Profond respect pour ces femmes capables de nous offrir leur corps et leur coeur avec cette sincérité bluffante. Que de bonheur elles nous apportent !
Mon rapport galant aux femmes a été forgé adolescent à la lecture d'ouvrages romanesques de grands écrivains à cheval entre le XIX et le XX siècle.
Autant dire que mes codes sont aux antipodes de ceux du porno, où la crudité me déplait et la réification de la femme m'offense. J'apprécie le charme courtois du vouvoiement, puis le rapprochement et l'abandon dans le tutoiement.
La vulgarité et la familiarité me rebutent. Délicatesse, douceur, prévenance et petites attentions me touchent. Le contraste avec l'impétuosité sensuelle devient alors d'autant plus savoureux. Je retrouve ces qualités plus fréquemment chez les courtisanes ayant été éduquées dans la culture asiatique classique.
Celles inscrites dans mon TOP 50 (ordonné) m'ont mis la tête à l'envers, chacune à leur façon. Quant à celles qui n'y figurent pas, cela signifie que je n'ai pas l'intention de les revoir.
J'ai rencontré toutes les escortes de ma liste de suivi. Si elles n'ont pas de commentaire, c'est qu'elles l'ont effacé (j'avais sans doute émis une réserve).
Je n'éprouve pas d'animosité pour celles qui m'ont trompé ou déçu. Si quelque chose m'avait plu avant de les voir, je le signale, mais je termine par une ou plusieurs réserves.
Je la contemplais, elle appliquée à attacher ses cheveux avant de rejoindre le lit. Geste très gracieux, très féminin. Elle surpris mon regard dans le miroir. Petits rires brefs, presque gênés. C’était charmant, ça m’a rajeuni de trente ans.
Cette parenthèse délicate se métamorphosa rapidement en une profusion de profonds baisers langoureux, de tendresse, et de caresses variées. Parcourir son corps élancé à la peau si douce était un plaisir. Des seins sublimes à pétrir et à sucer, leur extrémité vigoureuse et bien charnue (une photo l'illustre) pointant fièrement même sans stimulation.
Dans le même temps, sa langue s’aventurait un peu partout sur mon torse, tandis que ses mains polissonnes s’assuraient de la rigidité de mon désir. Plus tard, sa bouche prit le relais avec beaucoup de talent. C’était torride et j’étais aux anges.
Et puis, j’aimais bien comme elle me regardait, ses yeux pétillants et sa lèvre joliment relevée projetant un sourire sur tout son visage.
Avant de s'empaler, Aiko lâcha ses longs cheveux. Ah, j’aimais ça, les voir se balancer sur ses épaules au rythme de nos ébats !
Pour finir, nous discutâmes sans prendre garde au temps qui passe. Aiko a soif d’enrichir son français. L’un d’entre vous lui a appris « préliminaires ». Ça sert peu chez la boulangère, mais entre ses bras, si !
J’avais déjà rencontré Feier (appréciation du 9 janvier), et je n’avais pas su me rassasier d’elle avec toute la ferveur méritée. Voilà l’affront lavé, à présent.
Si je me souvenais de ses hanches, bien marquées pour une femme asiatiques (miam !), ainsi que de ses fesses sublimes à caresser, son petit être irradiait aujourd’hui d’une flamme enjouée qui m’avait échappé. Feier semblait épanouie et sereine, comme accomplie. C’était très plaisant, et cela forgea de suite une atmosphère complice et tendre.
Ambiance sensuelle, aussi ! Son petit haut remontait aisément le long de la courbure de ses seins, tandis que mes mains venaient épouser leur galbe. Par ailleurs, de longs et profonds baisers nous accompagnèrent tout du long.
Cette proximité charnelle appela d’autres jeux de bouche, bien plus polissons, ceux-là. Ses doigts légers comme une plume me caressaient tout l’entrejambe, tandis que sa bouche suçait, aspirait, pompait, parfois remplacée par quelques doigts dansant sur mon extrémité. A ce moment-là, de délicieux spasmes me parcouraient, partant du scrotum. Fantastique ! Tout n’était plus que pur plaisir érotique, l’orgasme tenu à distance pour profiter, profiter encore.
Débordant de reconnaissance, je plongeai ensuite ma langue entre ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle s’abandonnât. J’ai adoré qu’elle m’en remerciât à plusieurs reprises.
Pour compléter mon appréciation précédente, sachez que cette charmante femme délivre vraiment une prestation d’escorte exclusive, pour un bouquet de roses tout à fait abordable (standard).
Il n’y a pas de mystère. Nana n’accumule pas tant de bonnes appréciations par hasard.
Déjà, cette jolie femme au corps élancé vous accueille dans une nuisette torride, fort bien conçue pour mettre en valeur ses charmes féminins, taille fine, seins pleins et fesses rondes. J’en oubliais de respirer.
Autre surprise, c’est elle, c’est bien elle, tout aussi classe et charmante que sur les photos, et qui s’exprime bien en français.
Ses longs baisers langoureux, avec nos langues longuement mêlées, m’ont transporté dans son univers baigné de sensualité et de romantisme.
J’étais aux anges, et lorsqu’elle s’enquérait de mon ressenti, je répliquais par un fade « très bien », loin d’exprimer l’intensité de mon feu d’artifice intérieur après que sa bouche avait sucé et aspiré mon désir d’elle, par exemple.
Ravi, je le fus aussi alors que ma langue honorait son entrejambe, et qu’elle participait activement à déclencher son orgasme.
Et faire l’amour fut d’un naturel ! Son sexe, que l’excitation rend si chaud, si humide, si accueillant, facilita la pénétration. Quel délice ensuite de se mouvoir en elle, ondulant au rythme du plaisir, nos lèvres jointes !
Et quelle satisfaction, une fois nos corps séparés, de noter l’abondance de ses sécrétions à la racine de mon membre !
Un massage à l’huile me fit atterrir tout en douceur.
Générosité. Voilà Helen en un mot. Ses câlins, son débordement de tendresse, ses attentions polissonnes, ses baisers abondants si longs et si profonds, sa débauche de sensualité, son corps appelant à l’amour, le temps qui déborde : tout en elle reflète l’envie que son amant passe un moment merveilleux.
Mon amante, ma courtisane, mon amoureuse tout à la fois... De bien doux sentiments m’ont habité toute la séance.
Helen m’a aussi chauffé les sangs.
