Le 5 janvier, vous proposiez de méditer sur : « L'érotisme, c'est de donner au corps les prestiges de l'esprit. ». L'exercice demande à se détacher de son corps et de ses émotions, pour mieux mobiliser ses ressources cérébrales.
Peine perdue. Votre vidéo m'a tabassé en cinq uppercuts sensuels. Chacun d'eux exalte l'un de vos splendides atouts, tous rivalisant de grâce féminine et de tentations charnelles. Décharge d'adrénaline, brusque passage de 50 à 200 battements / minute, les tympans qui bourdonnent, et ... bascule dans l'ivresse.
Dans cet état, comment réfléchir ? A la lecture d'« érotisme » et de « corps », la vision du vôtre resplendissant d'une aura torride, défile dans ma tête au gré de votre galerie photos, tandis que « prestige » retentit comme la qualité promise de votre accompagnement... Tout s'emmêle, mes pensées trébuchent.
Comment alors disséquer cet aphorisme, qui parle de prêter à ce corps l'intuition et l'intelligence de la pose la plus lascive ou du mouvement le plus grâcieux, corps piochant dans l'imagination, la créativité et l'expérience passée pour attiser avec justesse l'excitation de son partenaire, déclenchée donc par ce déferlement d'érotisme ?
Ah tiens ! On dirait là une interprétation possible !
Mademoiselle, à parcourir votre profil, on comprend que cette phrase aurait pu être écrite pour vous.