Profond respect pour ces femmes capables de nous offrir leur corps et leur coeur avec cette sincérité bluffante. Que de bonheur elles nous apportent !
Mon rapport galant aux femmes a été forgé adolescent à la lecture d'ouvrages romanesques de grands écrivains à cheval entre le XIX et le XX siècle.
Autant dire que mes codes sont aux antipodes de ceux du porno, où la crudité me déplait et la réification de la femme m'offense. J'apprécie le charme courtois du vouvoiement, puis le rapprochement et l'abandon dans le tutoiement.
La vulgarité et la familiarité me rebutent. Délicatesse, douceur, prévenance et petites attentions me touchent. Le contraste avec l'impétuosité sensuelle devient alors d'autant plus savoureux. Je retrouve ces qualités plus fréquemment chez les courtisanes ayant été éduquées dans la culture asiatique classique.
Celles inscrites dans mon TOP 50 (ordonné) m'ont mis la tête à l'envers, chacune à leur façon. Quant à celles qui n'y figurent pas, cela signifie que je n'ai pas l'intention de les revoir.
J'ai rencontré toutes les escortes de ma liste de suivi. Si elles n'ont pas de commentaire, c'est qu'elles l'ont effacé (j'avais sans doute émis une réserve).
Je n'éprouve pas d'animosité pour celles qui m'ont trompé ou déçu. Si quelque chose m'avait plu avant de les voir, je le signale, mais je termine par une ou plusieurs réserves.
Lors de notre précédente rencontre, l’intensité de nos étreintes m’avait ébranlé. Les effets avaient perduré bien au delà du temps passé ensemble. Ça dit la joie que j’ai éprouvée à revoir Cindy ce matin !
Ses tenues sont toujours différentes, et la mettent systématiquement en valeur. Aujourd’hui, ma belle amante portait une robe noire ultra courte et très moulante, dont le caractère pyrotechnique enflamma mon désir sur-le-champ.
Certains prétendent que les femmes asiatiques n’ont pas de formes. Ils n’ont pas encore croisé Cindy. Ils ne l’ont pas vue dans cette petite robe. Ils n’ont pas goûté à ce contraste entre un corps svelte et tonique, et de belles rondeurs féminines délicieuses à empoigner, à sucer, à mordiller, à croquer. Ils n’ont pas effleuré ses jambes bien galbées ou sa taille bien marquée.
Oui, Cindy a de nombreux atouts.
Bien gaulée, c’est sûr, mais aussi experte dans les jeux de l’amour. Sa fellation, par exemple, procure des sensations incroyables. Onctueuse, chaude, humide et enveloppante.
Cindy sait être coquine, croyez-en la vidéo. Elle s’efforce de vous gober le plus loin possible, entre autres. Ce jeu a duré bien plus longtemps que d’habitude, c’était délicieux, j’ai adoré.
Je n’aurais pas dû y goûter, je vais le réclamer à chaque fois, maintenant.
Lundi dernier sera à marquer d’une pierre blanche : j’ai perdu mon pucelage triolisme.
Comme toute vierge effarouchée, cela faisait plusieurs mois que cela me travaillait, mais que je n’osais sauter le pas. Des appréhensions autour d’un torrent de stimulations sensorielles, qui me ferait perdre le contrôle bien trop tôt, me laissant un goût d’inachevé.
Et bien pas du tout ! Ces appréhensions étaient à côté de la plaque. C’était bien mieux que ce que j’avais anticipé. De très loin.
Tout du long, quelle félicité ! J’étais aux anges, comme un pacha.
Déjà, vous êtes au centre de leurs petites attentions : douces, câlines, sensuelles, elles s’efforcent de vous être agréable et y parviennent pleinement. On prend immédiatement conscience du privilège qu’on a à tenir deux femmes dans nos bras, ces femmes qui s’accordent pour que chaque caresse vous fasse frémir. Une répartition telle qu’un max de zones réceptives de votre corps sont stimulées en même temps.
Deux femmes complémentaires. La plus réservée embrassait à merveille, et là n’est pas son seul talent buccal. La plus élancée, sa grâce et ses formes harmonieuses me mettaient en feu. A regarder son joli visage, mon cœur palpitait.
Elles sont vraiment adorables. Après la douche, elles m’ont même changé un pansement chirurgical (seul, je galérais).
Après nous être longtemps perdus de vue, une ex petite amie s’était mise à me sucer, ce qu’elle ne faisait jamais auparavant. Elle avait ensuite ignoré mes signaux à l’approche de l’orgasme, et poursuivi jusqu’à recueillir ma jouissance et l’avaler, sans rien perdre. Quel bonheur !
Avec Nata, je voulais approcher les puissantes émotions ressenties ce jour-là.
La porte s'ouvrit sur une jolie femme à la silhouette élégante et aux formes accentuées par une robe moulante fendue jusqu’à son entrejambe. Miam ! Ma lubricité nota l'absence de culotte. Re-miam !
Une fois allongés, sa bouche avait tendance à quitter mes lèvres pour descendre taquiner mon désir d’elle. C’était chaud, mouillé et varié, et elle me gobait tout entier avec facilité. Impressionnant !
Partisan de la réciprocité, je glissai ma tête entre ses cuisses. Sa vulve m’a ému, entre autres par l’onctuosité de sa cyprine combinée à la mollesse de ses lèvres. Sous son clitoris, deux très fines peaux se tendaient à chaque pic d’excitation, guidant ma langue jusqu’à sa jouissance.
Plus tard vint la mienne, et Nata l’avala longuement, avec application. Elle sut ensuite décrire goût, texture, saveur, abondance et force du jet. Ce produit de l'orgasme masculin la fascine.
Enfin une escorte qui considère le sperme avec intérêt et non pas comme repoussant !
@Fake777, bien sûr que si Feier répond ! Et toujours rapidement.
À lire vos commentaires, on découvre que vous vous prenez un nombre incalculable de vents chaque jour.
Remettez-vous en question, car manifestement vos phrases d'approche sont perfectibles. Commencer par un dick pic, par exemple, c'est un peu abrupt.
Sur ses nouveaux portraits d’elle, Cindy apparaît dans toute sa fraîcheur et sa spontanéité. Ces photos accompagnent l’ajout d’une vidéo délicieusement suggestive.