Qu’elle se penchât un peu, et sa minijupe (photos contractuelles) n’avait soudain plus rien à cacher. Quant à son haut, il peinait à contenir l’une des plus belles poitrines qu’il m’ait été donné de cajoler, suçoter, presser et soupeser.
La belle réagissait quasi instantanément aux effleurements entre ses cuisses, mes doigts vite humides de son excitation. Sa réaction attisait d’autant mon envie d’elle. Plus tard, ma langue rendit longuement hommage à sa réactive intimité, me régalant de ses sécrétions et de ses lèvres magnifiques à contempler et à dévorer.
À cette occasion, j’ai adoré la caresser partout alors qu’elle se cambrait à la recherche du plaisir tandis que ses tétons saillaient.
Bien d’autres choses à dire, sur ses talents cette fois. Ce sera après notre prochaine rencontre. En attendant, l’évocation de ces souvenirs torrides éveillent à nouveau mon envie d’elle.
J'avais entendu dire que des dames arpentaient le trottoir à La Fourche. Désoeuvré, je partis en reconnaissance. Effectivement, l'une d'elles m'aborda. Longues bottes, mignonne, elle me proposa d'une voix claire et douce de faire l'amour. Peu à mon aise dans la foule dense de passants, je déclinai à regret. Ça me travailla, le désir enfla, durcit, l'animal soudain à l'étroit dans le pantalon. Le temps que ma cervelle dégringolât dans l'entrejambe, demi-tour ! Et là, déception : la témérité d'un autre me l'avait enlevée. Xiaoyu nota mon désarroi (ou mon appétit), nos regards se croisèrent et elle m'offrit ses services d'un signe timide.
Bingo !
Xiaoyu se révéla douce, attentionnée et serviable. Ses yeux respiraient de bonté. D'ailleurs, elle consacre bénévolement la moitié de son temps à une association d'entraide. A voir sa beauté aujourd'hui, on devine aisément qu'elle a dû faire chavirer autrefois le cœur de bien des hommes. Ça aurait pu la rendre hautaine, mais on la perçoit au contraire très humaine. Et son sourire m'a conquis.
J'ai passé une heure vautré comme un pacha, paresseusement allongé tandis qu'elle me couvrait de délicieux baisers et d'attentions plus torrides, prodiguées avec un soin particulier apporté à l'hygiène.
Pour conclure, sa tranquille quiétude apporte l'apaisement.
La recommandation publiée par @BH92 m’a appâté. Bien m’en prit de céder. Cette femme élancée et espiègle est à croquer ! Quoique. Ce matin, difficile de savoir qui dévora qui. Sa langue quasi serpentine goûta à ma chair, s’attardant en périphérie de mon désir d’elle, rendant hommage à des zones que je découvris particulièrement sensibles aux taquineries buccales : bas du ventre et aine, par exemple. Trop bon !
Sa bouche a bien d’autres talents. Elle embrasse divinement. Sa langue agile, à la fois intrépide et docile, toujours fraîche et coquine, procure de voluptueuses sensations.
Et puis, à l’occasion d’un 69 d’anthologie qui dura longtemps, longtemps, longtemps, la Belle me servit un festival de délice. Sa fellation, non, ses fellations, tellement ses techniques sont variées (et réussies), m’arrachèrent des râles de plaisir. Elle réalisa par exemple de nombreuses DT, forçant bien, pressant mon membre à pénétrer l’étroitesse de son larynx.
Sa vulve aussi m’enchanta. Quel plaisir de suçoter ses petites lèvres proéminentes, de visiter tous les recoins avec la langue, et bien d’autres polissonneries. Miam !
À la fin, rassasié, je réalisais à quel point elle est « very pretty ». Un peu benêt, je le lui dis ainsi. Pas de réaction. D’un autre côté, croyais-je vraiment le lui apprendre, alors que son miroir parle mieux que moi ?
« Mes dieux masculins respectés » … J’aime beaucoup votre légèreté de ton et votre langage imagé. D’autant que cela nous donne le beau rôle, au point qu’on s’imaginerait presque héros d’une mythologie antique abandonné aux soins d’une délicieuse geisha dévouée.
Vous me plaisez déjà. À très bientôt !
Ceux qui prétendent que les femmes asiatiques manquent de fesses ou de hanches, Anna vous convaincra du contraire. Miam !
La belle m’accueillit dans un short ultra court, qui moulait à merveille ses jolies fesses rebondies. Une fois nue et assise sur mes cuisses, quel plaisir de les malaxer, d’empoigner leur moelleux, de caresser leurs courbes excitantes !
Et puis, j’ai cessé de leur rendre hommage sans m’en apercevoir, mon attention happée par ses longs baisers gourmands, goulus même, sa langue léchant et suçant tout à la fois. Mazette ! Cette femme embrasse à merveille.
Cette langue agile, Anna s’en sert aussi pour offrir une fellation délicieuse et originale, veloutée, chaude et bien baveuse. J’ai voulu lui rendre la pareille, d’autant que sa belle vulve aux lèvres épaisses stimulait mon désir, mais ma barbe de 10 jours la piquait trop pour qu’elle puisse prendre du plaisir. Ceux qui apprécient cette pratique, rasez-vous de près pour Anna, son bouton d’amour est sensible.
Pour les gros câlins, missionnaire très tendre accompagné de baisers langoureux, puis, parce que je n’avais pas assez profité de son beau fessier, une douce levrette avec contemplation de son tatouage.
À la toute fin, cette femme pétillante vous dévore de baisers sur le pas de la porte, avant de vous laisser partir en agitant sa main. Tout comme une petite amie !
Cela a parfois ses avantages d’être peu physionomiste au point de frôler la prosopagnosie. Grâce à cette petite déficience, je savourais avec délice la jolie frimousse d’Eva (sa « superbe belle gueule », comme l’a relevé @Napoleon4), comme si je la découvrais pour la première fois (alors que vue le 10 mai dernier).
S’ensuivit un élan du cœur dont l’onde de choc introduisit mes doigts dans l’échancrure de son peignoir entrouvert, tandis que nous goûtions à un premier échange de baisers voluptueux.
Comme son corps était ferme et excitant ! Comme ses lèvres étaient chaudes et humides !
Sa tendre et docile féminité me séduisait grave. Tout émoustillé, le garçon.
