ayant été éduquées dans la culture asiatique classique.
Celles inscrites dans mon TOP 50 (ordonné) m'ont mis la tête à l'envers, chacune à leur façon. Quant à celles qui n'y figurent pas, cela signifie que je n'ai pas l'intention de les revoir.
J'ai rencontré toutes les escortes de ma liste de suivi. Si elles n'ont pas de commentaire, c'est qu'elles l'ont effacé (j'avais sans doute émis une réserve).
Je n'éprouve pas d'animosité pour celles qui m'ont trompé ou déçu. Si quelque chose m'avait plu avant de les voir, je le signale, mais je termine par une ou plusieurs réserves.
Ça se confirme : j’adore faire l’amour avec Xixi !
Je l’avais prévenue qu’elle pourrait ne pas me reconnaître, que j’avais coupé mes cheveux vraiment très courts. Une fois dans mes bras, mon amante a chuchoté : « tu es beau, comme ça » et, plus tard, elle laissa ses doigts courir le long de mon visage et dans mes cheveux. C’était très plaisant à entendre et très tendre. Ça et quelques mots doux, elle m’avait de nouveau conquis.
Doublement conquis ! Xixi me dévora tout du long de ses baisers profonds, généreux, excitants et apaisants à la fois (lisez @ToutenUn du 25/11). Lorsque nos langues et nos corps se pressaient avec davantage d’ardeur, cette petite chérie laissait des soupirs de plaisir s’échapper. Quel merveilleux stimulant !
Triplement conquis ! Voici une découverte fabuleuse, que j’avais manquée la première fois. En Andromaque, son ventre d’une exquise étroitesse enserrait avec fermeté mon désir d’elle, et mon extrémité percevait avec une grande acuité l’effet de glisser entre ses chairs comprimées. Un régal !
Gage du plaisir que Xixi m’avait procuré, mon membre garda sa vigueur encore longtemps après l’orgasme, nullement ramolli par l’effort, refusant de reconnaître qu’il n’avait plus 20 ans.
L’animal faillit me convaincre qu’il pouvait enchaîner direct, mais j’ai préféré lui épargner l’humiliation d’un coup de mou en pleine action.
Cette jolie femme au regard franc affiche l’assurance de celles qui plaisent aux hommes et qui le savent, mais une fois croquée la première bouchée de ce fruit succulent, on se délecte de sa douceur sucrée, de sa tendresse et de ses câlines attentions.
La décoration de sa chambre reflète cette facette de son âme, en restituant une atmosphère paisible, familière, imprégnée d’une touchante innocence, offrant un refuge tranquille propice aux échanges de caresses.
Pour mieux me butiner, mon amante attacha négligemment sa longue chevelure avec une grâce toute féminine. J’étais séduit. De là commença un voyage empreint de sensualité et de volupté. D’un érotisme torride aussi : sa bouche se révéla follement accueillante et joueuse, léchant et suçant, s’efforçant de m’engloutir tout entier ; sensations incroyables garanties.
Tandis qu’elle vous gâte, impossible de rester impassible face à son corps sculpté pour l’amour. Ses seins sont un régal à contempler, palper, sucer et téter. Ses courbes si lisses et si bien dessinées appellent les caresses. Son visage harmonieux réclame les baisers. Et entre ses jambes… Ah ! Quel plaisir ! Mais quel plaisir d’y être ! J’aurais voulu prolonger ce moment, mais ma jouissance s’est imposée bien trop tôt, la diablesse.
Le temps a filé si vite qu’il n’en restait plus pour goûter son massage. Ce sera pour la prochaine fois.
Monsieur @Pervalet, j’entends ce que vous dites en seconde partie de votre évaluation, mais ma perception diffère de la vôtre.
De mon point de vue, on signe un contrat pour le déroulement d’une prestation sur un format horaire déterminé.
Si la fille ne respecte pas l’horaire, on la qualifie de « chrono » (ce qui n’est pas le cas ici).
Si le client déborde et qu’aucun rendez-vous ne suit, il a la possibilité avec son accord d’étendre la durée du contrat en ajoutant quelques roses 🌹. Cela m’est déjà arrivé.
Passé le temps contractuel, ce temps-là lui appartient à nouveau : envoyer des messages, se nourrir, échanger avec une amie…
Je comprends de votre évaluation que, sur cette demi-heure, Xixi vous a comblé. A vos yeux, a-t-elle rempli sa part du contrat sur le temps contractuel ?
Les photos de cette femme sublime m'avaient charmé. Elle y dégage une sensualité à la fois douce, raffinée et torride, un condensé de féminité propre à enflammer mon désir.
C’était avant de découvrir sa présentation.
Là, quelle belle surprise ! Ses mots touchèrent juste. « femme solaire », « tourbillon de douceur mêlé à une vague de sensualité », « beauté et douceur naturelles » …
C’en était fait, l’adorable chasseresse m’avait harponné. Je ne brûlais plus que de l’impatience de la croquer. Elle y répondit favorablement, et nous vécûmes notre moment.
Mon post précédent se terminait comment, déjà ? « Rêver, c’est bien ; le vivre, c’est mieux » ?
C’est clair !
Imaginez serrer dans vos bras ce corps si ferme, presque félin, aux jambes fuselées, au ventre plat collé au vôtre, aux lèvres gourmandes généreuses de baisers, aux fesses souples et aux seins délicieusement moelleux, à la peau brune au grain si soyeux, aux courbes diablement féminines qui brillent sous la douce lumière, comme huilées ...
Excitant !
Et cette femme pleine de tendresse n’est là que pour vous, à se préoccuper de votre bien-être, de votre plaisir, de votre jouissance. Elle se donne tout à vous.
La charmante Honey vous quitte sur une étreinte passionnée, éveillant en vous le désir de rester et de la butiner à nouveau.
J’ai grand plaisir à vous découvrir par le biais de vos photos. Elles sont magnifiques, et le mérite ne revient guère au photographe : le modèle est sublime, quel que soit l’angle et l’éclairage.
Combinés, ces deux portraits de vous vêtue de cette éblouissante robe de soirée inspireraient pour sûr un joaillier séduit par la grâce élégante et sensuelle que vous dégagez.
En remaniant les formes et les courbes, ce charmant bandeau posé négligemment sur votre cuisse se métamorphoserait en le bras d’un amant, et le reste de votre robe, en son corps fusionné au vôtre.
De ce croquis, cet artisan, artiste admirateur de votre féminité, concevrait un joyau symbole de son brûlant désir de vous.
