Profond respect pour ces femmes capables de nous offrir leur corps et leur coeur avec cette sincérité bluffante. Que de bonheur elles nous apportent !
Mon rapport galant aux femmes a été forgé adolescent à la lecture d'ouvrages romanesques de grands écrivains à cheval entre le XIX et le XX siècle.
Autant dire que mes codes sont aux antipodes de ceux du porno, où la crudité me déplait et la réification de la femme m'offense. J'apprécie le charme courtois du vouvoiement, puis le rapprochement et l'abandon dans le tutoiement.
La vulgarité et la familiarité me rebutent. Délicatesse, douceur, prévenance et petites attentions me touchent. Le contraste avec l'impétuosité sensuelle devient alors d'autant plus savoureux. Je retrouve ces qualités plus fréquemment chez les courtisanes ayant été éduquées dans la culture asiatique classique.
Celles inscrites dans mon TOP 50 (ordonné) m'ont mis la tête à l'envers, chacune à leur façon. Quant à celles qui n'y figurent pas, cela signifie que je n'ai pas l'intention de les revoir.
J'ai rencontré toutes les escortes de ma liste de suivi. Si elles n'ont pas de commentaire, c'est qu'elles l'ont effacé (j'avais sans doute émis une réserve).
Je n'éprouve pas d'animosité pour celles qui m'ont trompé ou déçu. Si quelque chose m'avait plu avant de les voir, je le signale, mais je termine par une ou plusieurs réserves.
Su Su poste ses vraies photos. Le portrait en plein la représente bien, à ceci prêt que sa jeunesse adoucit davantage ses traits. Une femme toute menue, toute mignonne, toute jolie, avec une pincée de mélancolie renforçant son charme.
Ça commença fort dès l’ouverture de la porte. Un visage adorable surgit dans l’entrebâillement. La belle portait une nuisette vaporeuse. Miam !
Mes mains découvrirent plus tard que ce bout de tissu se retroussait avec aisance, et qu’elle était complètement nue dessous. Mon désir montait tranquillement, attisé par les caresses de Su Su, quand je défis une bretelle pour saisir un sein. Sa forme pleine, son galbe ferme, sa pointe tendue… Comme de l’essence déversé sur le feu couvant de mon excitation ! D’un coup, me voilà raide et dur comme un roc. Quel accélérateur !
Pour les câlins, elle embrassa à merveille, ses lèvres caressantes au toucher, ses dents qui mordillaient, sa bouche offerte à l’exploration de nos langues. Ses talents buccaux s’exprimèrent avec tout autant de bonheur lorsqu’elle s’aventura plus bas.
Lorsque nos corps s’entremêlèrent, Su Su semblait si fragile, que je la manipulais avec précaution. Après qu'elle m'ait donné du plaisir, son intimité se contracta pour me garder opérationnel plus longtemps. Miam again !
Gros coup de cœur ! Happé par le charme de cette gracieuse nymphe, le sourire m’a habité tout du long.
Son petit corps ferme et juvénile se cale parfaitement contre le nôtre.
Sa taille, ses fesses, ses cuisses, son ventre plat, ses petits seins charmants à la pointe toujours dressée, son cou gracile, tout est plaisir à contempler, caresser, empoigner, effleurer, pétrir, taquiner, selon l’envie.
Ses lèvres pleines s’amollissant sous les baisers, quel délice ! Et son visage… Comme cette jeune femme douce et souriante est jolie, mais jolie ! Je n’ai pas cessé de la regarder. Un moment, j’ai même ressenti un bref coup de cafard à l’idée de la quitter bientôt sans m’être pleinement rassasié de son joli minois. Combien de fois lui ai-je dit qu’elle était « pretty » ?
L’atmosphère se prête à la sensualité et à l’abandon des sens. Lumière tamisée et musique douce. À son image.
La séance se termina par un massage excellent et très complet. Une première pour moi, Niya massa l’abdomen, malaxant les organes comme si ses mains les tenaient. Incroyable !
À la fin, je l’ai trouvée si adorable tandis qu’elle reboutonnait ma chemise, que le désir m’assaillit à nouveau. Malheureusement, pas possible de prolonger cet instant de grâce, fallait aller bosser.
@Unmeckipasse, vous êtes conçu brut de fonderie, soit. Des ressentis basiques, c’est votre droit.
Mais pourquoi venir polluer la fiche de CARO en vous octroyant le rôle pédant de censeur, jugeant de ce que l’on peut dire ou non ?
Certains d’entre nous ont la chance d’éprouver sous les caresses de CARO des sensations charnelles et sensuelles autrement plus subtiles, et c’est leur droit de les partager.
J’ai jeté un coup d'œil à vos commentaires… Vous avez une langue sacrément fourchue.
Appartement bien agencé, très grand lit dans vaste chambre. Séance déroulée avec la diligence attendue de la part d’un homme pressé et caresses légères permises.
Merci Emilia pour votre disponibilité 😘.
Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
Sisi (You) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de Sisi n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.
Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
You (Sisi) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de You n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.
Caro me trottait toujours dans la tête, et ma chair la réclamait. Une nouvelle visite s'imposait donc !
Comme la veille, la contemplation de sa lingerie coquine, sublimant son corps tout de belles courbes appétissantes, produisit l'effet d'une étincelle sur un bâton de dynamite.
Quel plaisir de la presser contre moi comme une fleur délicate, et de butiner ses lévres puis de laisser nos langues se chercher, se mêler, virevolter, puis pénétrer plus profonds comme pour nous absorber l'un dans l'autre ! C'était délicieusement sensuel, je ne m'en lassais pas.