Son charme m’avait harponné, et j’en étais ravi. Il était clair que j’allais encore passer un moment fantastique. De fait, elle se montra adorable, affectueuse, impliquée et active tout du long. Une amoureuse câline qui m’embrassa aussi à profusion, avec gourmandise, comme j’aime.
Ah! Juste en passant. Une découverte m’enflamma. En position 69, ses seins se logeaient impeccablement dans mes grandes mains voraces, et c’était un régal de les empoigner ainsi. J’en bande encore.
Après avoir quitté cette merveilleuse courtisane, tout glissait sur moi, rien ne m'atteignait. Je planais. De la journée, rien n’a percé cette armure de sérénité et de douceur qu’elle avait tissée.
Lindy sautillait d’allégresse, impatiente à l’approche de ses congés tout proches.
Cette gaité donna le ton de notre rencontre. Elle mit beaucoup d’entrain dans ses caresses, et sa fellation fut divine. Cette délicieuse amante alterna différentes techniques avec grande maîtrise. Au passage, j’ai beaucoup apprécié le contraste entre la fraîcheur de ses mains venues de dehors et la chaleur humide de sa cavité buccale.
J’ai presque regretté de ne pas adhérer à la religion du CIM (lorsqu’il n’est pas total) : à un moment donné, sa succion baveuse, aspirante et appuyée, menée au rythme du coït tandis que sa langue agile titillait mon extrémité, m’invitait à libérer ma jouissance.
Je ne cédai point, préférant flotter sur un nuage, que cela durât, encore et encore.
Reconnaissant, je tins à partager le bonheur qu’elle me procurait. Lindy éprouva une légère réticence à écarter les cuisses, qui se relâchèrent au fur et à mesure que je sentais ses lèvres gonfler sous les assauts de ma bouche, et son bouton d’amour se dévoiler puis durcir sous ma langue. J’étais aux anges qu’elle s’ouvrît ainsi, mais plus encore lorsqu’elle s’abandonna au plaisir, puis me remercia d’un baiser voluptueux.
Avant de nous quitter, ma généreuse hôtesse partagea ses noix de macadamia, les portant elle-même à ma bouche, geste très attachant.
Une fois sur le lieu de rendez-vous, le téléphone sonne. Cloe parle français ! C’est si rare, chez les escortes asiatiques.
Autre point. Cloe maîtrise remarquablement le massage chinois, appris en école. Ses connaissances lui permettent de l’employer à des fins thérapeutiques.
Mon corps traîne encore les séquelles d’un accident survenu il y a quelques mois. En y mettant force et énergie, elle m’a redressé dos, hanches et bassin, puis malaxé et drainé les chairs maltraitées, découvrant par elle-même où appliquer ses soins. Ma première séance de kiné peau contre peau !
Ça, c’était pour clore l’heure. Au début de la rencontre, Cloe proposa à l’inverse un massage tout en effleurement, qui vous fait bander comme un taureau avant même que ses doigts ne se posent sur votre désir. Quelle polyvalence !
Pour la partie plus polissonne, Cloe mouille abondamment sous les caresses, atout indéniable lorsque, vous chevauchant en amazone, elle enchaîne les va-et-vient, allant jusqu’à expulser votre membre (ou à l’extrême limite) et se faire pénétrer à nouveau avec précision, sans qu’il glisse à côté, tout en gardant le rythme. Impressionnant !
Cela procure des sensations tellement délicieuses et originales, que le plaisir m’a envahi plus vite que souhaité, me prenant par surprise.
Nulle outrance, nulle vulgarité sur les photos (réelles) de Mélina. Ses jolies fesses bien proportionnées aux rondeurs charnelles, ses petits seins fermes au galbe épousant si bien le creux de nos mains, sa peau soyeuse, et on sent déjà nos lèvres courir le long de ses courbes excitantes. Quelles agréables pensées érotiques naissent de sa contemplation !
De plus, aux évaluations postées, on devine une personnalité généreuse, qui prend à cœur de satisfaire son invité, de lui apporter détente et bienfaits sans compter son temps.
Ce que je pressentais ci-dessus de Mélina s’est révélé exact. Et puis, sa présence, la douce mélopée de sa voix, ses attentions, délicates ou coquines, son environnement, tout concourt à distiller une atmosphère bienveillante et profondément sereine. Je me suis senti vibrer à son diapason, en parfaite harmonie. Le sourire, celui de la félicité, ne m’a pas quitté un instant. Je l’ai encore en écrivant ces lignes.
Mélina, je paraissais impassible, mais sache que je bondissais intérieurement de joie lorsque j’ai déclenché sur tout ton corps cette vague de frissons, cette chair de poule alors que tu me guidais gentiment vers ton plaisir. C’était tendre et puissant à la fois.
Douce Mélina, tu possèdes de grandes qualités humaines et tu offres une belle respiration au milieu de l’agitation de ce monde.
Les tatouages de Lilith m’ont transporté dans une ambiance artistique Extrême-Orientale. Bizarrement, ils m’ont fait voyager au Japon, évoquant pour moi certaines estampes miniatures peintes sur les précieux instruments d’écriture Namiki, mais aussi « Le bureau des jardins et des étangs » de Didier Decoin, livre dont la sensualité et la sensibilité m’avaient touché.
Sensualité et sensibilité, Lilith m’en offrit à foison. Elle embrasse à merveille, tandis que son visage reflète les traits languissants d’une femme amoureuse. Ses baisers onctueux et voluptueux m’ont régalé et excité tout à la fois.
Excité, je le fus encore plus à coulisser le long de sa vulve, mon membre prisonnier de ses grosses lèvres trempées de désir. Quelles sensations incroyables ! J’ai d’ailleurs rattrapé in extremis une explosion de mon plaisir.
Quant à sa légendaire fellation, impossible de ne pas gémir lorsque vous vous enfoncez dans l’étroitesse de sa gorge et que ses lèvres viennent toucher votre abdomen. On en veut encore et encore !
J’ai raffolé aussi de la levrette, position qui m’a apporté tellement de plaisir qu’il me fallut du temps pour débander après avoir joui (pour parler crû).
Après votre départ , Lilith vous souhaite une bonne journée et ponctue le SMS d’un baiser.
Une minute avant l’heure, Amanda me contacta. Étais-je arrivé ? J’accélérai sur les dix derniers mètres puis acquiesçai. Les consignes suivirent dans l’instant.