Pour l’amant, il sertirait une pierre sanguine, veinée aux motifs de votre robe, nervures où pulseraient l’excitation, l’ivresse et le plaisir. Ce gemme embrasserait vos courbes harmonieuses et empoignerait vos rondeurs exquises, celles-ci moulées dans un or aux reflets charnels, et satiné aux teintes délicatement tropicales de votre peau.
Le créateur devrait aussi relever un défi. On jurerait qu’une douce lumière intérieure irradie de votre décolleté, sa source côté cœur. Cette aura, comment en restituerait-il l’effet ?
Pour l’heure, je vous imagine et je vous fantasme. C'est bien.
Bientôt si possible, je m'abandonnerai à vos caresses. C'est mieux !
Si j’avais trois secondes pour présenter Anny, ce serait sans hésiter avec ces mots-là.
Elle se donne sans retenue, de toute son âme et de toute sa fougue amoureuse. Elle ne le joue pas, elle le vit ; vous êtes son Roi, et elle vous gâte, et elle vous aime. Son authenticité ne ment pas, qui s’exprime aussi dans l’éclat de ses yeux, et dans ses baisers profonds, pénétrants, affamés de votre langue et de vos lèvres.
Une femme si attentionnée, si affectueuse, si généreuse, on veut lui rendre la pareille. Ce matin, la scène suivante m’a particulièrement enflammé.
Partie à la découverte de ses chairs intimes, ma bouche s’est régalée de son exquise vulve charnue, mouillée abondamment d’un désir au goût sucré. Mon amante me guida avec des « là, c’est bien » de plus en plus pressants, jusqu’à atteindre l’orgasme. J’étais aux anges.
Son hypersensibilité disparue, je repris mes caresses buccales, excité de sentir comme son clitoris saillait davantage. La belle me fit grâce d’un deuxième orgasme.
La séance était loin de finir, qu’Anny m’avait déjà offert de quoi illuminer cette journée.
Nous nous quittâmes sur des baisers passionnés. En naquit une érection qui affronta sans coup férir le froid et l’humidité : le souvenir de nos ébats me colla longtemps à la peau.
Si j’avais trois secondes pour présenter Anny, ce serait sans hésiter avec ces mots-là.
Elle se donne sans retenue, de toute son âme et de toute sa fougue amoureuse. Elle ne le joue pas, elle le vit ; vous êtes son Roi, et elle vous gâte, et elle vous aime. Son authenticité ne ment pas, qui s’exprime aussi dans l’éclat de ses yeux, et dans ses baisers profonds, pénétrants, affamés de votre langue et de vos lèvres.
Une femme si attentionnée, si affectueuse, si généreuse, on veut lui rendre la pareille. Ce matin, la scène suivante m’a particulièrement enflammé.
Partie à la découverte de ses chairs intimes, ma bouche s’est régalée de son exquise vulve charnue, mouillée abondamment d’un désir au goût sucré. Mon amante me guida avec des « là, c’est bien » de plus en plus pressants, jusqu’à atteindre l’orgasme. J’étais aux anges.
Son hypersensibilité disparue, je repris mes caresses buccales, excité de sentir comme son clitoris saillait davantage. La belle me fit grâce d’un deuxième orgasme.
La séance était loin de finir, qu’Anny m’avait déjà offert de quoi illuminer cette journée.
Nous nous quittâmes sur des baisers passionnés. En naquit une érection qui affronta sans coup férir le froid et l’humidité : le souvenir de nos ébats me colla longtemps à la peau.
« Cette robe lui va si bien ; comme cela met en valeur sa silhouette élancée ! Comme cette femme est gracieuse ! » furent les premières pensées à émerger du flot de douces émotions que ZhuZhu éveilla en moi hier en début d'après-midi. Je découvrais une beauté tranquille, dégageant cette délicieuse réserve typique des femmes d'Extrême-Orient éduquées un peu comme autrefois, et se mouvant en gestes économes et distingués. La gentillesse, la bienveillance et la prévenance émanaient de son visage harmonieux et de sa posture.
Notre rencontre se poursuivit sous l'emprise de cette ambiance, mélange de douceur, d'attentions et d'érotisme. C'était un plaisir de caresser ses magnifiques cheveux longs et lisses, qui s'immiscaient parfois au milieu de nos jeux polissons oscillant entre câlins et torrides (pour les coquins, fellation très mouillée).
J'aimais contempler son petit nez tout rond, tout mignon. J'ai aussi découvert ZhuZhu particulièrement jolie sur un mouvement qu'elle fit de profil.
Nous terminâmes sur un massage qui soulagea mon dos encore crispé par le froid de dehors.
Alors que je l'admirais brièvement à l'instant de la quitter, cette même constatation du tout début me toucha : « Cette robe lui va si bien ; comme cela met en valeur sa silhouette élancée ! Comme cette femme est gracieuse ! ». A cela s'ajouta : « Comme je la trouve belle après l'amour ! »
Ce matin, j'ai croisé Daisy dans le hall de son immeuble avant de la rejoindre dans son joli appartement.
Et bien, j'en fus très heureux !
Ce que je découvris d'elle en tenue de sortie, longues bottes noires élégantes tranchant sur un manteau blanc, me plut instantanément. De suite, il m'apparut évident qu'une petite flamme bondissante devait animer cette charmante jeune femme vive, souriante, aux yeux pétillants.
Glacés de dehors, nous nous précipitâmes sous la douche, où la température grimpa en flèche lorsque je découvris les courbes ensorcelantes de son petit corps menu et ferme qui, par un affolant contraste, livrait à mes mains exploratrices des fesses pleines appelant les caresses, ainsi que de beaux seins ronds fièrement dressés, aux tétons si saillants qu'ils me rendirent fous à plusieurs reprises.
La suite se poursuivit sur le lit, avec avalanche de baisers, de caresses, de câlins et de jeux de bouche coquins. A ce sujet, mon amante m'offrit un cadeau magnifique en acceptant de s'abandonner sous les taquineries de ma langue au coeur de son intimité, et de libérer son plaisir dans un orgasme particulièrement intense. Daisy, j'ai adoré ce don de toi ainsi que les tendres moments qui ont suivi. Ce fut puissant.
L'heure m'avait semblé s'être écoulée en un clin d'oeil, mais quand j'y repense, nous l'avons vraiment bien remplie !
Ce matin, j'ai croisé Daisy dans le hall de son immeuble avant de la rejoindre dans son joli appartement.
Et bien, j'en fus très heureux !
Ce que je découvris d'elle en tenue de sortie, longues bottes noires élégantes tranchant sur un manteau blanc, me plut instantanément. De suite, il m'apparut évident qu'une petite flamme bondissante devait animer cette charmante jeune femme vive, souriante, aux yeux pétillants.