En parallèle, mon désir s'attisait à empoigner ses fesses aux rondeurs appelant les caresses, à infiltrer quelques doigts dans ses bas le long de ses cuisses, et à glisser une main fureteuse dans son soutien-gorge. D'ailleurs, ce dessous ne resta guère longtemps en place. Avis aux petits polissons : il se dégraphe en un claquement de doigt.
S'ensuivit une débauche de caresses buccales réciproques et de tendres baisers généreux : nos langues furent l'instrument de bien des plaisirs partagés. Nous fîmes ensuite l'amour comme deux amants s'unissant après une longue absence (c'était en tout cas mon ressenti).
Pour finir, sachez que Caro parle français avec un accent distingué, habité des tonalités d'autrefois. Cela se marie très bien avec son allure et son sourire empreint de bonté.
Le premier contact avec Caro déclencha deux bouffées de joie coup sur coup, l’une en découvrant ses yeux rieurs et son visage accueillant, l’autre en caressant du regard la lingerie coquine qui accentuait la féminité excitante de ses formes.
Ces bons présages se confirmèrent lorsque je la serrai contre moi. Plutôt grande femme, mon hôtesse se calait parfaitement dans mes bras. Mes mains vagabondèrent sur son corps à la peau si lisse, empoignèrent ses fesses fermes et bien charnues, rodèrent le long de ses seins, tandis que nos langues s’entrelaçaient longuement et avec gourmandise. Miam ! Caro m’avait transporté hors du monde, où elle me maintint d’ailleurs jusqu’à ce qu’elle me fasse jouir, bien plus tard.
Une fois allongés, mon amante partit en exploration, s’attardant sur mon torse, puis descendant sur l’entrejambe suçoter les deux petits compagnons. D’ordinaire, je redoute une succion douloureuse. Pas avec la délicate Caro.
Et sa fellation… Divine ! On croirait coulisser entre des cuisses trempées de désir. Sa langue pressant le gland, quel régal ! Là, je bande à nouveau.
Manque de place pour tout écrire, c’est frustrant ! En vrac, j’ai adoré sucer ses grosses lèvres gonflées d’excitation et rouler ma langue sur son bouton d’amour tendu et bien dur. J’ai adoré ses câlins, ses baisers et sa tendresse, enlacés.
Hier, les émotions montaient crescendo à mesure que je découvrais Anna à travers ses photos. Cette ascension émotionnelle se poursuivit aujourd’hui, après que sa porte s’ouvrit.
Comme cette femme est belle ! Bien au delà de ce que le léger filtre appliqué sur ses photos laisse espérer. Celles prises de profil dévoilent un peu de sa réelle beauté.
Comme cette femme est attirante ! Elle me reçut vêtue d’une aguichante petite lingerie de ce rouge qui sied si bien aux brunes, ses cheveux gracieusement noués, m’offrant sourire et bonne humeur, s’exprimant avec une voix d'une mélodie et d'une douceur charmeuses.
Comme cette femme est excitante ! Ses baisers veloutés, onctueux, voluptueux vous transportent. Ses seins, à la fois lourds et fermes, réclament les caresses. Ses hanches contrastent à ravir avec sa taille. On ne se lasse pas de parcourir ses courbes féminines à la peau si douce.
Comme cette femme est tendre et complice ! Elle nous prodigue toute l'attention d'une amante amoureuse.
Je l'ai quittée heureux, le sourire aux lèvres. Mais j'avais toujours soif de sa beauté et de son allure.
Elle mérite qu'on lui consacre davantage de temps : la sortir pour la regarder bouger et rire, pour savourer le chant de sa voix, pour admirer sa grâce et nous attendrir, pour profiter de doux moments complices.
Quel plaisir l’on ressent à contempler vos photos ! Prenons celle de vous en secrétaire, un magazine entre les mains.
On se réjouit de votre beau visage harmonieux, ainsi que de vos yeux magnifiques comparables à ceux des nobles femmes égyptiennes de l’Antiquité. Nous voilà charmés.
Notre regard caresse ensuite vos délicates lèvres entrouvertes, qui expriment comme un discret mélange de surprise et de retenue. Les pendentifs de vos boucles d’oreille suivent la ligne de votre cou appelant aux baisers, et accompagnent le tombé nonchalant de vos cheveux. C’est très gracieux. Pour tout cela, notre cœur palpite.
Nos yeux glissent alors sur votre chemisier, tendu à craquer, puis plongent dans votre décolleté affolant. Là, les sangs s’échauffent et l’imagination s’emballe devant cette promesse de sensualité, d’érotisme et de charnel.
Plus bas, votre jupe si courte et si serrée inspire mille coquines manières de la retrousser sur vos fesses, qu’on fantasme aussi rondes et pleines que vos cuisses sont galbées.
L’excitation nous enivre, le désir de vous nous démange. La tension sexuelle referme ses mâchoires, et nous voilà envoûtés.
Toute cette escalade émotionnelle concentrée sur moins de deux secondes, ça déclenche une réaction explosive. Une combustion spontanée.
Hâte de me consumer à votre contact, si vous restez quelque temps.
Je la contemplais, elle appliquée à attacher ses cheveux avant de rejoindre le lit. Geste très gracieux, très féminin. Elle surpris mon regard dans le miroir. Petits rires brefs, presque gênés. C’était charmant, ça m’a rajeuni de trente ans.