24 secondes où cette ravissante séductrice se révèle radieuse, appliquée et très coquine.
24 secondes durant lesquelles mon désir durci revendique la même attention que celle accordée à ce fruit polisson.
Il sait combien la bouche de Cindy est chaude et onctueuse. Quand on y glisse, on veut que cela ne finisse jamais.
Quant à moi, les baisers, les câlins et les flots de tendresse de Cindy me manquaient.
Aujourd’hui, la belle recevait dans une tunique échancrée sur l’un des flancs. Cette configuration facilitait l’accès à sa poitrine, dont le galbe et la texture m’affolent toujours autant.
Pour la suite, quelles sensations ! J’ai ressenti une communion particulièrement intense, intime et fusionnelle de nos corps, une proximité à la fois excitante et bouleversante. Cindy exprimait une avidité charnelle et amoureuse dans ses étreintes, dans la façon de courir ses mains sur mon corps, ou dans sa recherche du plaisir. C’était très fort.
Avant de la quitter, je me suis attardé dans le creux de son cou, imprégnant mon visage de son parfum délicat. Une fois dehors, son odeur s’est trop vite dissipée. Ne me restait plus d’elle que le souvenir de nos caresses.
Y repenser (et je ne fais que ça) entretient une forme de blues forgé dans un alliage de beaux souvenirs, de manque et de douce nostalgie.
Jamais de ma vie je n’avais laissé échapper de râles de plaisir. Jamais. Joyce m’en a arraché combien ? Deux douzaines ?
Lorsqu’elle m’avalait tout entier et que ses lèvres effleuraient mon pubis, une onde de plaisir m’arrachait ces gémissements incontrôlables. Happé, mon esprit n’était plus qu’à vibrer en harmonie avec les sensations que cette petite princesse me procurait, si bien que j’en oubliais tout, et notamment de butiner ses chairs intimes.
Dans les jeux buccaux, j’apprécie énormément donner, un peu moins recevoir. Avec Joyce, j’ai adoré recevoir. Quel talent ! Et quelle générosité ! Elle devait percevoir combien je me régalais, car elle a prolongé, prolongé, prolongé encore. Délicieux !
La belle sait écouter le corps d’un homme. Elle vous maintient sur la ligne de crête, aux frontières de l’orgasme, et c’est un festival de sensations. Vous en prenez plein la vue.
J’aurais bien d’autres choses à écrire sur Joyce, notamment le plaisir que j’ai eu à la découvrir et à discuter avec elle, mais seulement la place de donner un exemple de comment cette femme de qualité à l’érotisme torride m’a mis la tête à l’envers.
Le 5 janvier, vous proposiez de méditer sur : « L'érotisme, c'est de donner au corps les prestiges de l'esprit. ». L'exercice demande à se détacher de son corps et de ses émotions, pour mieux mobiliser ses ressources cérébrales.
Peine perdue. Votre vidéo m'a tabassé en cinq uppercuts sensuels. Chacun d'eux exalte l'un de vos splendides atouts, tous rivalisant de grâce féminine et de tentations charnelles. Décharge d'adrénaline, brusque passage de 50 à 200 battements / minute, les tympans qui bourdonnent, et ... bascule dans l'ivresse.
Dans cet état, comment réfléchir ? A la lecture d'« érotisme » et de « corps », la vision du vôtre resplendissant d'une aura torride, défile dans ma tête au gré de votre galerie photos, tandis que « prestige » retentit comme la qualité promise de votre accompagnement... Tout s'emmêle, mes pensées trébuchent.
Comment alors disséquer cet aphorisme, qui parle de prêter à ce corps l'intuition et l'intelligence de la pose la plus lascive ou du mouvement le plus grâcieux, corps piochant dans l'imagination, la créativité et l'expérience passée pour attiser avec justesse l'excitation de son partenaire, déclenchée donc par ce déferlement d'érotisme ?
Ah tiens ! On dirait là une interprétation possible !
Mademoiselle, à parcourir votre profil, on comprend que cette phrase aurait pu être écrite pour vous.
Vous notez l’implication de Cindy, très GFE, et son enthousiasme. Vous la considérez comme un bon plan. Malgré cela, une session courte réduite à une saine purge des ballasts séminaux vous suffit.
Pour ceux qui se régalent des qualités que vous avez relevées, et qui apprécient le dévouement des escortes asiatiques, deux heures bien remplies peuvent ne pas suffire.
Hier, j’ai justement choisi cette durée. Le temps a filé à une vitesse incroyable, et j’ai dû bâcler le second round pour partir bosser, allant chercher la jouissance au plus pressé.
Au jugé, il me manquait encore une demi-heure pour me rassasier pleinement de Cindy.
Difficile de recommander une durée, ça dépend de chacun, notamment d’un ingrédient magique un peu capricieux, parfois évoqué : l’alchimie. Pour ma part, ce fut très naturel d’entrer en résonance avec Cindy. La récurrence de mes interventions sur sa fiche en témoigne 😁.
@lesbnbc, comment ne pas avoir un petit faible pour Cindy ?
Plusieurs visites, et son charme m’emballe toujours autant. Cette femme est vraiment très mignonne, avec une silhouette tout en belles courbes harmonieuses, et un corps bien tonique.
S’il y a des motards parmi vous, Cindy a le gabarit de la passagère idéale. On ne la sentirait pas à l’arrière, même si elle gigotait. Une minijupe, et les autres conducteurs se rentreraient dedans.
Aujourd’hui, sa peau douce et caressante contrastait avec la mienne, aussi rugueuse qu’une écorce. Ses lèvres délicates se lièrent longuement aux miennes, gercées par le froid. C’était comme si je figurais dans un remake de « La Belle et la Bête », mais avec une héroïne vraiment peu farouche. Ses yeux comme brillant de fièvre amoureuse, elle m’offrit de profonds baisers, qui accompagnèrent de longs câlins torrides. Ce débordement d’affection nous entraîna dans un corps à corps délicieux.
A la fin, Cindy massa la carcasse nouée de « la Bête ». Détente complète ! Je m’assoupissais, lorsque sa langue et ses seins remontèrent le long de mes cuisses, ses tétons bien drus (ils me rendent fou) les taquinant au passage.