Pas une seconde d’attente, royal ! Ce moment coquin s’annonçait sous les meilleurs Auspices… Et se poursuivit d’ailleurs sur le même ton.
Cette svelte petite princesse me reçut dans un déshabillé crème aussi caressant que le satin, aussi lisse que sa peau.
Nos corps aspiraient à une ambiance très câline, très affectueuse, avec de longs baisers voluptueux qui nous accompagnèrent tout du long.
Je m’interrompais parfois, suivant des doigts et du regard les lignes harmonieuses de son visage, et me nourrissant de ses mimiques délicieusement coquettes. Elle y mettait fin en plongeant ingénument sur mes lèvres.
Sa bouche aventureuse trouva d’autres manières de me procurer du plaisir. Dans le même temps, mes mains se réconciliaient avec le B-cup et se régalaient de ses tétons provocants.
Après avoir fait l’amour avec beaucoup de tendresse, la séance se termina par un massage bien appuyé le long du dos.
Je finissais de me rhabiller, quand Amanda infiltra une main espiègle dans mon boxer, curieuse de ma capacité à la désirer de nouveau.
Soupir ! Pas envie d’aller bosser !
Comme une luciole, j’avais été attiré, happé par la source lumineuse que dégage cette petite fée atypique. La beauté de ses traits délicats séduit et attendrit, la perfection de ses courbes féminines attise le désir, la singularité de ses tatouages amplifie ses attraits.
Et la voir en vrai confirme à quel point cette femme est gracieuse (et sent délicieusement bon !).
Une vidéo encore présente sur le site le mois dernier m’avait subjugué par la sensualité provocatrice et la promesse de volupté qu’elle dégageait. Son regard farouche passait d’une épaule à l’autre, tandis que ses cheveux les balayaient dans la grâce d’un ralenti. Dans le même temps, ses hanches se balançaient dans une belle harmonie érotique.
J’aurais adoré que Fernanda me rejoue cette brève séquence volcanique, mais on ne s’est pas compris (mon anglais est perfectible).
Pour la suite, j'ai vécu une expérience un peu différente de celle de @NoFakeReference.
J’avais vécu une expérience mitigée ce matin. J’ai tout oublié sous les caresses d’Eva. Cette jolie femme à l’âme ensoleillée, pleine de belle énergie amoureuse, illumina le restant de ma journée (et au delà).
Lisez ses promesses d’enchantement et de délices sur son profil. Elle sont tenues. Eva me fit ressentir une ivresse érotique, sensuelle et sexuelle qui m’a fait chavirer. Je me suis aussi régalé de sa beauté, de son corps ferme, doux, aux belles courbes excitantes taillées pour l’amour. J’en vibre encore.
Ce moment puissant a été mené avec totale dévotion et grand talent. J’ai adoré cette rencontre, intense en câlins, en baisers profonds et en polissonneries. Quelle amante ! Quelle expertise dans les jeux de l’amour ! Même l’enchaînement des positions était incroyable. Nos corps restaient lovés sans jamais se désunir. Un miroir fort indiscret peut en témoigner.
Son savoir-faire ne s’arrête pas là. Comme le relève @napoleon4, son massage du corps alternait, parfois vigoureux, parfois caressant. Et puis Eva masse la tête avec tant de soin, que je percevais des pulsations de tendresse. Étaient-ce ses doigts attentionnés qui les diffusaient ou bien naissaient-t-elles de mes propres sensations ?
Whatever. I felt good! So good!
Eva se hisse à la tête de mon TOP 50. Je compte bien la revoir.
Je comprends les appréciations qui évoquent le dévouement d’Aimi à nous faire plaisir, et sa connaissance de l’homme.
La séance prenait fin sur un doux massage, lorsque Aimi me dit, presque timide (c’était charmant) : « fellation ? ». Quitte à passer pour l’idiot du village, je lui fis répéter 3 fois (elle mima même l’acte), tellement la proposition m’interloquait. À mon âge, reprendre sur une durée si courte me paraissait improbable.
Elle semblait sûre d’elle, et j’acceptais donc, dubitatif… Avant que son talent ne m’épate. Plus qu’une experte, c’est une artiste, car une réelle sensibilité doit l’habiter pour si bien coordonner cette symphonie de succions, pressions et autres délices, qui vous raniment en un clin d’œil.
Je bandais mon corps comme un arc, mon dard ainsi mieux disposé à décocher sa sève libératrice, redoutant que flamme ne s’étouffe dans un panache de fumée. Plus tard, Aimi recueillit gentiment ma jouissance entre ses lèvres délicates.
La séance avait largement débordé.
Tôt ce matin, je me suis amusé d'une réflexion toute féminine de Lulu. Cette jolie demoiselle regrettait de n’avoir pas eu le temps de se maquiller. Sincèrement, Lulu est de ces femmes qui n’ont besoin d’aucun artifice pour rehausser leur beauté naturelle.
Quelle aubaine pour moi, d’ailleurs : et si le fard avait camouflé ces petites taches de soleil dont ses pommettes sont saupoudrées, qui la rendent si pétillante et mettent si bien en valeur son petit côté espiègle et charmeur ? Je suis ravi que Lulu m'ait laissé cette petite touche d’harmonie supplémentaire. Pour être honnête, je n'en ai pas pleinement profité, car son talent et ses attraits détournaient sans cesse mon attention. La douceur de ses lèvres suaves lors de nos longs baisers langoureux m’emportaient si loin que j’en fermais les yeux, oubliant de la contempler. Sa silhouette tonique aux courbes excitantes appelait les caresses, ses seins délicieux régalaient les sens, son entrejambe m'attirait pour les plus coquines des cajoleries. Quand j'avais fini de me disperser, Lulu prenait le relais de manière fort polissonne. Plus tard, alors qu'elle me chevauchait, j'adorai son sourire tout mignon, ses dents apparaissant entre ses lèvres entrouvertes.
Au bout du compte, je ne repris la contemplation de son visage aux pommettes joliment parées que lorsque le corps et l'esprit furent apaisés.
@Ffanck alias @Stephanebm57 alias @Foulane75, vous tournez sur une poignée de commentaires désobligeants, toujours les mêmes, pour dénigrer plusieurs escortes.
Daisy n’est pas la seule à qui vous reprochez de vous avoir finalement imposé la fellation couverte. Peut-être votre extrémité est-elle grêlée d’ulcérations et de boutons, ou souffre-t-elle d’écoulements nauséabonds ?