Glacés de dehors, nous nous précipitâmes sous la douche, où la température grimpa en flèche lorsque je découvris les courbes ensorcelantes de son petit corps menu et ferme qui, par un affolant contraste, livrait à mes mains exploratrices des fesses pleines appelant les caresses, ainsi que de beaux seins ronds fièrement dressés, aux tétons si saillants qu'ils me rendirent fous à plusieurs reprises.
La suite se poursuivit sur le lit, avec avalanche de baisers, de caresses, de câlins et de jeux de bouche coquins. A ce sujet, mon amante m'offrit un cadeau magnifique en acceptant de s'abandonner sous les taquineries de ma langue au coeur de son intimité, et de libérer son plaisir dans un orgasme particulièrement intense. Daisy, j'ai adoré ce don de toi ainsi que les tendres moments qui ont suivi. Ce fut puissant.
L'heure m'avait semblé s'être écoulée en un clin d'oeil, mais quand j'y repense, nous l'avons vraiment bien remplie !
D'ordinaire, mes appréciations commencent tranquillement, en décrivant par exemple observations et ressenti en amont de la rencontre.
Sauf que, ce matin … J'ai adoré faire l'amour avec Xixi !
Et je pourrais le répéter encore, s'il n'était pas plus pertinent d'illustrer quelques unes des braises qui attisèrent mon enthousiasme.
Xixi embrasse avec une authentique générosité ;ses lèvres et sa langue onctueuses m'ont transporté, embrasant mon désir d'elle. Ses baisers, elle les offrait à foison, et je les ai dégustés avec gourmandise. J'avais l'impression de me désaltérer d'elle. Si j'ai étanché ma soif sur le moment, ce soir, mes lèvres réclament les siennes.
Sa langue et sa bouche possèdent d'autres talents admirables. J'ignore comment j'ai pu résister si longuement à leurs taquineries sans perdre contrôle. Peut-être parce que, placés tête-bêche, je m'appliquais alors, concentré, à lui procurer les mêmes bienfaits ? Ce fut un régal, un festival de délices !
Son corps doux, chaud et câlin se lovait et s'emboîtait parfaitement dans le mien. On se serrait parfois fort, pressés par l'envie de s'absorber mutuellement, ceci participant à une atmosphère sensuelle et romantique relevée d'érotisme excitant, à un mélange épicé qui me conduisit au paroxysme du plaisir.
Stéphanie offre une pratique rarement proposée sur ce site. Elle ne considère pas le produit de la jouissance masculine comme un jaillissement répugnant qu'il faudrait recracher au plus vite, et n'éprouve même bien au contraire aucune réticence à l'avaler.
Il y a des lustres, une femme que j'aimais m'accordait cette libération à la forte teneur symbolique (à mes yeux) avec bonne grâce et envie, et j'ai contacté Stéphanie avec le désir que renaîssent ces sensations.
Notre rencontre en début de semaine dernière débuta par une série de quiproquos sur l'heure matinale, la durée de la séance et mes attentes, un peu comme si nos discussions par SMS n'avaient jamais existé, mais le malentendu se dissipa très rapidement dans nos premiers échanges de caresses.
Stéphanie accepta de s'abandonner à l'orgasme sous les assauts répétés de mes caresses buccales, puis nous restâmes corps contre corps, le temps qu'elle récupérât. Elle s'occupa alors de moi. Cette femme possède une maîtrise remarquable de la fellation. Sa bouche vous accueille comme dans du velours, sa langue furète tout autour du gland et de la hampe, ses mains participent à bon escient. Léchage, succion, alternance du rythme et des techniques. On résiste, on dure, jusqu'à ce qu'on se dise : « mais à quoi bon ? », et on explose.
Stéphanie aspire alors la jouissance jusqu'aux derniers spasmes, et encore après.
J'apprécie toutes les photos d'Amy, mais j'ai une préférence pour celle où cette gracieuse demoiselle est assise à même le sol, vêtue d'une robe un brin frivole ouverte sur un ravissant décolleté, sa frimousse légèrement inclinée regardant l'objectif d'un air mi joueur, mi mutin. Inutile de déployer une forte charge érotique pour me faire vibrer.
Ce que ses photos n'ont pas captées, mais que j'ai constaté lundi matin de visu, c'est sa délicatesse tout orientale dans ses discrets petits rires contenus, ses mouvements fluides et ses postures tout en retenue. Cette ambiance empreinte de pudeur bascula sous la douche, l'atmosphère devenant plus … Tactile, plus … Torride. Contraste excitant.
Là, je découvris ses seins magnifiques, ronds, pleins, volumineux, fermes, aux pointes qui réagissaient fort plaisamment aux stimulations. L'esprit saturé de sensations délicieuses, j'en oubliais le savon pour leur rendre hommage. Ceci dit, sa peau était tellement soyeuse que mes mains glissaient sans peine le long de ses courbes. J'appris aussi un tout nouvel usage du dentifrice, très … Rafraîchissant.
Après la douche, la couche, où s'accomplirent débauche de câlins et de polissonneries diverses. Amy maîtrise son art. Les baisers, eux, restèrent plutôt chastes, pour moi d'ordinaire friand de ces gourmandises.
La séance s'acheva sur un massage réalisé avec talent, qui me détendit pleinement.
En visitant ce profil, je me suis découvert particulièrement réceptif aux charmes de Maria. Rarement courbes féminines m'ont à ce point envoûtées. Même de ses photos à la charge érotique la plus intense émane, par la grâce de leur composition, une forte teneur sensuelle dépourvue de toute vulgarité.
Je croyais certaines réalisées par un professionnel qui, grace à son art, avait su sublimer cette beauté. En fait, pas du tout. Elle les a prises elle-même. Cette femme enchanteresse est tout simplement magnifique, et l'objectif se contente d'en témoigner.
Cela, je peux l'assurer pour l'avoir admirée ce matin dans ces affriolants petits dessous bleus que ses formes remplissaient à la perfection, et invoquant ainsi un impérieux appel à la volupté.
Participant à son aura débordante de sensualité et d'érotisme, sa douce voix veloutée m'a fait fondre. Je me suis senti régresser, sous l'emprise totale de son excitante féminité, et ce d'autant que Maria est très affectueuse et câline.
Pour ce qui relève du péché de chair, je confirme tout ce que ses photos suggèrent à notre imagination. Un corps pulpeux mais ferme, une peau satinée qu'on ne se lasse pas de caresser, des seins délicieux à saisir, une croupe attisant la gourmandise, des ondulations à la recherche du plaisir, une intimité...
Manque de place, il est temps de conclure.
Pour cela, un mot suffira : WAHOU !