Émergeant de sa torpeur, ma tension sexuelle jaillit comme un ressort. Bang ! Même un massage crânien relaxant ne put l’apaiser.
Lila étant indisponible, c’est Linda qui m’a reçu. Elle portait une robe épousant au plus serré ses courbes pleines et excitantes. Ça et son visage rayonnant, voilà un accueil chaleureux qui augurait du meilleur pour la suite !
Passage sous la douche, où la belle prit soin de savonner certaines parties fort réceptives aux caresses, avant de guider avec espièglerie mes mains sur ses atouts charnels débordant d’érotisme.
Là, je compris qu’il allait falloir un mental d’acier pour rester sage durant toute la séance de massage.
Pourtant, l’atmosphère se prêtait au lâcher-prise : musique relaxante, pénombre entretenue par l’apaisante lumière des bougies, table de massage adaptée, propreté et hygiène.
Oui, mais à l’opposé, son ventre, ses cuisses, ses seins (comme on les sent bien !) qui vous massent et vous malaxent, ses doigts caressants qui s’infiltrent, polissons… Seul un moine Shaolin résisterait, imperturbable, à tant de stimulations.
À quel moment cela a-t-il dégénéré ? La voilà sur moi, ma tête entre ses cuisses, sa bouche suçotant mon désir, puis elle se redressa, assise sur mon visage. Un peu plus tard, je l’allongeai et ma langue poursuivit son œuvre, jusqu’à lui substituer un organe plus pénétrant.
Pour finir, un massage réparateur et apaisant suivi d’une nouvelle douche à deux. Je reviendrai !
J’avais pris rendez-vous tôt ce matin avec une Belle au Bois Dormant qui émergea deux heures plus tard, désolée. Partie remise.
Entretemps, j’avais contacté Lily qui, très réactive, me reçut moins d’une demi-heure plus tard. Efficace !
Décidément, il était encore bien tôt. Ses yeux étaient embués de sommeil et elle portait une petite tenue de nuit en satin. C’est bien sa silhouette sur les photos, mais le filtre du visage lui fait perdre quelques années.
Traits harmonieux avec de jolies lèvres attirantes quand elle les entrouvre, mais qu’on ne peut qu’effleurer, dommage (petit rhume hivernal ? Ne l’attirais-je pas du tout ? French Kisses non proposés ? …).
Quoi qu’il en soit, sa fellation m’a procuré des sensations délicieuses. Après 10 jours d’abstinence, j’ai dû l’interrompre plusieurs fois pour ne pas jouir, mon cerveau reptilien insistant par ailleurs pour que je m’abandonne au plaisir.
Difficile de combattre ses instincts, mais c’est entre leurs cuisses, peau contre peau, que j’aime me libérer.
Aujourd’hui, Cindy portait une robe très moulante qui soulignait à merveille ses formes si attirantes, si excitantes. J’avais le sourire jusqu’aux oreilles. Pas le temps de la contempler davantage, qu’elle me dévorait de baisers. Wouah ! Cette générosité, ce débordement d’amour m’avaient manqué ! Nos langues se mêlèrent longuement, c’était un délice.
Je n’aurais pu rêver accueil plus chaleureux.
Pressé de sentir le soyeux de sa peau, sa tiédeur et son parfum délicieux et discret, de coller sa féminité contre mon corps, la robe disparut très vite. À la voir, à la toucher, à l’embrasser, c’est fou comme le désir s’enflammait. Je me sentais comme un marron sur la braise, où la coque se fendille et éclate dans l’atmosphère torride.
Exploser, c’est d’ailleurs ce qui m’arriva plus tard, mais trop tôt : perte de contrôle surprise due à l’intensité sensuelle, romantique et érotique de nos ébats. Ses gémissements, son désir, sa faim de sexe et de tendresse, son petit corps adorable qui me presse et se tortille, m’ont vaincu par saturation des sens. En y pensant à nouveau, ça palpite dans la poitrine.
Et comme toujours, un corps, des seins à se damner. Une tendresse, une affection, une petite frimousse à faire fondre. Une fellation savoureuse, caressante, aspirante, gourmande, chaude et humide… Sensations intenses et variées !
@smertrios, j'ignore ce que vous avez demandé de sa liste qu'elle ne pratique plus, mais pour ce qui est de sa fellation, avec gorges profondes, incroyable, Lilith n'a absolument pas à craindre la concurrence. Elle plane clairement au dessus.
Mon premier commentaire finissait par une boutade, une revanche à prendre sur une lingerie récalcitrante.
Aujourd’hui, Cindy m’accueillit dans une belle nuisette de dentelle rouge, si diaphane que ce dessous coquin ne dissimulait que peu ses charmes terriblement féminins, brûlants de promesses érotiques. Oubliée, l’agrafe capricieuse de la fois passée.
Comme elle était belle et séduisante, ainsi ! D’autant qu’elle avait rehaussé la pulpe de ses lèvres d’une pointe de rouge à lèvres, invitant à les dévorer sans attendre. Tandis que nos langues s’entre mêlaient, mes mains avides de sa peau si soyeuse s’égaraient sur ses flancs. Ses seins magnifiques débordaient sur les côtés. Miam ! Leur texture, leur rondeur, leur fière tenue, leur douceur, leur fermeté, leur densité… Tout en eux m’emballait, m’enflammait. Et une fois libérés de la nuisette, quelle beauté à contempler !
S’ensuivit une longue séance de câlins, de baisers profonds, de corps à corps, à la fois charnels, romantiques et sensuels, poussant parfois mon désir à deux doigts de l’extase, notamment lorsqu’elle frottait l’extrémité de mon membre sur son intimité trempée, à la recherche du plaisir, ou lorsque sa délicieuse bouche prodiguait les meilleurs soins à mon envie d’elle.
J’ai adoré. Tout. Je voudrais revenir, et retrouver la même spontanéité, la même générosité de corps et de cœur.
J'ai conscience que ma parole n'a aucune valeur auprès de ceux qui n'ont pas fréquenté au moins l'une de celles que j'ai commentées, mais je confirme que ce sont effectivement les vraies photos de Susuliang.