La vigilance apportée à ne surtout pas se faire infecter a pu jouer sur la spontanéité de Daisy, et créer une distance que vous avez pu interpréter comme de l’arrogance ou de la froideur. En veillant sur sa santé, elle veille sur la nôtre.
Dommage pour vous de n’avoir pu profiter des talents remarquables de Daisy, qui nous réserve toujours le meilleur accueil (cf. autres appréciations).
4 saillies de votre part étalées sur plus de 15 jours, et visant les deux profils de Daisy. Vous avez du mal à passer à autre chose.
Que ceux qui ne connaissent pas Daisy se rassurent : ils passeront un très bon moment !
Je la contemplais, elle appliquée à attacher ses cheveux avant de rejoindre le lit. Geste très gracieux, très féminin. Elle surpris mon regard dans le miroir. Petits rires brefs, presque gênés. C’était charmant, ça m’a rajeuni de trente ans.
Cette parenthèse délicate se métamorphosa rapidement en une profusion de profonds baisers langoureux, de tendresse, et de caresses variées. Parcourir son corps élancé à la peau si douce était un plaisir. Des seins sublimes à pétrir et à sucer, leur extrémité vigoureuse et bien charnue (une photo l'illustre) pointant fièrement même sans stimulation.
Dans le même temps, sa langue s’aventurait un peu partout sur mon torse, tandis que ses mains polissonnes s’assuraient de la rigidité de mon désir. Plus tard, sa bouche prit le relais avec beaucoup de talent. C’était torride et j’étais aux anges.
Et puis, j’aimais bien comme elle me regardait, ses yeux pétillants et sa lèvre joliment relevée projetant un sourire sur tout son visage.
Avant de s'empaler, Aiko lâcha ses longs cheveux. Ah, j’aimais ça, les voir se balancer sur ses épaules au rythme de nos ébats !
Pour finir, nous discutâmes sans prendre garde au temps qui passe. Aiko a soif d’enrichir son français. L’un d’entre vous lui a appris « préliminaires ». Ça sert peu chez la boulangère, mais entre ses bras, si !
J’avais déjà rencontré Feier (appréciation du 9 janvier), et je n’avais pas su me rassasier d’elle avec toute la ferveur méritée. Voilà l’affront lavé, à présent.
Si je me souvenais de ses hanches, bien marquées pour une femme asiatiques (miam !), ainsi que de ses fesses sublimes à caresser, son petit être irradiait aujourd’hui d’une flamme enjouée qui m’avait échappé. Feier semblait épanouie et sereine, comme accomplie. C’était très plaisant, et cela forgea de suite une atmosphère complice et tendre.
Ambiance sensuelle, aussi ! Son petit haut remontait aisément le long de la courbure de ses seins, tandis que mes mains venaient épouser leur galbe. Par ailleurs, de longs et profonds baisers nous accompagnèrent tout du long.
Cette proximité charnelle appela d’autres jeux de bouche, bien plus polissons, ceux-là. Ses doigts légers comme une plume me caressaient tout l’entrejambe, tandis que sa bouche suçait, aspirait, pompait, parfois remplacée par quelques doigts dansant sur mon extrémité. A ce moment-là, de délicieux spasmes me parcouraient, partant du scrotum. Fantastique ! Tout n’était plus que pur plaisir érotique, l’orgasme tenu à distance pour profiter, profiter encore.
Débordant de reconnaissance, je plongeai ensuite ma langue entre ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle s’abandonnât. J’ai adoré qu’elle m’en remerciât à plusieurs reprises.
Même enthousiasme que Gillou92.
Pour compléter mon appréciation précédente, sachez que cette charmante femme délivre vraiment une prestation d’escorte exclusive, pour un bouquet de roses tout à fait abordable (standard).
Il n’y a pas de mystère. Nana n’accumule pas tant de bonnes appréciations par hasard.
Déjà, cette jolie femme au corps élancé vous accueille dans une nuisette torride, fort bien conçue pour mettre en valeur ses charmes féminins, taille fine, seins pleins et fesses rondes. J’en oubliais de respirer.
Autre surprise, c’est elle, c’est bien elle, tout aussi classe et charmante que sur les photos, et qui s’exprime bien en français.
Ses longs baisers langoureux, avec nos langues longuement mêlées, m’ont transporté dans son univers baigné de sensualité et de romantisme.
J’étais aux anges, et lorsqu’elle s’enquérait de mon ressenti, je répliquais par un fade « très bien », loin d’exprimer l’intensité de mon feu d’artifice intérieur après que sa bouche avait sucé et aspiré mon désir d’elle, par exemple.
Ravi, je le fus aussi alors que ma langue honorait son entrejambe, et qu’elle participait activement à déclencher son orgasme.
Et faire l’amour fut d’un naturel ! Son sexe, que l’excitation rend si chaud, si humide, si accueillant, facilita la pénétration. Quel délice ensuite de se mouvoir en elle, ondulant au rythme du plaisir, nos lèvres jointes !
Et quelle satisfaction, une fois nos corps séparés, de noter l’abondance de ses sécrétions à la racine de mon membre !
Un massage à l’huile me fit atterrir tout en douceur.
Générosité. Voilà Helen en un mot. Ses câlins, son débordement de tendresse, ses attentions polissonnes, ses baisers abondants si longs et si profonds, sa débauche de sensualité, son corps appelant à l’amour, le temps qui déborde : tout en elle reflète l’envie que son amant passe un moment merveilleux.
Mon amante, ma courtisane, mon amoureuse tout à la fois... De bien doux sentiments m’ont habité toute la séance.
Helen m’a aussi chauffé les sangs.
Qu’elle se penchât un peu, et sa minijupe (photos contractuelles) n’avait soudain plus rien à cacher. Quant à son haut, il peinait à contenir l’une des plus belles poitrines qu’il m’ait été donné de cajoler, suçoter, presser et soupeser.
La belle réagissait quasi instantanément aux effleurements entre ses cuisses, mes doigts vite humides de son excitation. Sa réaction attisait d’autant mon envie d’elle. Plus tard, ma langue rendit longuement hommage à sa réactive intimité, me régalant de ses sécrétions et de ses lèvres magnifiques à contempler et à dévorer.
À cette occasion, j’ai adoré la caresser partout alors qu’elle se cambrait à la recherche du plaisir tandis que ses tétons saillaient.