Cette parenthèse délicate se métamorphosa rapidement en une profusion de profonds baisers langoureux, de tendresse, et de caresses variées. Parcourir son corps élancé à la peau si douce était un plaisir. Des seins sublimes à pétrir et à sucer, leur extrémité vigoureuse et bien charnue (une photo l'illustre) pointant fièrement même sans stimulation.
Dans le même temps, sa langue s’aventurait un peu partout sur mon torse, tandis que ses mains polissonnes s’assuraient de la rigidité de mon désir. Plus tard, sa bouche prit le relais avec beaucoup de talent. C’était torride et j’étais aux anges.
Et puis, j’aimais bien comme elle me regardait, ses yeux pétillants et sa lèvre joliment relevée projetant un sourire sur tout son visage.
Avant de s'empaler, Aiko lâcha ses longs cheveux. Ah, j’aimais ça, les voir se balancer sur ses épaules au rythme de nos ébats !
Pour finir, nous discutâmes sans prendre garde au temps qui passe. Aiko a soif d’enrichir son français. L’un d’entre vous lui a appris « préliminaires ». Ça sert peu chez la boulangère, mais entre ses bras, si !
J’avais déjà rencontré Feier (appréciation du 9 janvier), et je n’avais pas su me rassasier d’elle avec toute la ferveur méritée. Voilà l’affront lavé, à présent.
Si je me souvenais de ses hanches, bien marquées pour une femme asiatiques (miam !), ainsi que de ses fesses sublimes à caresser, son petit être irradiait aujourd’hui d’une flamme enjouée qui m’avait échappé. Feier semblait épanouie et sereine, comme accomplie. C’était très plaisant, et cela forgea de suite une atmosphère complice et tendre.
Ambiance sensuelle, aussi ! Son petit haut remontait aisément le long de la courbure de ses seins, tandis que mes mains venaient épouser leur galbe. Par ailleurs, de longs et profonds baisers nous accompagnèrent tout du long.
Cette proximité charnelle appela d’autres jeux de bouche, bien plus polissons, ceux-là. Ses doigts légers comme une plume me caressaient tout l’entrejambe, tandis que sa bouche suçait, aspirait, pompait, parfois remplacée par quelques doigts dansant sur mon extrémité. A ce moment-là, de délicieux spasmes me parcouraient, partant du scrotum. Fantastique ! Tout n’était plus que pur plaisir érotique, l’orgasme tenu à distance pour profiter, profiter encore.
Débordant de reconnaissance, je plongeai ensuite ma langue entre ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle s’abandonnât. J’ai adoré qu’elle m’en remerciât à plusieurs reprises.
Pour compléter mon appréciation précédente, sachez que cette charmante femme délivre vraiment une prestation d’escorte exclusive, pour un bouquet de roses tout à fait abordable (standard).
Il n’y a pas de mystère. Nana n’accumule pas tant de bonnes appréciations par hasard.
Déjà, cette jolie femme au corps élancé vous accueille dans une nuisette torride, fort bien conçue pour mettre en valeur ses charmes féminins, taille fine, seins pleins et fesses rondes. J’en oubliais de respirer.
Autre surprise, c’est elle, c’est bien elle, tout aussi classe et charmante que sur les photos, et qui s’exprime bien en français.
Ses longs baisers langoureux, avec nos langues longuement mêlées, m’ont transporté dans son univers baigné de sensualité et de romantisme.
J’étais aux anges, et lorsqu’elle s’enquérait de mon ressenti, je répliquais par un fade « très bien », loin d’exprimer l’intensité de mon feu d’artifice intérieur après que sa bouche avait sucé et aspiré mon désir d’elle, par exemple.
Ravi, je le fus aussi alors que ma langue honorait son entrejambe, et qu’elle participait activement à déclencher son orgasme.
Et faire l’amour fut d’un naturel ! Son sexe, que l’excitation rend si chaud, si humide, si accueillant, facilita la pénétration. Quel délice ensuite de se mouvoir en elle, ondulant au rythme du plaisir, nos lèvres jointes !
Et quelle satisfaction, une fois nos corps séparés, de noter l’abondance de ses sécrétions à la racine de mon membre !
Un massage à l’huile me fit atterrir tout en douceur.
Générosité. Voilà Helen en un mot. Ses câlins, son débordement de tendresse, ses attentions polissonnes, ses baisers abondants si longs et si profonds, sa débauche de sensualité, son corps appelant à l’amour, le temps qui déborde : tout en elle reflète l’envie que son amant passe un moment merveilleux.
Mon amante, ma courtisane, mon amoureuse tout à la fois... De bien doux sentiments m’ont habité toute la séance.
Helen m’a aussi chauffé les sangs.
Qu’elle se penchât un peu, et sa minijupe (photos contractuelles) n’avait soudain plus rien à cacher. Quant à son haut, il peinait à contenir l’une des plus belles poitrines qu’il m’ait été donné de cajoler, suçoter, presser et soupeser.
La belle réagissait quasi instantanément aux effleurements entre ses cuisses, mes doigts vite humides de son excitation. Sa réaction attisait d’autant mon envie d’elle. Plus tard, ma langue rendit longuement hommage à sa réactive intimité, me régalant de ses sécrétions et de ses lèvres magnifiques à contempler et à dévorer.
À cette occasion, j’ai adoré la caresser partout alors qu’elle se cambrait à la recherche du plaisir tandis que ses tétons saillaient.
Bien d’autres choses à dire, sur ses talents cette fois. Ce sera après notre prochaine rencontre. En attendant, l’évocation de ces souvenirs torrides éveillent à nouveau mon envie d’elle.