Vous constaterez de visu qu'elle fait 19-20 ans maximum, toute douce et toute mignonne. Sa fraîcheur la rend particulièrement attirante. Et pour ceux qui connaissent un peu, une appréciation positive de @bussiere ou de @BH92, c'est la certitude de ne pas se tromper.
Dans les commentaires, vous m’aviez intrigué avec ce mystère planant autour d’un fauteuil. En fait, il est très pratique ! Un conseil, sans divulguer plus, rasez-vous l’entrejambe : Amy, sa langue, c’est du velours.
Autre source de délice, Amy dégage beaucoup de tendresse. Quand elle sourit en grand, son visage s’illumine. On croirait voir son âme, c’est rafraîchissant. Lorsqu’elle s’exprime en français, on se laisse caresser par la mélodie tranquille de sa voix, empreinte de mignonnes et séduisantes intonations.
Ses « ouh là là ! », « c’est bon ! », et d’autres encore, s'échappent de ses lèvres sur les accords de l'innocence surprise par un plaisir nouveau. Cette association explosive décuple l’excitation.
Ces mots-là, chargés de désir, presque soupirés, votre langue les convoque en butinant son bouton d’amour, particulièrement dur et proéminent, gorgé d’appétit charnel, tandis que ses mains crispées dans vos cheveux vous pressent contre sa vulve. Miam !
J’ai aussi été enchanté par son attitude, balançant entre ingénue et polissonne, comme ce constat alors qu’elle s’empalait sur mon envie d’elle : « Regarde, je suis trempée, ça rentre tout seul ».
A la toute fin, Amy se comporte en amante attentionnée, prenant soin de vous sécher après la douche et de vous rhabiller.
Alissa m’a reçu dans la tenue noire bordée de rouge qui figure, à aujourd’hui, sur les deux dernières photos (le filtre affine sa silhouette et son visage).
Onctueuse comme un câlin douillet, comme un bon pain chaud, comme une crème veloutée. Voilà ce qui m’a frappé chez elle dès les premiers instants, alors que je goûtais à ses baisers gourmands. Peu de temps après, mes mains savouraient ce même moelleux en pétrissant ses seins et son corps. C’est doux, c’est chaud, c’est réconfortant. C’est excitant, aussi. À tel point que j’ai bandé dru tout du long.
Il faut dire que cette charmante demoiselle possédait d’autres atouts pour maintenir mon érection en éveil.
Sûre de son effet, la coquine m’a présenté sa croupe. Mazette ! Mon regard lubrique a cru toucher le divin.
Puis, j’ai boulotté ses chairs intimes, délicieusement molles et mouillées de désir. Lorsqu’elle a trop tôt joui sous les taquineries de ma langue, mon appétit de luxure n’était pas encore rassasié.
Autre point. Son envie de vous est si abondante qu’on la pénètre avec une grande facilité. Toujours cette onctuosité, que l’on apprécie aussi dans les amples va-et-vient. Serré contre elle, la tête enfouie dans son cou ou les lèvres collées aux siennes, alors que ses bras vous enveloppent, et vous bougeant entre ses cuisses… Vous voudriez être ailleurs ? Pas moi.
JiXiang, sur ta capacité à nous apporter du bonheur, mission accomplie.
Preuve de ton talent, tu as déclenché lors de nos ébats deux phénomènes très agréables et inédits pour moi. Mon commentaire précédent les aborde avec légèreté et un peu crûment, mais ils m’ont touchés.
D’abord, cette communion charnelle, cette alchimie qui m’a fait perdre les frontières entre ce qui relevait de ton plaisir et du mien. Cette magie était grisante, donnait envie de fondre en toi, et j'en éprouvais une grande reconnaissance.
Ensuite, mon érection n'a pas été affectée par l'orgasme, restant tout aussi dure qu’avant, comme si je n’avais pas encore joui.
Quand une séance de galipettes a été particulièrement longue et bien menée, ma raideur se maintient plus longtemps, mais elle finit par abdiquer, quelle que soit ma volonté de la prolonger.
Là, elle était partie pour durer. Te voir nue l’avivait encore davantage, éveillant le souvenir de nos caresses. Ton petit air malicieux, que je trouve séduisant, n’arrangeait rien. Du coup, il m’a fallu lutter pour que l’engin se ramollisse, un comble !
Voilà deux signes illustrant que j’avais vraiment apprécié notre moment, intense en sensations et en surprises, merci beaucoup !
Messieurs, je vous souhaite de sentir les mêmes vibrations.
@ibrahima2006, Cindy m’a montré votre commentaire sur le site, et elle était désolée. Ça la tracassait d’avoir dû vous refuser. Vous paraissiez imposant (elle a fait le geste avec les bras), et ça l’a un peu effrayée.
Dans vos expériences passées, vous relevez à plusieurs reprises de vos amantes éphémères : « elle encaisse bien », « elle tient bien le choc », « elle encaisse bien le choc ». Belle énergie sauvage, félicitations !
Seulement voilà, Cindy n’a pas un profil de hardeuse. Elle déborde d’une douceur toute féminine, et s’attend plutôt à ce que l’on prenne soin d’elle. Un pilonnage bien vigoureux aurait risqué de la blesser.
Elle avait dû pressentir que sa relative fragilité aurait pu souffrir de vos assauts enthousiastes.
Quel enthousiasme, quelle fraîcheur, quelle authenticité ! Cindy vous irradie d’amour durant toute la séance, ses yeux pétillants de bonheur, son sourire ne quittant ses lèvres que pour laisser échapper des gémissements. Elle se donne tout entière à vous.
Des baisers à profusion, langoureux, gourmands, votre langue pénétrant au plus profond et jouant avec la sienne.
Et lorsque vos doigts s’infiltrent sous son string, découvrant peu à peu ses chairs intimes, elle s’empresse de retirer l’obstacle, puis guide votre majeur le long de sa fente. À peine un aller-retour, et le voilà mouillé.
Réalisant comme vous l’excitez, une délicieuse charge d’adrénaline vous picote. Mazette ! C’est bon, ça !
Pas la place de recueillir tout ce qui m’a enchanté durant cette séance, jusqu’au massage de fin, revigorant puis coquin.