Bien d’autres choses à dire, sur ses talents cette fois. Ce sera après notre prochaine rencontre. En attendant, l’évocation de ces souvenirs torrides éveillent à nouveau mon envie d’elle.
J'avais entendu dire que des dames arpentaient le trottoir à La Fourche. Désoeuvré, je partis en reconnaissance. Effectivement, l'une d'elles m'aborda. Longues bottes, mignonne, elle me proposa d'une voix claire et douce de faire l'amour. Peu à mon aise dans la foule dense de passants, je déclinai à regret. Ça me travailla, le désir enfla, durcit, l'animal soudain à l'étroit dans le pantalon. Le temps que ma cervelle dégringolât dans l'entrejambe, demi-tour ! Et là, déception : la témérité d'un autre me l'avait enlevée. Xiaoyu nota mon désarroi (ou mon appétit), nos regards se croisèrent et elle m'offrit ses services d'un signe timide.
Bingo !
Xiaoyu se révéla douce, attentionnée et serviable. Ses yeux respiraient de bonté. D'ailleurs, elle consacre bénévolement la moitié de son temps à une association d'entraide. A voir sa beauté aujourd'hui, on devine aisément qu'elle a dû faire chavirer autrefois le cœur de bien des hommes. Ça aurait pu la rendre hautaine, mais on la perçoit au contraire très humaine. Et son sourire m'a conquis.
J'ai passé une heure vautré comme un pacha, paresseusement allongé tandis qu'elle me couvrait de délicieux baisers et d'attentions plus torrides, prodiguées avec un soin particulier apporté à l'hygiène.
Pour conclure, sa tranquille quiétude apporte l'apaisement.
La recommandation publiée par @BH92 m’a appâté. Bien m’en prit de céder. Cette femme élancée et espiègle est à croquer ! Quoique. Ce matin, difficile de savoir qui dévora qui. Sa langue quasi serpentine goûta à ma chair, s’attardant en périphérie de mon désir d’elle, rendant hommage à des zones que je découvris particulièrement sensibles aux taquineries buccales : bas du ventre et aine, par exemple. Trop bon !
Sa bouche a bien d’autres talents. Elle embrasse divinement. Sa langue agile, à la fois intrépide et docile, toujours fraîche et coquine, procure de voluptueuses sensations.
Et puis, à l’occasion d’un 69 d’anthologie qui dura longtemps, longtemps, longtemps, la Belle me servit un festival de délice. Sa fellation, non, ses fellations, tellement ses techniques sont variées (et réussies), m’arrachèrent des râles de plaisir. Elle réalisa par exemple de nombreuses DT, forçant bien, pressant mon membre à pénétrer l’étroitesse de son larynx.
Sa vulve aussi m’enchanta. Quel plaisir de suçoter ses petites lèvres proéminentes, de visiter tous les recoins avec la langue, et bien d’autres polissonneries. Miam !
À la fin, rassasié, je réalisais à quel point elle est « very pretty ». Un peu benêt, je le lui dis ainsi. Pas de réaction. D’un autre côté, croyais-je vraiment le lui apprendre, alors que son miroir parle mieux que moi ?
« Mes dieux masculins respectés » … J’aime beaucoup votre légèreté de ton et votre langage imagé. D’autant que cela nous donne le beau rôle, au point qu’on s’imaginerait presque héros d’une mythologie antique abandonné aux soins d’une délicieuse geisha dévouée.
Vous me plaisez déjà. À très bientôt !
Ceux qui prétendent que les femmes asiatiques manquent de fesses ou de hanches, Anna vous convaincra du contraire. Miam !
La belle m’accueillit dans un short ultra court, qui moulait à merveille ses jolies fesses rebondies. Une fois nue et assise sur mes cuisses, quel plaisir de les malaxer, d’empoigner leur moelleux, de caresser leurs courbes excitantes !
Et puis, j’ai cessé de leur rendre hommage sans m’en apercevoir, mon attention happée par ses longs baisers gourmands, goulus même, sa langue léchant et suçant tout à la fois. Mazette ! Cette femme embrasse à merveille.
Cette langue agile, Anna s’en sert aussi pour offrir une fellation délicieuse et originale, veloutée, chaude et bien baveuse. J’ai voulu lui rendre la pareille, d’autant que sa belle vulve aux lèvres épaisses stimulait mon désir, mais ma barbe de 10 jours la piquait trop pour qu’elle puisse prendre du plaisir. Ceux qui apprécient cette pratique, rasez-vous de près pour Anna, son bouton d’amour est sensible.
Pour les gros câlins, missionnaire très tendre accompagné de baisers langoureux, puis, parce que je n’avais pas assez profité de son beau fessier, une douce levrette avec contemplation de son tatouage.
À la toute fin, cette femme pétillante vous dévore de baisers sur le pas de la porte, avant de vous laisser partir en agitant sa main. Tout comme une petite amie !
Cela a parfois ses avantages d’être peu physionomiste au point de frôler la prosopagnosie. Grâce à cette petite déficience, je savourais avec délice la jolie frimousse d’Eva (sa « superbe belle gueule », comme l’a relevé @Napoleon4), comme si je la découvrais pour la première fois (alors que vue le 10 mai dernier).
S’ensuivit un élan du cœur dont l’onde de choc introduisit mes doigts dans l’échancrure de son peignoir entrouvert, tandis que nous goûtions à un premier échange de baisers voluptueux.
Comme son corps était ferme et excitant ! Comme ses lèvres étaient chaudes et humides !
Sa tendre et docile féminité me séduisait grave. Tout émoustillé, le garçon.
Son charme m’avait harponné, et j’en étais ravi. Il était clair que j’allais encore passer un moment fantastique. De fait, elle se montra adorable, affectueuse, impliquée et active tout du long. Une amoureuse câline qui m’embrassa aussi à profusion, avec gourmandise, comme j’aime.
Ah! Juste en passant. Une découverte m’enflamma. En position 69, ses seins se logeaient impeccablement dans mes grandes mains voraces, et c’était un régal de les empoigner ainsi. J’en bande encore.
Après avoir quitté cette merveilleuse courtisane, tout glissait sur moi, rien ne m'atteignait. Je planais. De la journée, rien n’a percé cette armure de sérénité et de douceur qu’elle avait tissée.
Lindy sautillait d’allégresse, impatiente à l’approche de ses congés tout proches.