J'avais entendu dire que des dames arpentaient le trottoir à La Fourche. Désoeuvré, je partis en reconnaissance. Effectivement, l'une d'elles m'aborda. Longues bottes, mignonne, elle me proposa d'une voix claire et douce de faire l'amour. Peu à mon aise dans la foule dense de passants, je déclinai à regret. Ça me travailla, le désir enfla, durcit, l'animal soudain à l'étroit dans le pantalon. Le temps que ma cervelle dégringolât dans l'entrejambe, demi-tour ! Et là, déception : la témérité d'un autre me l'avait enlevée. Xiaoyu nota mon désarroi (ou mon appétit), nos regards se croisèrent et elle m'offrit ses services d'un signe timide.
Bingo !
Xiaoyu se révéla douce, attentionnée et serviable. Ses yeux respiraient de bonté. D'ailleurs, elle consacre bénévolement la moitié de son temps à une association d'entraide. A voir sa beauté aujourd'hui, on devine aisément qu'elle a dû faire chavirer autrefois le cœur de bien des hommes. Ça aurait pu la rendre hautaine, mais on la perçoit au contraire très humaine. Et son sourire m'a conquis.
J'ai passé une heure vautré comme un pacha, paresseusement allongé tandis qu'elle me couvrait de délicieux baisers et d'attentions plus torrides, prodiguées avec un soin particulier apporté à l'hygiène.
Pour conclure, sa tranquille quiétude apporte l'apaisement.
La recommandation publiée par @BH92 m’a appâté. Bien m’en prit de céder. Cette femme élancée et espiègle est à croquer ! Quoique. Ce matin, difficile de savoir qui dévora qui. Sa langue quasi serpentine goûta à ma chair, s’attardant en périphérie de mon désir d’elle, rendant hommage à des zones que je découvris particulièrement sensibles aux taquineries buccales : bas du ventre et aine, par exemple. Trop bon !
Sa bouche a bien d’autres talents. Elle embrasse divinement. Sa langue agile, à la fois intrépide et docile, toujours fraîche et coquine, procure de voluptueuses sensations.
Et puis, à l’occasion d’un 69 d’anthologie qui dura longtemps, longtemps, longtemps, la Belle me servit un festival de délice. Sa fellation, non, ses fellations, tellement ses techniques sont variées (et réussies), m’arrachèrent des râles de plaisir. Elle réalisa par exemple de nombreuses DT, forçant bien, pressant mon membre à pénétrer l’étroitesse de son larynx.
Sa vulve aussi m’enchanta. Quel plaisir de suçoter ses petites lèvres proéminentes, de visiter tous les recoins avec la langue, et bien d’autres polissonneries. Miam !
À la fin, rassasié, je réalisais à quel point elle est « very pretty ». Un peu benêt, je le lui dis ainsi. Pas de réaction. D’un autre côté, croyais-je vraiment le lui apprendre, alors que son miroir parle mieux que moi ?
« Mes dieux masculins respectés » … J’aime beaucoup votre légèreté de ton et votre langage imagé. D’autant que cela nous donne le beau rôle, au point qu’on s’imaginerait presque héros d’une mythologie antique abandonné aux soins d’une délicieuse geisha dévouée.
Vous me plaisez déjà. À très bientôt !
Ceux qui prétendent que les femmes asiatiques manquent de fesses ou de hanches, Anna vous convaincra du contraire. Miam !
La belle m’accueillit dans un short ultra court, qui moulait à merveille ses jolies fesses rebondies. Une fois nue et assise sur mes cuisses, quel plaisir de les malaxer, d’empoigner leur moelleux, de caresser leurs courbes excitantes !
Et puis, j’ai cessé de leur rendre hommage sans m’en apercevoir, mon attention happée par ses longs baisers gourmands, goulus même, sa langue léchant et suçant tout à la fois. Mazette ! Cette femme embrasse à merveille.
Cette langue agile, Anna s’en sert aussi pour offrir une fellation délicieuse et originale, veloutée, chaude et bien baveuse. J’ai voulu lui rendre la pareille, d’autant que sa belle vulve aux lèvres épaisses stimulait mon désir, mais ma barbe de 10 jours la piquait trop pour qu’elle puisse prendre du plaisir. Ceux qui apprécient cette pratique, rasez-vous de près pour Anna, son bouton d’amour est sensible.
Pour les gros câlins, missionnaire très tendre accompagné de baisers langoureux, puis, parce que je n’avais pas assez profité de son beau fessier, une douce levrette avec contemplation de son tatouage.
À la toute fin, cette femme pétillante vous dévore de baisers sur le pas de la porte, avant de vous laisser partir en agitant sa main. Tout comme une petite amie !
Cela a parfois ses avantages d’être peu physionomiste au point de frôler la prosopagnosie. Grâce à cette petite déficience, je savourais avec délice la jolie frimousse d’Eva (sa « superbe belle gueule », comme l’a relevé @Napoleon4), comme si je la découvrais pour la première fois (alors que vue le 10 mai dernier).
S’ensuivit un élan du cœur dont l’onde de choc introduisit mes doigts dans l’échancrure de son peignoir entrouvert, tandis que nous goûtions à un premier échange de baisers voluptueux.
Comme son corps était ferme et excitant ! Comme ses lèvres étaient chaudes et humides !
Sa tendre et docile féminité me séduisait grave. Tout émoustillé, le garçon.