Ce matin, j'éprouvais la nécessité d'ignorer un temps la furie mortifère rapportée par l'actualité. Avec Senna, bonne pioche pour s'isoler de la fureur du monde !
Sa douceur, sa gaité tranquille, son petit sourire qui ne la quitte jamais, sa gentillesse, sa prévenance, ses caresses et ses câlins en furent le rempart.
Ses baisers généreux et gourmands, son petit corps aimant à la peau soyeuse, son sourire délicat, son intimité chaude et accueillante, ses bras et ses cuisses en furent le refuge.
J'avais su que Senna apaiserait mes états d'âme à la découverte de cette photo d'elle tout de noir vêtue, des boucles d'oreille en forme d'anneaux, des lunettes cerclées de noir, un délicat pendentif faisant écho au discret brillant de ses yeux, et ses longs cheveux encadrant son visage. Elle y dégage une sérénité mâtinée de bienveillance et de douceur qui m'avaient beaucoup séduit.
Senna savait que ce portrait m'avait plu, et elle m'a accueilli avec les mêmes anneaux et un petit cygne rouge en pendentif. Quel accueil chaleureux, d'ailleurs ! C'était comme si rien n'aurait pu lui faire plus plaisir que de me voir, et il régna vite une atmosphère brûlante, torride même.
A l'inverse, il ne fut pas facile de me séparer d'elle, d'abord parce que nos langues ne cessaient de s'entremêler, ensuite parce que j'aurais voulu faire durer encore un peu le plaisir de sa compagnie.
Vive les filtres sur les portraits des jolies filles !
Déjà, j'avais été séduit par cette photo où Lu Lu pose tête inclinée, sourire engageant et grands yeux avenants, ses longs cheveux tombant jusqu'aux reins. Mais ce matin à l'ouverture de la porte, quel ravissement ! Je n'avais pas anticipé qu'elle aurait les traits si fins, si harmonieux, et qu'elle irradierait tant de joie de vivre. Une petite tenue craquante amplifiait ces émotions et la rendait diablement désirable.
La douche m'enchanta tout autant. J'ai pu jouer avec le savon tandis que la Belle prenait soin de mon hygiène. Sa peau était douce, lisse et ferme sous les caresses. Ses seins étaient … Ah ! Ses seins ! Ils se lovaient parfaitement au creux de mes mains, et ses tétons pointaient, durs et charnus. J'étais au Paradis.
La suite se déroula dans son alcôve, où sa langue m'a butiné, s'attardant ici et là, puis son adorable bouche prit le relai pour entretenir mon désir d'elle. Bien d'autres choses encore, qu'un doux massage vint clore.
Une petite remarque. Lorsqu'il s'agissait de jeux avec ma langue, soit l'embrasser, soit taquiner son intimité, bien qu'acceptés avec grâce, ces élans restaient contenus. A l'observation d'autres signes, j'ai mis cette réserve sur le compte d'une louable préoccupation sanitaire (après tout, elle ignorait l'attention que je porte à ma santé).
Alice m'avait tout de suite séduit lorsque son profil avait resurgi. Dans une vidéo maintenant disparue, mon cœur avait manqué un battement lors d'une scène fugace où une gracieuse ondulation de sa tête se mariait parfaitement à une adorable mimique espiègle, le tout dans un élan de joyeuse spontanéité.
La distorsion temporelle relevée par ElRaoul dans son dernier commentaire (merci de m'avoir convaincu d'une visite à la Belle sans tarder !), je l'ai vécue à l'identique au contact de cette jeune femme pleine de charme et entièrement dévouée à me satisfaire. L'heure s'est envolée je ne sais comment ! Je suspecte une collision frontale entre quantique et tantrique.
Allons-y pour le partage de deux épisodes câlins ayant participé à cette contraction du temps.
De doux effleurements le long de son intimité encore sèche, et trois soupirs plus tard, la pulpe de mon doigt s'était couverte du fruit de son excitation. Je n'avais jamais été témoin d'une réaction aussi vive ! Flatté, le garçon !
En Andromaque, mon amante me chevaucha très longuement, alternant le rythme et les ondoiements du bassin, les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes, haletante, nous deux isolés du monde sous sa chevelure nous enveloppant de ses fragrances florales. Sa langue venait régulièrement se mêler à la mienne, dans de longs baisers voluptueux...
J'ai chaud, tout à coup. Pas vous ?
Hier en fin de matinée, Jaya m'a accueilli dans une robe moulante et coquine si attirante, qu'elle aiguisa en moi un furieux appétit charnel. Ce n'était pourtant pas gagné : j'avais l'esprit gourd et ensommeillé à mon arrivée. Malgré cette petite forme, mon désir d'elle n'aura pas faibli un seul instant jusqu'à l'apothéose.
Jaya fut une amoureuse douce et généreuse comme j'aime, câline, à la peau soyeuse et caressante, aux seins moelleux et réactifs, à l'intimité si veloutée que je m'y suis longuement attardé, aux lèvres si joliment sculptées que je ne me lassais pas de les embrasser, au cou si gracile que je la manipulais avec précaution. Par delà son mont de Vénus proéminent (je kiffe !), un tatouage (j'adore !).
Ce craquant petit bout de femme se révéla aussi exquise libertine, qui empoignait mon membre pour se caresser : sentir mon extrémité glisser sans peine le long de sa vulve mouillée de plaisir me ravissait. D'ordinaire, je ne partage pas de tels détails licencieux, mais la charge érotique était tellement forte que c'en était beau !
Jaya, encore merci pour les soins que tu m'as accordés. Ça m'a touché. Je n'oublierai pas. Ton parfum discret s'est attardé sur moi tout au long de la journée, et durant tout ce temps, mes pensées se sont nourries de ces précieux moments. Une réminiscence de toi, qui s'est dissipée peu à peu.
@Voyageur77 : pour ma part, aucune photo demandée.
Que les indécis qui ne vous connaissent pas encore se rassurent. Il suffit de regarder tous les commentaires laudatifs, de profils tellement variés, écrits dans des styles différents, mais se rejoignant tous pour exprimer comment vous nous faites chavirer, pour assurer ceux qui ne vous connaissent pas que vous êtes une amante formidable et précieuse, une belle âme, un joyau.
Excellent ! Voilà une annonce extrêmement bien tournée, qui file la métaphore avec discrétion, sans se faire repérer par sa cible.
Vous vous démarquez ; qualification agent double-zéro, "license to (love) (s)kill", sans doute.
Vous forgez votre « légende » d’agent secret autour de l’escorting … Bien vu, comme couverture ! N’est-ce pas sur l’oreiller que l’on récolte les informations les plus précieuses ?