Cette splendide femme et son dévouement à notre égard orchestrent ces enchaînements de plaisir.
Splendide, oui. La peau douce et ferme, le corps tonique aux gracieuses courbes féminines (voir photos), et des seins … Magnifiques ! Peut-être les plus beaux qu’il m’ait été donné de caresser. Un galbe, un lest et une tenue parfaits, des tétons provocateurs à souhait, un régal à sucer.
Et son intimité… Miam !
Bref, Cindy m’a conquis. Je reviendrai. Par ailleurs, j’ai un compte à régler avec l’agrafe du soutien-gorge.
Lors de notre précédente rencontre, l’intensité de nos étreintes m’avait ébranlé. Les effets avaient perduré bien au delà du temps passé ensemble. Ça dit la joie que j’ai éprouvée à revoir Cindy ce matin !
Ses tenues sont toujours différentes, et la mettent systématiquement en valeur. Aujourd’hui, ma belle amante portait une robe noire ultra courte et très moulante, dont le caractère pyrotechnique enflamma mon désir sur-le-champ.
Certains prétendent que les femmes asiatiques n’ont pas de formes. Ils n’ont pas encore croisé Cindy. Ils ne l’ont pas vue dans cette petite robe. Ils n’ont pas goûté à ce contraste entre un corps svelte et tonique, et de belles rondeurs féminines délicieuses à empoigner, à sucer, à mordiller, à croquer. Ils n’ont pas effleuré ses jambes bien galbées ou sa taille bien marquée.
Oui, Cindy a de nombreux atouts.
Bien gaulée, c’est sûr, mais aussi experte dans les jeux de l’amour. Sa fellation, par exemple, procure des sensations incroyables. Onctueuse, chaude, humide et enveloppante.
Cindy sait être coquine, croyez-en la vidéo. Elle s’efforce de vous gober le plus loin possible, entre autres. Ce jeu a duré bien plus longtemps que d’habitude, c’était délicieux, j’ai adoré.
Je n’aurais pas dû y goûter, je vais le réclamer à chaque fois, maintenant.
Lundi dernier sera à marquer d’une pierre blanche : j’ai perdu mon pucelage triolisme.
Comme toute vierge effarouchée, cela faisait plusieurs mois que cela me travaillait, mais que je n’osais sauter le pas. Des appréhensions autour d’un torrent de stimulations sensorielles, qui me ferait perdre le contrôle bien trop tôt, me laissant un goût d’inachevé.
Et bien pas du tout ! Ces appréhensions étaient à côté de la plaque. C’était bien mieux que ce que j’avais anticipé. De très loin.
Tout du long, quelle félicité ! J’étais aux anges, comme un pacha.
Déjà, vous êtes au centre de leurs petites attentions : douces, câlines, sensuelles, elles s’efforcent de vous être agréable et y parviennent pleinement. On prend immédiatement conscience du privilège qu’on a à tenir deux femmes dans nos bras, ces femmes qui s’accordent pour que chaque caresse vous fasse frémir. Une répartition telle qu’un max de zones réceptives de votre corps sont stimulées en même temps.
Deux femmes complémentaires. La plus réservée embrassait à merveille, et là n’est pas son seul talent buccal. La plus élancée, sa grâce et ses formes harmonieuses me mettaient en feu. A regarder son joli visage, mon cœur palpitait.
Elles sont vraiment adorables. Après la douche, elles m’ont même changé un pansement chirurgical (seul, je galérais).
Après nous être longtemps perdus de vue, une ex petite amie s’était mise à me sucer, ce qu’elle ne faisait jamais auparavant. Elle avait ensuite ignoré mes signaux à l’approche de l’orgasme, et poursuivi jusqu’à recueillir ma jouissance et l’avaler, sans rien perdre. Quel bonheur !
Avec Nata, je voulais approcher les puissantes émotions ressenties ce jour-là.
La porte s'ouvrit sur une jolie femme à la silhouette élégante et aux formes accentuées par une robe moulante fendue jusqu’à son entrejambe. Miam ! Ma lubricité nota l'absence de culotte. Re-miam !
Une fois allongés, sa bouche avait tendance à quitter mes lèvres pour descendre taquiner mon désir d’elle. C’était chaud, mouillé et varié, et elle me gobait tout entier avec facilité. Impressionnant !
Partisan de la réciprocité, je glissai ma tête entre ses cuisses. Sa vulve m’a ému, entre autres par l’onctuosité de sa cyprine combinée à la mollesse de ses lèvres. Sous son clitoris, deux très fines peaux se tendaient à chaque pic d’excitation, guidant ma langue jusqu’à sa jouissance.
Plus tard vint la mienne, et Nata l’avala longuement, avec application. Elle sut ensuite décrire goût, texture, saveur, abondance et force du jet. Ce produit de l'orgasme masculin la fascine.
Enfin une escorte qui considère le sperme avec intérêt et non pas comme repoussant !
@Fake777, bien sûr que si Feier répond ! Et toujours rapidement.
À lire vos commentaires, on découvre que vous vous prenez un nombre incalculable de vents chaque jour.
Remettez-vous en question, car manifestement vos phrases d'approche sont perfectibles. Commencer par un dick pic, par exemple, c'est un peu abrupt.
Sur ses nouveaux portraits d’elle, Cindy apparaît dans toute sa fraîcheur et sa spontanéité. Ces photos accompagnent l’ajout d’une vidéo délicieusement suggestive.
24 secondes où cette ravissante séductrice se révèle radieuse, appliquée et très coquine.
24 secondes durant lesquelles mon désir durci revendique la même attention que celle accordée à ce fruit polisson.
Il sait combien la bouche de Cindy est chaude et onctueuse. Quand on y glisse, on veut que cela ne finisse jamais.
Quant à moi, les baisers, les câlins et les flots de tendresse de Cindy me manquaient.
Aujourd’hui, la belle recevait dans une tunique échancrée sur l’un des flancs. Cette configuration facilitait l’accès à sa poitrine, dont le galbe et la texture m’affolent toujours autant.