Son charme m’avait harponné, et j’en étais ravi. Il était clair que j’allais encore passer un moment fantastique. De fait, elle se montra adorable, affectueuse, impliquée et active tout du long. Une amoureuse câline qui m’embrassa aussi à profusion, avec gourmandise, comme j’aime.
Ah! Juste en passant. Une découverte m’enflamma. En position 69, ses seins se logeaient impeccablement dans mes grandes mains voraces, et c’était un régal de les empoigner ainsi. J’en bande encore.
Après avoir quitté cette merveilleuse courtisane, tout glissait sur moi, rien ne m'atteignait. Je planais. De la journée, rien n’a percé cette armure de sérénité et de douceur qu’elle avait tissée.
Su Su poste ses vraies photos. Le portrait en plein la représente bien, à ceci prêt que sa jeunesse adoucit davantage ses traits. Une femme toute menue, toute mignonne, toute jolie, avec une pincée de mélancolie renforçant son charme.
Ça commença fort dès l’ouverture de la porte. Un visage adorable surgit dans l’entrebâillement. La belle portait une nuisette vaporeuse. Miam !
Mes mains découvrirent plus tard que ce bout de tissu se retroussait avec aisance, et qu’elle était complètement nue dessous. Mon désir montait tranquillement, attisé par les caresses de Su Su, quand je défis une bretelle pour saisir un sein. Sa forme pleine, son galbe ferme, sa pointe tendue… Comme de l’essence déversé sur le feu couvant de mon excitation ! D’un coup, me voilà raide et dur comme un roc. Quel accélérateur !
Pour les câlins, elle embrassa à merveille, ses lèvres caressantes au toucher, ses dents qui mordillaient, sa bouche offerte à l’exploration de nos langues. Ses talents buccaux s’exprimèrent avec tout autant de bonheur lorsqu’elle s’aventura plus bas.
Lorsque nos corps s’entremêlèrent, Su Su semblait si fragile, que je la manipulais avec précaution. Après qu'elle m'ait donné du plaisir, son intimité se contracta pour me garder opérationnel plus longtemps. Miam again !
Un très bon moment, tout doux !
Gros coup de cœur ! Happé par le charme de cette gracieuse nymphe, le sourire m’a habité tout du long.
Son petit corps ferme et juvénile se cale parfaitement contre le nôtre.
Sa taille, ses fesses, ses cuisses, son ventre plat, ses petits seins charmants à la pointe toujours dressée, son cou gracile, tout est plaisir à contempler, caresser, empoigner, effleurer, pétrir, taquiner, selon l’envie.
Ses lèvres pleines s’amollissant sous les baisers, quel délice ! Et son visage… Comme cette jeune femme douce et souriante est jolie, mais jolie ! Je n’ai pas cessé de la regarder. Un moment, j’ai même ressenti un bref coup de cafard à l’idée de la quitter bientôt sans m’être pleinement rassasié de son joli minois. Combien de fois lui ai-je dit qu’elle était « pretty » ?
L’atmosphère se prête à la sensualité et à l’abandon des sens. Lumière tamisée et musique douce. À son image.
La séance se termina par un massage excellent et très complet. Une première pour moi, Niya massa l’abdomen, malaxant les organes comme si ses mains les tenaient. Incroyable !
À la fin, je l’ai trouvée si adorable tandis qu’elle reboutonnait ma chemise, que le désir m’assaillit à nouveau. Malheureusement, pas possible de prolonger cet instant de grâce, fallait aller bosser.
@Unmeckipasse, vous êtes conçu brut de fonderie, soit. Des ressentis basiques, c’est votre droit.
Mais pourquoi venir polluer la fiche de CARO en vous octroyant le rôle pédant de censeur, jugeant de ce que l’on peut dire ou non ?
Certains d’entre nous ont la chance d’éprouver sous les caresses de CARO des sensations charnelles et sensuelles autrement plus subtiles, et c’est leur droit de les partager.
J’ai jeté un coup d'œil à vos commentaires… Vous avez une langue sacrément fourchue.
Appartement bien agencé, très grand lit dans vaste chambre. Séance déroulée avec la diligence attendue de la part d’un homme pressé et caresses légères permises.
Merci Emilia pour votre disponibilité 😘.
Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
Sisi (You) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de Sisi n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.
Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
You (Sisi) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de You n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.
Caro me trottait toujours dans la tête, et ma chair la réclamait. Une nouvelle visite s'imposait donc !
Comme la veille, la contemplation de sa lingerie coquine, sublimant son corps tout de belles courbes appétissantes, produisit l'effet d'une étincelle sur un bâton de dynamite.
Quel plaisir de la presser contre moi comme une fleur délicate, et de butiner ses lévres puis de laisser nos langues se chercher, se mêler, virevolter, puis pénétrer plus profonds comme pour nous absorber l'un dans l'autre ! C'était délicieusement sensuel, je ne m'en lassais pas.
En parallèle, mon désir s'attisait à empoigner ses fesses aux rondeurs appelant les caresses, à infiltrer quelques doigts dans ses bas le long de ses cuisses, et à glisser une main fureteuse dans son soutien-gorge. D'ailleurs, ce dessous ne resta guère longtemps en place. Avis aux petits polissons : il se dégraphe en un claquement de doigt.
S'ensuivit une débauche de caresses buccales réciproques et de tendres baisers généreux : nos langues furent l'instrument de bien des plaisirs partagés. Nous fîmes ensuite l'amour comme deux amants s'unissant après une longue absence (c'était en tout cas mon ressenti).