Je regrette qu'il me faille dénicher la planque où siroter un "Vodka Martini, shaken not stirred" devant un bon feu de cheminée crépitant, avec vous, charmante James Bond girl, dans les bras : vous vous destinez aux espions en opération loin de leur base.
Ça se confirme : j’adore faire l’amour avec Xixi !
Je l’avais prévenue qu’elle pourrait ne pas me reconnaître, que j’avais coupé mes cheveux vraiment très courts. Une fois dans mes bras, mon amante a chuchoté : « tu es beau, comme ça » et, plus tard, elle laissa ses doigts courir le long de mon visage et dans mes cheveux. C’était très plaisant à entendre et très tendre. Ça et quelques mots doux, elle m’avait de nouveau conquis.
Doublement conquis ! Xixi me dévora tout du long de ses baisers profonds, généreux, excitants et apaisants à la fois (lisez @ToutenUn du 25/11). Lorsque nos langues et nos corps se pressaient avec davantage d’ardeur, cette petite chérie laissait des soupirs de plaisir s’échapper. Quel merveilleux stimulant !
Triplement conquis ! Voici une découverte fabuleuse, que j’avais manquée la première fois. En Andromaque, son ventre d’une exquise étroitesse enserrait avec fermeté mon désir d’elle, et mon extrémité percevait avec une grande acuité l’effet de glisser entre ses chairs comprimées. Un régal !
Gage du plaisir que Xixi m’avait procuré, mon membre garda sa vigueur encore longtemps après l’orgasme, nullement ramolli par l’effort, refusant de reconnaître qu’il n’avait plus 20 ans.
L’animal faillit me convaincre qu’il pouvait enchaîner direct, mais j’ai préféré lui épargner l’humiliation d’un coup de mou en pleine action.
Cette jolie femme au regard franc affiche l’assurance de celles qui plaisent aux hommes et qui le savent, mais une fois croquée la première bouchée de ce fruit succulent, on se délecte de sa douceur sucrée, de sa tendresse et de ses câlines attentions.
La décoration de sa chambre reflète cette facette de son âme, en restituant une atmosphère paisible, familière, imprégnée d’une touchante innocence, offrant un refuge tranquille propice aux échanges de caresses.
Pour mieux me butiner, mon amante attacha négligemment sa longue chevelure avec une grâce toute féminine. J’étais séduit. De là commença un voyage empreint de sensualité et de volupté. D’un érotisme torride aussi : sa bouche se révéla follement accueillante et joueuse, léchant et suçant, s’efforçant de m’engloutir tout entier ; sensations incroyables garanties.
Tandis qu’elle vous gâte, impossible de rester impassible face à son corps sculpté pour l’amour. Ses seins sont un régal à contempler, palper, sucer et téter. Ses courbes si lisses et si bien dessinées appellent les caresses. Son visage harmonieux réclame les baisers. Et entre ses jambes… Ah ! Quel plaisir ! Mais quel plaisir d’y être ! J’aurais voulu prolonger ce moment, mais ma jouissance s’est imposée bien trop tôt, la diablesse.
Le temps a filé si vite qu’il n’en restait plus pour goûter son massage. Ce sera pour la prochaine fois.
Monsieur @Pervalet, j’entends ce que vous dites en seconde partie de votre évaluation, mais ma perception diffère de la vôtre.
De mon point de vue, on signe un contrat pour le déroulement d’une prestation sur un format horaire déterminé.
Si la fille ne respecte pas l’horaire, on la qualifie de « chrono » (ce qui n’est pas le cas ici).
Si le client déborde et qu’aucun rendez-vous ne suit, il a la possibilité avec son accord d’étendre la durée du contrat en ajoutant quelques roses 🌹. Cela m’est déjà arrivé.
Passé le temps contractuel, ce temps-là lui appartient à nouveau : envoyer des messages, se nourrir, échanger avec une amie…
Je comprends de votre évaluation que, sur cette demi-heure, Xixi vous a comblé. A vos yeux, a-t-elle rempli sa part du contrat sur le temps contractuel ?
Les photos de cette femme sublime m'avaient charmé. Elle y dégage une sensualité à la fois douce, raffinée et torride, un condensé de féminité propre à enflammer mon désir.
C’était avant de découvrir sa présentation.
Là, quelle belle surprise ! Ses mots touchèrent juste. « femme solaire », « tourbillon de douceur mêlé à une vague de sensualité », « beauté et douceur naturelles » …
C’en était fait, l’adorable chasseresse m’avait harponné. Je ne brûlais plus que de l’impatience de la croquer. Elle y répondit favorablement, et nous vécûmes notre moment.
Mon post précédent se terminait comment, déjà ? « Rêver, c’est bien ; le vivre, c’est mieux » ?
C’est clair !
Imaginez serrer dans vos bras ce corps si ferme, presque félin, aux jambes fuselées, au ventre plat collé au vôtre, aux lèvres gourmandes généreuses de baisers, aux fesses souples et aux seins délicieusement moelleux, à la peau brune au grain si soyeux, aux courbes diablement féminines qui brillent sous la douce lumière, comme huilées ...
Excitant !
Et cette femme pleine de tendresse n’est là que pour vous, à se préoccuper de votre bien-être, de votre plaisir, de votre jouissance. Elle se donne tout à vous.
La charmante Honey vous quitte sur une étreinte passionnée, éveillant en vous le désir de rester et de la butiner à nouveau.
J’ai grand plaisir à vous découvrir par le biais de vos photos. Elles sont magnifiques, et le mérite ne revient guère au photographe : le modèle est sublime, quel que soit l’angle et l’éclairage.
Combinés, ces deux portraits de vous vêtue de cette éblouissante robe de soirée inspireraient pour sûr un joaillier séduit par la grâce élégante et sensuelle que vous dégagez.
En remaniant les formes et les courbes, ce charmant bandeau posé négligemment sur votre cuisse se métamorphoserait en le bras d’un amant, et le reste de votre robe, en son corps fusionné au vôtre.
De ce croquis, cet artisan, artiste admirateur de votre féminité, concevrait un joyau symbole de son brûlant désir de vous.
Pour l’amant, il sertirait une pierre sanguine, veinée aux motifs de votre robe, nervures où pulseraient l’excitation, l’ivresse et le plaisir. Ce gemme embrasserait vos courbes harmonieuses et empoignerait vos rondeurs exquises, celles-ci moulées dans un or aux reflets charnels, et satiné aux teintes délicatement tropicales de votre peau.
Le créateur devrait aussi relever un défi. On jurerait qu’une douce lumière intérieure irradie de votre décolleté, sa source côté cœur. Cette aura, comment en restituerait-il l’effet ?
