J’en veux encooooore !
Y repenser (et je ne fais que ça) entretient une forme de blues forgé dans un alliage de beaux souvenirs, de manque et de douce nostalgie.
Jamais de ma vie je n’avais laissé échapper de râles de plaisir. Jamais. Joyce m’en a arraché combien ? Deux douzaines ?
Lorsqu’elle m’avalait tout entier et que ses lèvres effleuraient mon pubis, une onde de plaisir m’arrachait ces gémissements incontrôlables. Happé, mon esprit n’était plus qu’à vibrer en harmonie avec les sensations que cette petite princesse me procurait, si bien que j’en oubliais tout, et notamment de butiner ses chairs intimes.
Dans les jeux buccaux, j’apprécie énormément donner, un peu moins recevoir. Avec Joyce, j’ai adoré recevoir. Quel talent ! Et quelle générosité ! Elle devait percevoir combien je me régalais, car elle a prolongé, prolongé, prolongé encore. Délicieux !
La belle sait écouter le corps d’un homme. Elle vous maintient sur la ligne de crête, aux frontières de l’orgasme, et c’est un festival de sensations. Vous en prenez plein la vue.
J’aurais bien d’autres choses à écrire sur Joyce, notamment le plaisir que j’ai eu à la découvrir et à discuter avec elle, mais seulement la place de donner un exemple de comment cette femme de qualité à l’érotisme torride m’a mis la tête à l’envers.