Pour finir, sachez que Caro parle français avec un accent distingué, habité des tonalités d'autrefois. Cela se marie très bien avec son allure et son sourire empreint de bonté.
Le premier contact avec Caro déclencha deux bouffées de joie coup sur coup, l’une en découvrant ses yeux rieurs et son visage accueillant, l’autre en caressant du regard la lingerie coquine qui accentuait la féminité excitante de ses formes.
Ces bons présages se confirmèrent lorsque je la serrai contre moi. Plutôt grande femme, mon hôtesse se calait parfaitement dans mes bras. Mes mains vagabondèrent sur son corps à la peau si lisse, empoignèrent ses fesses fermes et bien charnues, rodèrent le long de ses seins, tandis que nos langues s’entrelaçaient longuement et avec gourmandise. Miam ! Caro m’avait transporté hors du monde, où elle me maintint d’ailleurs jusqu’à ce qu’elle me fasse jouir, bien plus tard.
Une fois allongés, mon amante partit en exploration, s’attardant sur mon torse, puis descendant sur l’entrejambe suçoter les deux petits compagnons. D’ordinaire, je redoute une succion douloureuse. Pas avec la délicate Caro.
Et sa fellation… Divine ! On croirait coulisser entre des cuisses trempées de désir. Sa langue pressant le gland, quel régal ! Là, je bande à nouveau.
Manque de place pour tout écrire, c’est frustrant ! En vrac, j’ai adoré sucer ses grosses lèvres gonflées d’excitation et rouler ma langue sur son bouton d’amour tendu et bien dur. J’ai adoré ses câlins, ses baisers et sa tendresse, enlacés.
Charnel et sensuel. Érotico-romantique.
Magique !
Hier, les émotions montaient crescendo à mesure que je découvrais Anna à travers ses photos. Cette ascension émotionnelle se poursuivit aujourd’hui, après que sa porte s’ouvrit.
Comme cette femme est belle ! Bien au delà de ce que le léger filtre appliqué sur ses photos laisse espérer. Celles prises de profil dévoilent un peu de sa réelle beauté.
Comme cette femme est attirante ! Elle me reçut vêtue d’une aguichante petite lingerie de ce rouge qui sied si bien aux brunes, ses cheveux gracieusement noués, m’offrant sourire et bonne humeur, s’exprimant avec une voix d'une mélodie et d'une douceur charmeuses.
Comme cette femme est excitante ! Ses baisers veloutés, onctueux, voluptueux vous transportent. Ses seins, à la fois lourds et fermes, réclament les caresses. Ses hanches contrastent à ravir avec sa taille. On ne se lasse pas de parcourir ses courbes féminines à la peau si douce.
Comme cette femme est tendre et complice ! Elle nous prodigue toute l'attention d'une amante amoureuse.
Je l'ai quittée heureux, le sourire aux lèvres. Mais j'avais toujours soif de sa beauté et de son allure.
Elle mérite qu'on lui consacre davantage de temps : la sortir pour la regarder bouger et rire, pour savourer le chant de sa voix, pour admirer sa grâce et nous attendrir, pour profiter de doux moments complices.
Quel plaisir l’on ressent à contempler vos photos ! Prenons celle de vous en secrétaire, un magazine entre les mains.
On se réjouit de votre beau visage harmonieux, ainsi que de vos yeux magnifiques comparables à ceux des nobles femmes égyptiennes de l’Antiquité. Nous voilà charmés.
Notre regard caresse ensuite vos délicates lèvres entrouvertes, qui expriment comme un discret mélange de surprise et de retenue. Les pendentifs de vos boucles d’oreille suivent la ligne de votre cou appelant aux baisers, et accompagnent le tombé nonchalant de vos cheveux. C’est très gracieux. Pour tout cela, notre cœur palpite.
Nos yeux glissent alors sur votre chemisier, tendu à craquer, puis plongent dans votre décolleté affolant. Là, les sangs s’échauffent et l’imagination s’emballe devant cette promesse de sensualité, d’érotisme et de charnel.
Plus bas, votre jupe si courte et si serrée inspire mille coquines manières de la retrousser sur vos fesses, qu’on fantasme aussi rondes et pleines que vos cuisses sont galbées.
L’excitation nous enivre, le désir de vous nous démange. La tension sexuelle referme ses mâchoires, et nous voilà envoûtés.
Toute cette escalade émotionnelle concentrée sur moins de deux secondes, ça déclenche une réaction explosive. Une combustion spontanée.
Hâte de me consumer à votre contact, si vous restez quelque temps.
Je la contemplais, elle appliquée à attacher ses cheveux avant de rejoindre le lit. Geste très gracieux, très féminin. Elle surpris mon regard dans le miroir. Petits rires brefs, presque gênés. C’était charmant, ça m’a rajeuni de trente ans.
Cette parenthèse délicate se métamorphosa rapidement en une profusion de profonds baisers langoureux, de tendresse, et de caresses variées. Parcourir son corps élancé à la peau si douce était un plaisir. Des seins sublimes à pétrir et à sucer, leur extrémité vigoureuse et bien charnue (une photo l'illustre) pointant fièrement même sans stimulation.
Dans le même temps, sa langue s’aventurait un peu partout sur mon torse, tandis que ses mains polissonnes s’assuraient de la rigidité de mon désir. Plus tard, sa bouche prit le relais avec beaucoup de talent. C’était torride et j’étais aux anges.
Et puis, j’aimais bien comme elle me regardait, ses yeux pétillants et sa lèvre joliment relevée projetant un sourire sur tout son visage.