Pour la suite, quelles sensations ! J’ai ressenti une communion particulièrement intense, intime et fusionnelle de nos corps, une proximité à la fois excitante et bouleversante. Cindy exprimait une avidité charnelle et amoureuse dans ses étreintes, dans la façon de courir ses mains sur mon corps, ou dans sa recherche du plaisir. C’était très fort.
Avant de la quitter, je me suis attardé dans le creux de son cou, imprégnant mon visage de son parfum délicat. Une fois dehors, son odeur s’est trop vite dissipée. Ne me restait plus d’elle que le souvenir de nos caresses.
J’en veux encooooore !
Y repenser (et je ne fais que ça) entretient une forme de blues forgé dans un alliage de beaux souvenirs, de manque et de douce nostalgie.
Jamais de ma vie je n’avais laissé échapper de râles de plaisir. Jamais. Joyce m’en a arraché combien ? Deux douzaines ?
Lorsqu’elle m’avalait tout entier et que ses lèvres effleuraient mon pubis, une onde de plaisir m’arrachait ces gémissements incontrôlables. Happé, mon esprit n’était plus qu’à vibrer en harmonie avec les sensations que cette petite princesse me procurait, si bien que j’en oubliais tout, et notamment de butiner ses chairs intimes.
Dans les jeux buccaux, j’apprécie énormément donner, un peu moins recevoir. Avec Joyce, j’ai adoré recevoir. Quel talent ! Et quelle générosité ! Elle devait percevoir combien je me régalais, car elle a prolongé, prolongé, prolongé encore. Délicieux !
La belle sait écouter le corps d’un homme. Elle vous maintient sur la ligne de crête, aux frontières de l’orgasme, et c’est un festival de sensations. Vous en prenez plein la vue.
J’aurais bien d’autres choses à écrire sur Joyce, notamment le plaisir que j’ai eu à la découvrir et à discuter avec elle, mais seulement la place de donner un exemple de comment cette femme de qualité à l’érotisme torride m’a mis la tête à l’envers.
Le 5 janvier, vous proposiez de méditer sur : « L'érotisme, c'est de donner au corps les prestiges de l'esprit. ». L'exercice demande à se détacher de son corps et de ses émotions, pour mieux mobiliser ses ressources cérébrales.
Peine perdue. Votre vidéo m'a tabassé en cinq uppercuts sensuels. Chacun d'eux exalte l'un de vos splendides atouts, tous rivalisant de grâce féminine et de tentations charnelles. Décharge d'adrénaline, brusque passage de 50 à 200 battements / minute, les tympans qui bourdonnent, et ... bascule dans l'ivresse.
Dans cet état, comment réfléchir ? A la lecture d'« érotisme » et de « corps », la vision du vôtre resplendissant d'une aura torride, défile dans ma tête au gré de votre galerie photos, tandis que « prestige » retentit comme la qualité promise de votre accompagnement... Tout s'emmêle, mes pensées trébuchent.
Comment alors disséquer cet aphorisme, qui parle de prêter à ce corps l'intuition et l'intelligence de la pose la plus lascive ou du mouvement le plus grâcieux, corps piochant dans l'imagination, la créativité et l'expérience passée pour attiser avec justesse l'excitation de son partenaire, déclenchée donc par ce déferlement d'érotisme ?
Ah tiens ! On dirait là une interprétation possible !
Mademoiselle, à parcourir votre profil, on comprend que cette phrase aurait pu être écrite pour vous.
@ModLife, votre retour d’expérience apporte un regard différent d’autres contributions, c’est intéressant.
Vous notez l’implication de Cindy, très GFE, et son enthousiasme. Vous la considérez comme un bon plan. Malgré cela, une session courte réduite à une saine purge des ballasts séminaux vous suffit.
Pour ceux qui se régalent des qualités que vous avez relevées, et qui apprécient le dévouement des escortes asiatiques, deux heures bien remplies peuvent ne pas suffire.
Hier, j’ai justement choisi cette durée. Le temps a filé à une vitesse incroyable, et j’ai dû bâcler le second round pour partir bosser, allant chercher la jouissance au plus pressé.
Au jugé, il me manquait encore une demi-heure pour me rassasier pleinement de Cindy.
Difficile de recommander une durée, ça dépend de chacun, notamment d’un ingrédient magique un peu capricieux, parfois évoqué : l’alchimie. Pour ma part, ce fut très naturel d’entrer en résonance avec Cindy. La récurrence de mes interventions sur sa fiche en témoigne 😁.
@lesbnbc, comment ne pas avoir un petit faible pour Cindy ?
Plusieurs visites, et son charme m’emballe toujours autant. Cette femme est vraiment très mignonne, avec une silhouette tout en belles courbes harmonieuses, et un corps bien tonique.
S’il y a des motards parmi vous, Cindy a le gabarit de la passagère idéale. On ne la sentirait pas à l’arrière, même si elle gigotait. Une minijupe, et les autres conducteurs se rentreraient dedans.
Aujourd’hui, sa peau douce et caressante contrastait avec la mienne, aussi rugueuse qu’une écorce. Ses lèvres délicates se lièrent longuement aux miennes, gercées par le froid. C’était comme si je figurais dans un remake de « La Belle et la Bête », mais avec une héroïne vraiment peu farouche. Ses yeux comme brillant de fièvre amoureuse, elle m’offrit de profonds baisers, qui accompagnèrent de longs câlins torrides. Ce débordement d’affection nous entraîna dans un corps à corps délicieux.
A la fin, Cindy massa la carcasse nouée de « la Bête ». Détente complète ! Je m’assoupissais, lorsque sa langue et ses seins remontèrent le long de mes cuisses, ses tétons bien drus (ils me rendent fou) les taquinant au passage.
Émergeant de sa torpeur, ma tension sexuelle jaillit comme un ressort. Bang ! Même un massage crânien relaxant ne put l’apaiser.
Nous fîmes l’amour une dernière fois.
Lila étant indisponible, c’est Linda qui m’a reçu. Elle portait une robe épousant au plus serré ses courbes pleines et excitantes. Ça et son visage rayonnant, voilà un accueil chaleureux qui augurait du meilleur pour la suite !
Passage sous la douche, où la belle prit soin de savonner certaines parties fort réceptives aux caresses, avant de guider avec espièglerie mes mains sur ses atouts charnels débordant d’érotisme.