Pour l’heure, je vous imagine et je vous fantasme. C'est bien.
Bientôt si possible, je m'abandonnerai à vos caresses. C'est mieux !
Une immense et authentique générosité !
Si j’avais trois secondes pour présenter Anny, ce serait sans hésiter avec ces mots-là.
Elle se donne sans retenue, de toute son âme et de toute sa fougue amoureuse. Elle ne le joue pas, elle le vit ; vous êtes son Roi, et elle vous gâte, et elle vous aime. Son authenticité ne ment pas, qui s’exprime aussi dans l’éclat de ses yeux, et dans ses baisers profonds, pénétrants, affamés de votre langue et de vos lèvres.
Une femme si attentionnée, si affectueuse, si généreuse, on veut lui rendre la pareille. Ce matin, la scène suivante m’a particulièrement enflammé.
Partie à la découverte de ses chairs intimes, ma bouche s’est régalée de son exquise vulve charnue, mouillée abondamment d’un désir au goût sucré. Mon amante me guida avec des « là, c’est bien » de plus en plus pressants, jusqu’à atteindre l’orgasme. J’étais aux anges.
Son hypersensibilité disparue, je repris mes caresses buccales, excité de sentir comme son clitoris saillait davantage. La belle me fit grâce d’un deuxième orgasme.
La séance était loin de finir, qu’Anny m’avait déjà offert de quoi illuminer cette journée.
Nous nous quittâmes sur des baisers passionnés. En naquit une érection qui affronta sans coup férir le froid et l’humidité : le souvenir de nos ébats me colla longtemps à la peau.
Une immense et authentique générosité !
Si j’avais trois secondes pour présenter Anny, ce serait sans hésiter avec ces mots-là.
Elle se donne sans retenue, de toute son âme et de toute sa fougue amoureuse. Elle ne le joue pas, elle le vit ; vous êtes son Roi, et elle vous gâte, et elle vous aime. Son authenticité ne ment pas, qui s’exprime aussi dans l’éclat de ses yeux, et dans ses baisers profonds, pénétrants, affamés de votre langue et de vos lèvres.
Une femme si attentionnée, si affectueuse, si généreuse, on veut lui rendre la pareille. Ce matin, la scène suivante m’a particulièrement enflammé.
Partie à la découverte de ses chairs intimes, ma bouche s’est régalée de son exquise vulve charnue, mouillée abondamment d’un désir au goût sucré. Mon amante me guida avec des « là, c’est bien » de plus en plus pressants, jusqu’à atteindre l’orgasme. J’étais aux anges.
Son hypersensibilité disparue, je repris mes caresses buccales, excité de sentir comme son clitoris saillait davantage. La belle me fit grâce d’un deuxième orgasme.
La séance était loin de finir, qu’Anny m’avait déjà offert de quoi illuminer cette journée.
Nous nous quittâmes sur des baisers passionnés. En naquit une érection qui affronta sans coup férir le froid et l’humidité : le souvenir de nos ébats me colla longtemps à la peau.
« Cette robe lui va si bien ; comme cela met en valeur sa silhouette élancée ! Comme cette femme est gracieuse ! » furent les premières pensées à émerger du flot de douces émotions que ZhuZhu éveilla en moi hier en début d'après-midi. Je découvrais une beauté tranquille, dégageant cette délicieuse réserve typique des femmes d'Extrême-Orient éduquées un peu comme autrefois, et se mouvant en gestes économes et distingués. La gentillesse, la bienveillance et la prévenance émanaient de son visage harmonieux et de sa posture.
Notre rencontre se poursuivit sous l'emprise de cette ambiance, mélange de douceur, d'attentions et d'érotisme. C'était un plaisir de caresser ses magnifiques cheveux longs et lisses, qui s'immiscaient parfois au milieu de nos jeux polissons oscillant entre câlins et torrides (pour les coquins, fellation très mouillée).
J'aimais contempler son petit nez tout rond, tout mignon. J'ai aussi découvert ZhuZhu particulièrement jolie sur un mouvement qu'elle fit de profil.
Nous terminâmes sur un massage qui soulagea mon dos encore crispé par le froid de dehors.
Alors que je l'admirais brièvement à l'instant de la quitter, cette même constatation du tout début me toucha : « Cette robe lui va si bien ; comme cela met en valeur sa silhouette élancée ! Comme cette femme est gracieuse ! ». A cela s'ajouta : « Comme je la trouve belle après l'amour ! »
Ce matin, j'ai croisé Daisy dans le hall de son immeuble avant de la rejoindre dans son joli appartement.
Et bien, j'en fus très heureux !
Ce que je découvris d'elle en tenue de sortie, longues bottes noires élégantes tranchant sur un manteau blanc, me plut instantanément. De suite, il m'apparut évident qu'une petite flamme bondissante devait animer cette charmante jeune femme vive, souriante, aux yeux pétillants.
Glacés de dehors, nous nous précipitâmes sous la douche, où la température grimpa en flèche lorsque je découvris les courbes ensorcelantes de son petit corps menu et ferme qui, par un affolant contraste, livrait à mes mains exploratrices des fesses pleines appelant les caresses, ainsi que de beaux seins ronds fièrement dressés, aux tétons si saillants qu'ils me rendirent fous à plusieurs reprises.
La suite se poursuivit sur le lit, avec avalanche de baisers, de caresses, de câlins et de jeux de bouche coquins. A ce sujet, mon amante m'offrit un cadeau magnifique en acceptant de s'abandonner sous les taquineries de ma langue au coeur de son intimité, et de libérer son plaisir dans un orgasme particulièrement intense. Daisy, j'ai adoré ce don de toi ainsi que les tendres moments qui ont suivi. Ce fut puissant.
L'heure m'avait semblé s'être écoulée en un clin d'oeil, mais quand j'y repense, nous l'avons vraiment bien remplie !
Ce matin, j'ai croisé Daisy dans le hall de son immeuble avant de la rejoindre dans son joli appartement.
Et bien, j'en fus très heureux !
Ce que je découvris d'elle en tenue de sortie, longues bottes noires élégantes tranchant sur un manteau blanc, me plut instantanément. De suite, il m'apparut évident qu'une petite flamme bondissante devait animer cette charmante jeune femme vive, souriante, aux yeux pétillants.
Glacés de dehors, nous nous précipitâmes sous la douche, où la température grimpa en flèche lorsque je découvris les courbes ensorcelantes de son petit corps menu et ferme qui, par un affolant contraste, livrait à mes mains exploratrices des fesses pleines appelant les caresses, ainsi que de beaux seins ronds fièrement dressés, aux tétons si saillants qu'ils me rendirent fous à plusieurs reprises.