Avant de s'empaler, Aiko lâcha ses longs cheveux. Ah, j’aimais ça, les voir se balancer sur ses épaules au rythme de nos ébats !
Pour finir, nous discutâmes sans prendre garde au temps qui passe. Aiko a soif d’enrichir son français. L’un d’entre vous lui a appris « préliminaires ». Ça sert peu chez la boulangère, mais entre ses bras, si !
J’avais déjà rencontré Feier (appréciation du 9 janvier), et je n’avais pas su me rassasier d’elle avec toute la ferveur méritée. Voilà l’affront lavé, à présent.
Si je me souvenais de ses hanches, bien marquées pour une femme asiatiques (miam !), ainsi que de ses fesses sublimes à caresser, son petit être irradiait aujourd’hui d’une flamme enjouée qui m’avait échappé. Feier semblait épanouie et sereine, comme accomplie. C’était très plaisant, et cela forgea de suite une atmosphère complice et tendre.
Ambiance sensuelle, aussi ! Son petit haut remontait aisément le long de la courbure de ses seins, tandis que mes mains venaient épouser leur galbe. Par ailleurs, de longs et profonds baisers nous accompagnèrent tout du long.
Cette proximité charnelle appela d’autres jeux de bouche, bien plus polissons, ceux-là. Ses doigts légers comme une plume me caressaient tout l’entrejambe, tandis que sa bouche suçait, aspirait, pompait, parfois remplacée par quelques doigts dansant sur mon extrémité. A ce moment-là, de délicieux spasmes me parcouraient, partant du scrotum. Fantastique ! Tout n’était plus que pur plaisir érotique, l’orgasme tenu à distance pour profiter, profiter encore.
Débordant de reconnaissance, je plongeai ensuite ma langue entre ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle s’abandonnât. J’ai adoré qu’elle m’en remerciât à plusieurs reprises.
Même enthousiasme que Gillou92.
Pour compléter mon appréciation précédente, sachez que cette charmante femme délivre vraiment une prestation d’escorte exclusive, pour un bouquet de roses tout à fait abordable (standard).
Il n’y a pas de mystère. Nana n’accumule pas tant de bonnes appréciations par hasard.
Déjà, cette jolie femme au corps élancé vous accueille dans une nuisette torride, fort bien conçue pour mettre en valeur ses charmes féminins, taille fine, seins pleins et fesses rondes. J’en oubliais de respirer.
Autre surprise, c’est elle, c’est bien elle, tout aussi classe et charmante que sur les photos, et qui s’exprime bien en français.
Ses longs baisers langoureux, avec nos langues longuement mêlées, m’ont transporté dans son univers baigné de sensualité et de romantisme.
J’étais aux anges, et lorsqu’elle s’enquérait de mon ressenti, je répliquais par un fade « très bien », loin d’exprimer l’intensité de mon feu d’artifice intérieur après que sa bouche avait sucé et aspiré mon désir d’elle, par exemple.
Ravi, je le fus aussi alors que ma langue honorait son entrejambe, et qu’elle participait activement à déclencher son orgasme.
Et faire l’amour fut d’un naturel ! Son sexe, que l’excitation rend si chaud, si humide, si accueillant, facilita la pénétration. Quel délice ensuite de se mouvoir en elle, ondulant au rythme du plaisir, nos lèvres jointes !
Et quelle satisfaction, une fois nos corps séparés, de noter l’abondance de ses sécrétions à la racine de mon membre !
Un massage à l’huile me fit atterrir tout en douceur.
Générosité. Voilà Helen en un mot. Ses câlins, son débordement de tendresse, ses attentions polissonnes, ses baisers abondants si longs et si profonds, sa débauche de sensualité, son corps appelant à l’amour, le temps qui déborde : tout en elle reflète l’envie que son amant passe un moment merveilleux.
Mon amante, ma courtisane, mon amoureuse tout à la fois... De bien doux sentiments m’ont habité toute la séance.
Helen m’a aussi chauffé les sangs.
Qu’elle se penchât un peu, et sa minijupe (photos contractuelles) n’avait soudain plus rien à cacher. Quant à son haut, il peinait à contenir l’une des plus belles poitrines qu’il m’ait été donné de cajoler, suçoter, presser et soupeser.
La belle réagissait quasi instantanément aux effleurements entre ses cuisses, mes doigts vite humides de son excitation. Sa réaction attisait d’autant mon envie d’elle. Plus tard, ma langue rendit longuement hommage à sa réactive intimité, me régalant de ses sécrétions et de ses lèvres magnifiques à contempler et à dévorer.
À cette occasion, j’ai adoré la caresser partout alors qu’elle se cambrait à la recherche du plaisir tandis que ses tétons saillaient.
Bien d’autres choses à dire, sur ses talents cette fois. Ce sera après notre prochaine rencontre. En attendant, l’évocation de ces souvenirs torrides éveillent à nouveau mon envie d’elle.
J'avais entendu dire que des dames arpentaient le trottoir à La Fourche. Désoeuvré, je partis en reconnaissance. Effectivement, l'une d'elles m'aborda. Longues bottes, mignonne, elle me proposa d'une voix claire et douce de faire l'amour. Peu à mon aise dans la foule dense de passants, je déclinai à regret. Ça me travailla, le désir enfla, durcit, l'animal soudain à l'étroit dans le pantalon. Le temps que ma cervelle dégringolât dans l'entrejambe, demi-tour ! Et là, déception : la témérité d'un autre me l'avait enlevée. Xiaoyu nota mon désarroi (ou mon appétit), nos regards se croisèrent et elle m'offrit ses services d'un signe timide.