Là, je compris qu’il allait falloir un mental d’acier pour rester sage durant toute la séance de massage.
Pourtant, l’atmosphère se prêtait au lâcher-prise : musique relaxante, pénombre entretenue par l’apaisante lumière des bougies, table de massage adaptée, propreté et hygiène.
Oui, mais à l’opposé, son ventre, ses cuisses, ses seins (comme on les sent bien !) qui vous massent et vous malaxent, ses doigts caressants qui s’infiltrent, polissons… Seul un moine Shaolin résisterait, imperturbable, à tant de stimulations.
À quel moment cela a-t-il dégénéré ? La voilà sur moi, ma tête entre ses cuisses, sa bouche suçotant mon désir, puis elle se redressa, assise sur mon visage. Un peu plus tard, je l’allongeai et ma langue poursuivit son œuvre, jusqu’à lui substituer un organe plus pénétrant.
Pour finir, un massage réparateur et apaisant suivi d’une nouvelle douche à deux. Je reviendrai !
J’avais pris rendez-vous tôt ce matin avec une Belle au Bois Dormant qui émergea deux heures plus tard, désolée. Partie remise.
Entretemps, j’avais contacté Lily qui, très réactive, me reçut moins d’une demi-heure plus tard. Efficace !
Décidément, il était encore bien tôt. Ses yeux étaient embués de sommeil et elle portait une petite tenue de nuit en satin. C’est bien sa silhouette sur les photos, mais le filtre du visage lui fait perdre quelques années.
Traits harmonieux avec de jolies lèvres attirantes quand elle les entrouvre, mais qu’on ne peut qu’effleurer, dommage (petit rhume hivernal ? Ne l’attirais-je pas du tout ? French Kisses non proposés ? …).
Quoi qu’il en soit, sa fellation m’a procuré des sensations délicieuses. Après 10 jours d’abstinence, j’ai dû l’interrompre plusieurs fois pour ne pas jouir, mon cerveau reptilien insistant par ailleurs pour que je m’abandonne au plaisir.
Difficile de combattre ses instincts, mais c’est entre leurs cuisses, peau contre peau, que j’aime me libérer.
Aujourd’hui, Cindy portait une robe très moulante qui soulignait à merveille ses formes si attirantes, si excitantes. J’avais le sourire jusqu’aux oreilles. Pas le temps de la contempler davantage, qu’elle me dévorait de baisers. Wouah ! Cette générosité, ce débordement d’amour m’avaient manqué ! Nos langues se mêlèrent longuement, c’était un délice.
Je n’aurais pu rêver accueil plus chaleureux.
Pressé de sentir le soyeux de sa peau, sa tiédeur et son parfum délicieux et discret, de coller sa féminité contre mon corps, la robe disparut très vite. À la voir, à la toucher, à l’embrasser, c’est fou comme le désir s’enflammait. Je me sentais comme un marron sur la braise, où la coque se fendille et éclate dans l’atmosphère torride.
Exploser, c’est d’ailleurs ce qui m’arriva plus tard, mais trop tôt : perte de contrôle surprise due à l’intensité sensuelle, romantique et érotique de nos ébats. Ses gémissements, son désir, sa faim de sexe et de tendresse, son petit corps adorable qui me presse et se tortille, m’ont vaincu par saturation des sens. En y pensant à nouveau, ça palpite dans la poitrine.
Et comme toujours, un corps, des seins à se damner. Une tendresse, une affection, une petite frimousse à faire fondre. Une fellation savoureuse, caressante, aspirante, gourmande, chaude et humide… Sensations intenses et variées !
@smertrios, j'ignore ce que vous avez demandé de sa liste qu'elle ne pratique plus, mais pour ce qui est de sa fellation, avec gorges profondes, incroyable, Lilith n'a absolument pas à craindre la concurrence. Elle plane clairement au dessus.
Mon premier commentaire finissait par une boutade, une revanche à prendre sur une lingerie récalcitrante.
Aujourd’hui, Cindy m’accueillit dans une belle nuisette de dentelle rouge, si diaphane que ce dessous coquin ne dissimulait que peu ses charmes terriblement féminins, brûlants de promesses érotiques. Oubliée, l’agrafe capricieuse de la fois passée.
Comme elle était belle et séduisante, ainsi ! D’autant qu’elle avait rehaussé la pulpe de ses lèvres d’une pointe de rouge à lèvres, invitant à les dévorer sans attendre. Tandis que nos langues s’entre mêlaient, mes mains avides de sa peau si soyeuse s’égaraient sur ses flancs. Ses seins magnifiques débordaient sur les côtés. Miam ! Leur texture, leur rondeur, leur fière tenue, leur douceur, leur fermeté, leur densité… Tout en eux m’emballait, m’enflammait. Et une fois libérés de la nuisette, quelle beauté à contempler !
S’ensuivit une longue séance de câlins, de baisers profonds, de corps à corps, à la fois charnels, romantiques et sensuels, poussant parfois mon désir à deux doigts de l’extase, notamment lorsqu’elle frottait l’extrémité de mon membre sur son intimité trempée, à la recherche du plaisir, ou lorsque sa délicieuse bouche prodiguait les meilleurs soins à mon envie d’elle.
J’ai adoré. Tout. Je voudrais revenir, et retrouver la même spontanéité, la même générosité de corps et de cœur.
J'ai conscience que ma parole n'a aucune valeur auprès de ceux qui n'ont pas fréquenté au moins l'une de celles que j'ai commentées, mais je confirme que ce sont effectivement les vraies photos de Susuliang.
Vous constaterez de visu qu'elle fait 19-20 ans maximum, toute douce et toute mignonne. Sa fraîcheur la rend particulièrement attirante. Et pour ceux qui connaissent un peu, une appréciation positive de @bussiere ou de @BH92, c'est la certitude de ne pas se tromper.
Dans les commentaires, vous m’aviez intrigué avec ce mystère planant autour d’un fauteuil. En fait, il est très pratique ! Un conseil, sans divulguer plus, rasez-vous l’entrejambe : Amy, sa langue, c’est du velours.