La suite se poursuivit sur le lit, avec avalanche de baisers, de caresses, de câlins et de jeux de bouche coquins. A ce sujet, mon amante m'offrit un cadeau magnifique en acceptant de s'abandonner sous les taquineries de ma langue au coeur de son intimité, et de libérer son plaisir dans un orgasme particulièrement intense. Daisy, j'ai adoré ce don de toi ainsi que les tendres moments qui ont suivi. Ce fut puissant.
L'heure m'avait semblé s'être écoulée en un clin d'oeil, mais quand j'y repense, nous l'avons vraiment bien remplie !
J'ai adoré faire l'amour avec Xixi !
D'ordinaire, mes appréciations commencent tranquillement, en décrivant par exemple observations et ressenti en amont de la rencontre.
Sauf que, ce matin … J'ai adoré faire l'amour avec Xixi !
Et je pourrais le répéter encore, s'il n'était pas plus pertinent d'illustrer quelques unes des braises qui attisèrent mon enthousiasme.
Xixi embrasse avec une authentique générosité ;ses lèvres et sa langue onctueuses m'ont transporté, embrasant mon désir d'elle. Ses baisers, elle les offrait à foison, et je les ai dégustés avec gourmandise. J'avais l'impression de me désaltérer d'elle. Si j'ai étanché ma soif sur le moment, ce soir, mes lèvres réclament les siennes.
Sa langue et sa bouche possèdent d'autres talents admirables. J'ignore comment j'ai pu résister si longuement à leurs taquineries sans perdre contrôle. Peut-être parce que, placés tête-bêche, je m'appliquais alors, concentré, à lui procurer les mêmes bienfaits ? Ce fut un régal, un festival de délices !
Son corps doux, chaud et câlin se lovait et s'emboîtait parfaitement dans le mien. On se serrait parfois fort, pressés par l'envie de s'absorber mutuellement, ceci participant à une atmosphère sensuelle et romantique relevée d'érotisme excitant, à un mélange épicé qui me conduisit au paroxysme du plaisir.
… Et ce n'est qu'un aperçu !
Stéphanie offre une pratique rarement proposée sur ce site. Elle ne considère pas le produit de la jouissance masculine comme un jaillissement répugnant qu'il faudrait recracher au plus vite, et n'éprouve même bien au contraire aucune réticence à l'avaler.
Il y a des lustres, une femme que j'aimais m'accordait cette libération à la forte teneur symbolique (à mes yeux) avec bonne grâce et envie, et j'ai contacté Stéphanie avec le désir que renaîssent ces sensations.
Notre rencontre en début de semaine dernière débuta par une série de quiproquos sur l'heure matinale, la durée de la séance et mes attentes, un peu comme si nos discussions par SMS n'avaient jamais existé, mais le malentendu se dissipa très rapidement dans nos premiers échanges de caresses.
Stéphanie accepta de s'abandonner à l'orgasme sous les assauts répétés de mes caresses buccales, puis nous restâmes corps contre corps, le temps qu'elle récupérât. Elle s'occupa alors de moi. Cette femme possède une maîtrise remarquable de la fellation. Sa bouche vous accueille comme dans du velours, sa langue furète tout autour du gland et de la hampe, ses mains participent à bon escient. Léchage, succion, alternance du rythme et des techniques. On résiste, on dure, jusqu'à ce qu'on se dise : « mais à quoi bon ? », et on explose.
Stéphanie aspire alors la jouissance jusqu'aux derniers spasmes, et encore après.
J'apprécie toutes les photos d'Amy, mais j'ai une préférence pour celle où cette gracieuse demoiselle est assise à même le sol, vêtue d'une robe un brin frivole ouverte sur un ravissant décolleté, sa frimousse légèrement inclinée regardant l'objectif d'un air mi joueur, mi mutin. Inutile de déployer une forte charge érotique pour me faire vibrer.
Ce que ses photos n'ont pas captées, mais que j'ai constaté lundi matin de visu, c'est sa délicatesse tout orientale dans ses discrets petits rires contenus, ses mouvements fluides et ses postures tout en retenue. Cette ambiance empreinte de pudeur bascula sous la douche, l'atmosphère devenant plus … Tactile, plus … Torride. Contraste excitant.
Là, je découvris ses seins magnifiques, ronds, pleins, volumineux, fermes, aux pointes qui réagissaient fort plaisamment aux stimulations. L'esprit saturé de sensations délicieuses, j'en oubliais le savon pour leur rendre hommage. Ceci dit, sa peau était tellement soyeuse que mes mains glissaient sans peine le long de ses courbes. J'appris aussi un tout nouvel usage du dentifrice, très … Rafraîchissant.
Après la douche, la couche, où s'accomplirent débauche de câlins et de polissonneries diverses. Amy maîtrise son art. Les baisers, eux, restèrent plutôt chastes, pour moi d'ordinaire friand de ces gourmandises.
La séance s'acheva sur un massage réalisé avec talent, qui me détendit pleinement.
En visitant ce profil, je me suis découvert particulièrement réceptif aux charmes de Maria. Rarement courbes féminines m'ont à ce point envoûtées. Même de ses photos à la charge érotique la plus intense émane, par la grâce de leur composition, une forte teneur sensuelle dépourvue de toute vulgarité.
Je croyais certaines réalisées par un professionnel qui, grace à son art, avait su sublimer cette beauté. En fait, pas du tout. Elle les a prises elle-même. Cette femme enchanteresse est tout simplement magnifique, et l'objectif se contente d'en témoigner.
Cela, je peux l'assurer pour l'avoir admirée ce matin dans ces affriolants petits dessous bleus que ses formes remplissaient à la perfection, et invoquant ainsi un impérieux appel à la volupté.
Participant à son aura débordante de sensualité et d'érotisme, sa douce voix veloutée m'a fait fondre. Je me suis senti régresser, sous l'emprise totale de son excitante féminité, et ce d'autant que Maria est très affectueuse et câline.
Pour ce qui relève du péché de chair, je confirme tout ce que ses photos suggèrent à notre imagination. Un corps pulpeux mais ferme, une peau satinée qu'on ne se lasse pas de caresser, des seins délicieux à saisir, une croupe attisant la gourmandise, des ondulations à la recherche du plaisir, une intimité...
Manque de place, il est temps de conclure.
Pour cela, un mot suffira : WAHOU !
Ce matin, j'éprouvais la nécessité d'ignorer un temps la furie mortifère rapportée par l'actualité. Avec Senna, bonne pioche pour s'isoler de la fureur du monde !