Cette gaité donna le ton de notre rencontre. Elle mit beaucoup d’entrain dans ses caresses, et sa fellation fut divine. Cette délicieuse amante alterna différentes techniques avec grande maîtrise. Au passage, j’ai beaucoup apprécié le contraste entre la fraîcheur de ses mains venues de dehors et la chaleur humide de sa cavité buccale.
J’ai presque regretté de ne pas adhérer à la religion du CIM (lorsqu’il n’est pas total) : à un moment donné, sa succion baveuse, aspirante et appuyée, menée au rythme du coït tandis que sa langue agile titillait mon extrémité, m’invitait à libérer ma jouissance.
Je ne cédai point, préférant flotter sur un nuage, que cela durât, encore et encore.
Reconnaissant, je tins à partager le bonheur qu’elle me procurait. Lindy éprouva une légère réticence à écarter les cuisses, qui se relâchèrent au fur et à mesure que je sentais ses lèvres gonfler sous les assauts de ma bouche, et son bouton d’amour se dévoiler puis durcir sous ma langue. J’étais aux anges qu’elle s’ouvrît ainsi, mais plus encore lorsqu’elle s’abandonna au plaisir, puis me remercia d’un baiser voluptueux.
Avant de nous quitter, ma généreuse hôtesse partagea ses noix de macadamia, les portant elle-même à ma bouche, geste très attachant.
Une fois sur le lieu de rendez-vous, le téléphone sonne. Cloe parle français ! C’est si rare, chez les escortes asiatiques.
Autre point. Cloe maîtrise remarquablement le massage chinois, appris en école. Ses connaissances lui permettent de l’employer à des fins thérapeutiques.
Mon corps traîne encore les séquelles d’un accident survenu il y a quelques mois. En y mettant force et énergie, elle m’a redressé dos, hanches et bassin, puis malaxé et drainé les chairs maltraitées, découvrant par elle-même où appliquer ses soins. Ma première séance de kiné peau contre peau !
Ça, c’était pour clore l’heure. Au début de la rencontre, Cloe proposa à l’inverse un massage tout en effleurement, qui vous fait bander comme un taureau avant même que ses doigts ne se posent sur votre désir. Quelle polyvalence !
Pour la partie plus polissonne, Cloe mouille abondamment sous les caresses, atout indéniable lorsque, vous chevauchant en amazone, elle enchaîne les va-et-vient, allant jusqu’à expulser votre membre (ou à l’extrême limite) et se faire pénétrer à nouveau avec précision, sans qu’il glisse à côté, tout en gardant le rythme. Impressionnant !
Cela procure des sensations tellement délicieuses et originales, que le plaisir m’a envahi plus vite que souhaité, me prenant par surprise.
Nulle outrance, nulle vulgarité sur les photos (réelles) de Mélina. Ses jolies fesses bien proportionnées aux rondeurs charnelles, ses petits seins fermes au galbe épousant si bien le creux de nos mains, sa peau soyeuse, et on sent déjà nos lèvres courir le long de ses courbes excitantes. Quelles agréables pensées érotiques naissent de sa contemplation !
De plus, aux évaluations postées, on devine une personnalité généreuse, qui prend à cœur de satisfaire son invité, de lui apporter détente et bienfaits sans compter son temps.
Ce que je pressentais ci-dessus de Mélina s’est révélé exact. Et puis, sa présence, la douce mélopée de sa voix, ses attentions, délicates ou coquines, son environnement, tout concourt à distiller une atmosphère bienveillante et profondément sereine. Je me suis senti vibrer à son diapason, en parfaite harmonie. Le sourire, celui de la félicité, ne m’a pas quitté un instant. Je l’ai encore en écrivant ces lignes.
Mélina, je paraissais impassible, mais sache que je bondissais intérieurement de joie lorsque j’ai déclenché sur tout ton corps cette vague de frissons, cette chair de poule alors que tu me guidais gentiment vers ton plaisir. C’était tendre et puissant à la fois.
Douce Mélina, tu possèdes de grandes qualités humaines et tu offres une belle respiration au milieu de l’agitation de ce monde.
Les tatouages de Lilith m’ont transporté dans une ambiance artistique Extrême-Orientale. Bizarrement, ils m’ont fait voyager au Japon, évoquant pour moi certaines estampes miniatures peintes sur les précieux instruments d’écriture Namiki, mais aussi « Le bureau des jardins et des étangs » de Didier Decoin, livre dont la sensualité et la sensibilité m’avaient touché.
Sensualité et sensibilité, Lilith m’en offrit à foison. Elle embrasse à merveille, tandis que son visage reflète les traits languissants d’une femme amoureuse. Ses baisers onctueux et voluptueux m’ont régalé et excité tout à la fois.
Excité, je le fus encore plus à coulisser le long de sa vulve, mon membre prisonnier de ses grosses lèvres trempées de désir. Quelles sensations incroyables ! J’ai d’ailleurs rattrapé in extremis une explosion de mon plaisir.
Quant à sa légendaire fellation, impossible de ne pas gémir lorsque vous vous enfoncez dans l’étroitesse de sa gorge et que ses lèvres viennent toucher votre abdomen. On en veut encore et encore !
J’ai raffolé aussi de la levrette, position qui m’a apporté tellement de plaisir qu’il me fallut du temps pour débander après avoir joui (pour parler crû).
Après votre départ , Lilith vous souhaite une bonne journée et ponctue le SMS d’un baiser.
Délicate attention !
Une minute avant l’heure, Amanda me contacta. Étais-je arrivé ? J’accélérai sur les dix derniers mètres puis acquiesçai. Les consignes suivirent dans l’instant.
Pas une seconde d’attente, royal ! Ce moment coquin s’annonçait sous les meilleurs Auspices… Et se poursuivit d’ailleurs sur le même ton.
Cette svelte petite princesse me reçut dans un déshabillé crème aussi caressant que le satin, aussi lisse que sa peau.
Nos corps aspiraient à une ambiance très câline, très affectueuse, avec de longs baisers voluptueux qui nous accompagnèrent tout du long.
Je m’interrompais parfois, suivant des doigts et du regard les lignes harmonieuses de son visage, et me nourrissant de ses mimiques délicieusement coquettes. Elle y mettait fin en plongeant ingénument sur mes lèvres.