Autre source de délice, Amy dégage beaucoup de tendresse. Quand elle sourit en grand, son visage s’illumine. On croirait voir son âme, c’est rafraîchissant. Lorsqu’elle s’exprime en français, on se laisse caresser par la mélodie tranquille de sa voix, empreinte de mignonnes et séduisantes intonations.
Ses « ouh là là ! », « c’est bon ! », et d’autres encore, s'échappent de ses lèvres sur les accords de l'innocence surprise par un plaisir nouveau. Cette association explosive décuple l’excitation.
Ces mots-là, chargés de désir, presque soupirés, votre langue les convoque en butinant son bouton d’amour, particulièrement dur et proéminent, gorgé d’appétit charnel, tandis que ses mains crispées dans vos cheveux vous pressent contre sa vulve. Miam !
J’ai aussi été enchanté par son attitude, balançant entre ingénue et polissonne, comme ce constat alors qu’elle s’empalait sur mon envie d’elle : « Regarde, je suis trempée, ça rentre tout seul ».
A la toute fin, Amy se comporte en amante attentionnée, prenant soin de vous sécher après la douche et de vous rhabiller.
Une délicieuse geisha, gracieuse et apaisante.
Alissa m’a reçu dans la tenue noire bordée de rouge qui figure, à aujourd’hui, sur les deux dernières photos (le filtre affine sa silhouette et son visage).
Onctueuse comme un câlin douillet, comme un bon pain chaud, comme une crème veloutée. Voilà ce qui m’a frappé chez elle dès les premiers instants, alors que je goûtais à ses baisers gourmands. Peu de temps après, mes mains savouraient ce même moelleux en pétrissant ses seins et son corps. C’est doux, c’est chaud, c’est réconfortant. C’est excitant, aussi. À tel point que j’ai bandé dru tout du long.
Il faut dire que cette charmante demoiselle possédait d’autres atouts pour maintenir mon érection en éveil.
Sûre de son effet, la coquine m’a présenté sa croupe. Mazette ! Mon regard lubrique a cru toucher le divin.
Puis, j’ai boulotté ses chairs intimes, délicieusement molles et mouillées de désir. Lorsqu’elle a trop tôt joui sous les taquineries de ma langue, mon appétit de luxure n’était pas encore rassasié.
Autre point. Son envie de vous est si abondante qu’on la pénètre avec une grande facilité. Toujours cette onctuosité, que l’on apprécie aussi dans les amples va-et-vient. Serré contre elle, la tête enfouie dans son cou ou les lèvres collées aux siennes, alors que ses bras vous enveloppent, et vous bougeant entre ses cuisses… Vous voudriez être ailleurs ? Pas moi.
JiXiang, sur ta capacité à nous apporter du bonheur, mission accomplie.
Preuve de ton talent, tu as déclenché lors de nos ébats deux phénomènes très agréables et inédits pour moi. Mon commentaire précédent les aborde avec légèreté et un peu crûment, mais ils m’ont touchés.
D’abord, cette communion charnelle, cette alchimie qui m’a fait perdre les frontières entre ce qui relevait de ton plaisir et du mien. Cette magie était grisante, donnait envie de fondre en toi, et j'en éprouvais une grande reconnaissance.
Ensuite, mon érection n'a pas été affectée par l'orgasme, restant tout aussi dure qu’avant, comme si je n’avais pas encore joui.
Quand une séance de galipettes a été particulièrement longue et bien menée, ma raideur se maintient plus longtemps, mais elle finit par abdiquer, quelle que soit ma volonté de la prolonger.
Là, elle était partie pour durer. Te voir nue l’avivait encore davantage, éveillant le souvenir de nos caresses. Ton petit air malicieux, que je trouve séduisant, n’arrangeait rien. Du coup, il m’a fallu lutter pour que l’engin se ramollisse, un comble !
Voilà deux signes illustrant que j’avais vraiment apprécié notre moment, intense en sensations et en surprises, merci beaucoup !
Messieurs, je vous souhaite de sentir les mêmes vibrations.
@ibrahima2006, Cindy m’a montré votre commentaire sur le site, et elle était désolée. Ça la tracassait d’avoir dû vous refuser. Vous paraissiez imposant (elle a fait le geste avec les bras), et ça l’a un peu effrayée.
Dans vos expériences passées, vous relevez à plusieurs reprises de vos amantes éphémères : « elle encaisse bien », « elle tient bien le choc », « elle encaisse bien le choc ». Belle énergie sauvage, félicitations !
Seulement voilà, Cindy n’a pas un profil de hardeuse. Elle déborde d’une douceur toute féminine, et s’attend plutôt à ce que l’on prenne soin d’elle. Un pilonnage bien vigoureux aurait risqué de la blesser.
Elle avait dû pressentir que sa relative fragilité aurait pu souffrir de vos assauts enthousiastes.
Quel enthousiasme, quelle fraîcheur, quelle authenticité ! Cindy vous irradie d’amour durant toute la séance, ses yeux pétillants de bonheur, son sourire ne quittant ses lèvres que pour laisser échapper des gémissements. Elle se donne tout entière à vous.
Des baisers à profusion, langoureux, gourmands, votre langue pénétrant au plus profond et jouant avec la sienne.
Et lorsque vos doigts s’infiltrent sous son string, découvrant peu à peu ses chairs intimes, elle s’empresse de retirer l’obstacle, puis guide votre majeur le long de sa fente. À peine un aller-retour, et le voilà mouillé.
Réalisant comme vous l’excitez, une délicieuse charge d’adrénaline vous picote. Mazette ! C’est bon, ça !
Pas la place de recueillir tout ce qui m’a enchanté durant cette séance, jusqu’au massage de fin, revigorant puis coquin.
Cette splendide femme et son dévouement à notre égard orchestrent ces enchaînements de plaisir.
Splendide, oui. La peau douce et ferme, le corps tonique aux gracieuses courbes féminines (voir photos), et des seins … Magnifiques ! Peut-être les plus beaux qu’il m’ait été donné de caresser. Un galbe, un lest et une tenue parfaits, des tétons provocateurs à souhait, un régal à sucer.
Et son intimité… Miam !
Bref, Cindy m’a conquis. Je reviendrai. Par ailleurs, j’ai un compte à régler avec l’agrafe du soutien-gorge.