Bingo !
Xiaoyu se révéla douce, attentionnée et serviable. Ses yeux respiraient de bonté. D'ailleurs, elle consacre bénévolement la moitié de son temps à une association d'entraide. A voir sa beauté aujourd'hui, on devine aisément qu'elle a dû faire chavirer autrefois le cœur de bien des hommes. Ça aurait pu la rendre hautaine, mais on la perçoit au contraire très humaine. Et son sourire m'a conquis.
J'ai passé une heure vautré comme un pacha, paresseusement allongé tandis qu'elle me couvrait de délicieux baisers et d'attentions plus torrides, prodiguées avec un soin particulier apporté à l'hygiène.
Pour conclure, sa tranquille quiétude apporte l'apaisement.
La recommandation publiée par @BH92 m’a appâté. Bien m’en prit de céder. Cette femme élancée et espiègle est à croquer ! Quoique. Ce matin, difficile de savoir qui dévora qui. Sa langue quasi serpentine goûta à ma chair, s’attardant en périphérie de mon désir d’elle, rendant hommage à des zones que je découvris particulièrement sensibles aux taquineries buccales : bas du ventre et aine, par exemple. Trop bon !
Sa bouche a bien d’autres talents. Elle embrasse divinement. Sa langue agile, à la fois intrépide et docile, toujours fraîche et coquine, procure de voluptueuses sensations.
Et puis, à l’occasion d’un 69 d’anthologie qui dura longtemps, longtemps, longtemps, la Belle me servit un festival de délice. Sa fellation, non, ses fellations, tellement ses techniques sont variées (et réussies), m’arrachèrent des râles de plaisir. Elle réalisa par exemple de nombreuses DT, forçant bien, pressant mon membre à pénétrer l’étroitesse de son larynx.
Sa vulve aussi m’enchanta. Quel plaisir de suçoter ses petites lèvres proéminentes, de visiter tous les recoins avec la langue, et bien d’autres polissonneries. Miam !
À la fin, rassasié, je réalisais à quel point elle est « very pretty ». Un peu benêt, je le lui dis ainsi. Pas de réaction. D’un autre côté, croyais-je vraiment le lui apprendre, alors que son miroir parle mieux que moi ?
« Mes dieux masculins respectés » … J’aime beaucoup votre légèreté de ton et votre langage imagé. D’autant que cela nous donne le beau rôle, au point qu’on s’imaginerait presque héros d’une mythologie antique abandonné aux soins d’une délicieuse geisha dévouée.
Vous me plaisez déjà. À très bientôt !
Ceux qui prétendent que les femmes asiatiques manquent de fesses ou de hanches, Anna vous convaincra du contraire. Miam !
La belle m’accueillit dans un short ultra court, qui moulait à merveille ses jolies fesses rebondies. Une fois nue et assise sur mes cuisses, quel plaisir de les malaxer, d’empoigner leur moelleux, de caresser leurs courbes excitantes !
Et puis, j’ai cessé de leur rendre hommage sans m’en apercevoir, mon attention happée par ses longs baisers gourmands, goulus même, sa langue léchant et suçant tout à la fois. Mazette ! Cette femme embrasse à merveille.
Cette langue agile, Anna s’en sert aussi pour offrir une fellation délicieuse et originale, veloutée, chaude et bien baveuse. J’ai voulu lui rendre la pareille, d’autant que sa belle vulve aux lèvres épaisses stimulait mon désir, mais ma barbe de 10 jours la piquait trop pour qu’elle puisse prendre du plaisir. Ceux qui apprécient cette pratique, rasez-vous de près pour Anna, son bouton d’amour est sensible.
Pour les gros câlins, missionnaire très tendre accompagné de baisers langoureux, puis, parce que je n’avais pas assez profité de son beau fessier, une douce levrette avec contemplation de son tatouage.
À la toute fin, cette femme pétillante vous dévore de baisers sur le pas de la porte, avant de vous laisser partir en agitant sa main. Tout comme une petite amie !
Cela a parfois ses avantages d’être peu physionomiste au point de frôler la prosopagnosie. Grâce à cette petite déficience, je savourais avec délice la jolie frimousse d’Eva (sa « superbe belle gueule », comme l’a relevé @Napoleon4), comme si je la découvrais pour la première fois (alors que vue le 10 mai dernier).
S’ensuivit un élan du cœur dont l’onde de choc introduisit mes doigts dans l’échancrure de son peignoir entrouvert, tandis que nous goûtions à un premier échange de baisers voluptueux.
Comme son corps était ferme et excitant ! Comme ses lèvres étaient chaudes et humides !
Sa tendre et docile féminité me séduisait grave. Tout émoustillé, le garçon.
Son charme m’avait harponné, et j’en étais ravi. Il était clair que j’allais encore passer un moment fantastique. De fait, elle se montra adorable, affectueuse, impliquée et active tout du long. Une amoureuse câline qui m’embrassa aussi à profusion, avec gourmandise, comme j’aime.
Ah! Juste en passant. Une découverte m’enflamma. En position 69, ses seins se logeaient impeccablement dans mes grandes mains voraces, et c’était un régal de les empoigner ainsi. J’en bande encore.
Après avoir quitté cette merveilleuse courtisane, tout glissait sur moi, rien ne m'atteignait. Je planais. De la journée, rien n’a percé cette armure de sérénité et de douceur qu’elle avait tissée.