Sa douceur, sa gaité tranquille, son petit sourire qui ne la quitte jamais, sa gentillesse, sa prévenance, ses caresses et ses câlins en furent le rempart.
Ses baisers généreux et gourmands, son petit corps aimant à la peau soyeuse, son sourire délicat, son intimité chaude et accueillante, ses bras et ses cuisses en furent le refuge.
J'avais su que Senna apaiserait mes états d'âme à la découverte de cette photo d'elle tout de noir vêtue, des boucles d'oreille en forme d'anneaux, des lunettes cerclées de noir, un délicat pendentif faisant écho au discret brillant de ses yeux, et ses longs cheveux encadrant son visage. Elle y dégage une sérénité mâtinée de bienveillance et de douceur qui m'avaient beaucoup séduit.
Senna savait que ce portrait m'avait plu, et elle m'a accueilli avec les mêmes anneaux et un petit cygne rouge en pendentif. Quel accueil chaleureux, d'ailleurs ! C'était comme si rien n'aurait pu lui faire plus plaisir que de me voir, et il régna vite une atmosphère brûlante, torride même.
A l'inverse, il ne fut pas facile de me séparer d'elle, d'abord parce que nos langues ne cessaient de s'entremêler, ensuite parce que j'aurais voulu faire durer encore un peu le plaisir de sa compagnie.
Vive les filtres sur les portraits des jolies filles !
Déjà, j'avais été séduit par cette photo où Lu Lu pose tête inclinée, sourire engageant et grands yeux avenants, ses longs cheveux tombant jusqu'aux reins. Mais ce matin à l'ouverture de la porte, quel ravissement ! Je n'avais pas anticipé qu'elle aurait les traits si fins, si harmonieux, et qu'elle irradierait tant de joie de vivre. Une petite tenue craquante amplifiait ces émotions et la rendait diablement désirable.
La douche m'enchanta tout autant. J'ai pu jouer avec le savon tandis que la Belle prenait soin de mon hygiène. Sa peau était douce, lisse et ferme sous les caresses. Ses seins étaient … Ah ! Ses seins ! Ils se lovaient parfaitement au creux de mes mains, et ses tétons pointaient, durs et charnus. J'étais au Paradis.
La suite se déroula dans son alcôve, où sa langue m'a butiné, s'attardant ici et là, puis son adorable bouche prit le relai pour entretenir mon désir d'elle. Bien d'autres choses encore, qu'un doux massage vint clore.
Une petite remarque. Lorsqu'il s'agissait de jeux avec ma langue, soit l'embrasser, soit taquiner son intimité, bien qu'acceptés avec grâce, ces élans restaient contenus. A l'observation d'autres signes, j'ai mis cette réserve sur le compte d'une louable préoccupation sanitaire (après tout, elle ignorait l'attention que je porte à ma santé).
Alice m'avait tout de suite séduit lorsque son profil avait resurgi. Dans une vidéo maintenant disparue, mon cœur avait manqué un battement lors d'une scène fugace où une gracieuse ondulation de sa tête se mariait parfaitement à une adorable mimique espiègle, le tout dans un élan de joyeuse spontanéité.
La distorsion temporelle relevée par ElRaoul dans son dernier commentaire (merci de m'avoir convaincu d'une visite à la Belle sans tarder !), je l'ai vécue à l'identique au contact de cette jeune femme pleine de charme et entièrement dévouée à me satisfaire. L'heure s'est envolée je ne sais comment ! Je suspecte une collision frontale entre quantique et tantrique.
Allons-y pour le partage de deux épisodes câlins ayant participé à cette contraction du temps.
De doux effleurements le long de son intimité encore sèche, et trois soupirs plus tard, la pulpe de mon doigt s'était couverte du fruit de son excitation. Je n'avais jamais été témoin d'une réaction aussi vive ! Flatté, le garçon !
En Andromaque, mon amante me chevaucha très longuement, alternant le rythme et les ondoiements du bassin, les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes, haletante, nous deux isolés du monde sous sa chevelure nous enveloppant de ses fragrances florales. Sa langue venait régulièrement se mêler à la mienne, dans de longs baisers voluptueux...
J'ai chaud, tout à coup. Pas vous ?
Hier en fin de matinée, Jaya m'a accueilli dans une robe moulante et coquine si attirante, qu'elle aiguisa en moi un furieux appétit charnel. Ce n'était pourtant pas gagné : j'avais l'esprit gourd et ensommeillé à mon arrivée. Malgré cette petite forme, mon désir d'elle n'aura pas faibli un seul instant jusqu'à l'apothéose.
Jaya fut une amoureuse douce et généreuse comme j'aime, câline, à la peau soyeuse et caressante, aux seins moelleux et réactifs, à l'intimité si veloutée que je m'y suis longuement attardé, aux lèvres si joliment sculptées que je ne me lassais pas de les embrasser, au cou si gracile que je la manipulais avec précaution. Par delà son mont de Vénus proéminent (je kiffe !), un tatouage (j'adore !).
Ce craquant petit bout de femme se révéla aussi exquise libertine, qui empoignait mon membre pour se caresser : sentir mon extrémité glisser sans peine le long de sa vulve mouillée de plaisir me ravissait. D'ordinaire, je ne partage pas de tels détails licencieux, mais la charge érotique était tellement forte que c'en était beau !
Jaya, encore merci pour les soins que tu m'as accordés. Ça m'a touché. Je n'oublierai pas. Ton parfum discret s'est attardé sur moi tout au long de la journée, et durant tout ce temps, mes pensées se sont nourries de ces précieux moments. Une réminiscence de toi, qui s'est dissipée peu à peu.
@Voyageur77 : pour ma part, aucune photo demandée.
Que les indécis qui ne vous connaissent pas encore se rassurent. Il suffit de regarder tous les commentaires laudatifs, de profils tellement variés, écrits dans des styles différents, mais se rejoignant tous pour exprimer comment vous nous faites chavirer, pour assurer ceux qui ne vous connaissent pas que vous êtes une amante formidable et précieuse, une belle âme, un joyau.
Excellent ! Voilà une annonce extrêmement bien tournée, qui file la métaphore avec discrétion, sans se faire repérer par sa cible.
Vous vous démarquez ; qualification agent double-zéro, "license to (love) (s)kill", sans doute.
Vous forgez votre « légende » d’agent secret autour de l’escorting … Bien vu, comme couverture ! N’est-ce pas sur l’oreiller que l’on récolte les informations les plus précieuses ?
Je regrette qu'il me faille dénicher la planque où siroter un "Vodka Martini, shaken not stirred" devant un bon feu de cheminée crépitant, avec vous, charmante James Bond girl, dans les bras : vous vous destinez aux espions en opération loin de leur base.