Sa bouche aventureuse trouva d’autres manières de me procurer du plaisir. Dans le même temps, mes mains se réconciliaient avec le B-cup et se régalaient de ses tétons provocants.
Après avoir fait l’amour avec beaucoup de tendresse, la séance se termina par un massage bien appuyé le long du dos.
Je finissais de me rhabiller, quand Amanda infiltra une main espiègle dans mon boxer, curieuse de ma capacité à la désirer de nouveau.
Soupir ! Pas envie d’aller bosser !
Comme une luciole, j’avais été attiré, happé par la source lumineuse que dégage cette petite fée atypique. La beauté de ses traits délicats séduit et attendrit, la perfection de ses courbes féminines attise le désir, la singularité de ses tatouages amplifie ses attraits.
Et la voir en vrai confirme à quel point cette femme est gracieuse (et sent délicieusement bon !).
Une vidéo encore présente sur le site le mois dernier m’avait subjugué par la sensualité provocatrice et la promesse de volupté qu’elle dégageait. Son regard farouche passait d’une épaule à l’autre, tandis que ses cheveux les balayaient dans la grâce d’un ralenti. Dans le même temps, ses hanches se balançaient dans une belle harmonie érotique.
J’aurais adoré que Fernanda me rejoue cette brève séquence volcanique, mais on ne s’est pas compris (mon anglais est perfectible).
Pour la suite, j'ai vécu une expérience un peu différente de celle de @NoFakeReference.
J’avais vécu une expérience mitigée ce matin. J’ai tout oublié sous les caresses d’Eva. Cette jolie femme à l’âme ensoleillée, pleine de belle énergie amoureuse, illumina le restant de ma journée (et au delà).
Lisez ses promesses d’enchantement et de délices sur son profil. Elle sont tenues. Eva me fit ressentir une ivresse érotique, sensuelle et sexuelle qui m’a fait chavirer. Je me suis aussi régalé de sa beauté, de son corps ferme, doux, aux belles courbes excitantes taillées pour l’amour. J’en vibre encore.
Ce moment puissant a été mené avec totale dévotion et grand talent. J’ai adoré cette rencontre, intense en câlins, en baisers profonds et en polissonneries. Quelle amante ! Quelle expertise dans les jeux de l’amour ! Même l’enchaînement des positions était incroyable. Nos corps restaient lovés sans jamais se désunir. Un miroir fort indiscret peut en témoigner.
Son savoir-faire ne s’arrête pas là. Comme le relève @napoleon4, son massage du corps alternait, parfois vigoureux, parfois caressant. Et puis Eva masse la tête avec tant de soin, que je percevais des pulsations de tendresse. Étaient-ce ses doigts attentionnés qui les diffusaient ou bien naissaient-t-elles de mes propres sensations ?
Whatever. I felt good! So good!
Eva se hisse à la tête de mon TOP 50. Je compte bien la revoir.
Je comprends les appréciations qui évoquent le dévouement d’Aimi à nous faire plaisir, et sa connaissance de l’homme.
La séance prenait fin sur un doux massage, lorsque Aimi me dit, presque timide (c’était charmant) : « fellation ? ». Quitte à passer pour l’idiot du village, je lui fis répéter 3 fois (elle mima même l’acte), tellement la proposition m’interloquait. À mon âge, reprendre sur une durée si courte me paraissait improbable.
Elle semblait sûre d’elle, et j’acceptais donc, dubitatif… Avant que son talent ne m’épate. Plus qu’une experte, c’est une artiste, car une réelle sensibilité doit l’habiter pour si bien coordonner cette symphonie de succions, pressions et autres délices, qui vous raniment en un clin d’œil.
Je bandais mon corps comme un arc, mon dard ainsi mieux disposé à décocher sa sève libératrice, redoutant que flamme ne s’étouffe dans un panache de fumée. Plus tard, Aimi recueillit gentiment ma jouissance entre ses lèvres délicates.
La séance avait largement débordé.
Tôt ce matin, je me suis amusé d'une réflexion toute féminine de Lulu. Cette jolie demoiselle regrettait de n’avoir pas eu le temps de se maquiller. Sincèrement, Lulu est de ces femmes qui n’ont besoin d’aucun artifice pour rehausser leur beauté naturelle.
Quelle aubaine pour moi, d’ailleurs : et si le fard avait camouflé ces petites taches de soleil dont ses pommettes sont saupoudrées, qui la rendent si pétillante et mettent si bien en valeur son petit côté espiègle et charmeur ? Je suis ravi que Lulu m'ait laissé cette petite touche d’harmonie supplémentaire. Pour être honnête, je n'en ai pas pleinement profité, car son talent et ses attraits détournaient sans cesse mon attention. La douceur de ses lèvres suaves lors de nos longs baisers langoureux m’emportaient si loin que j’en fermais les yeux, oubliant de la contempler. Sa silhouette tonique aux courbes excitantes appelait les caresses, ses seins délicieux régalaient les sens, son entrejambe m'attirait pour les plus coquines des cajoleries. Quand j'avais fini de me disperser, Lulu prenait le relais de manière fort polissonne. Plus tard, alors qu'elle me chevauchait, j'adorai son sourire tout mignon, ses dents apparaissant entre ses lèvres entrouvertes.
Au bout du compte, je ne repris la contemplation de son visage aux pommettes joliment parées que lorsque le corps et l'esprit furent apaisés.
@Ffanck alias @Stephanebm57 alias @Foulane75, vous tournez sur une poignée de commentaires désobligeants, toujours les mêmes, pour dénigrer plusieurs escortes.
Daisy n’est pas la seule à qui vous reprochez de vous avoir finalement imposé la fellation couverte. Peut-être votre extrémité est-elle grêlée d’ulcérations et de boutons, ou souffre-t-elle d’écoulements nauséabonds ?
La vigilance apportée à ne surtout pas se faire infecter a pu jouer sur la spontanéité de Daisy, et créer une distance que vous avez pu interpréter comme de l’arrogance ou de la froideur. En veillant sur sa santé, elle veille sur la nôtre.
Dommage pour vous de n’avoir pu profiter des talents remarquables de Daisy, qui nous réserve toujours le meilleur accueil (cf. autres appréciations).
4 saillies de votre part étalées sur plus de 15 jours, et visant les deux profils de Daisy. Vous avez du mal à passer à autre chose.
Que ceux qui ne connaissent pas Daisy se rassurent : ils passeront un très bon moment !