Profond respect pour ces femmes capables de nous offrir leur corps et leur coeur avec cette sincérité bluffante. Que de bonheur elles nous apportent !
Mon rapport galant aux femmes a été forgé adolescent à la lecture d'ouvrages romanesques de grands écrivains à cheval entre le XIX et le XX siècle.
Autant dire que mes codes sont aux antipodes de ceux du porno, où la crudité me déplait et la réification de la femme m'offense. J'apprécie le charme courtois du vouvoiement, puis le rapprochement et l'abandon dans le tutoiement.
La vulgarité et la familiarité me rebutent. Délicatesse, douceur, prévenance et petites attentions me touchent. Le contraste avec l'impétuosité sensuelle devient alors d'autant plus savoureux. Je retrouve ces qualités plus fréquemment chez les courtisanes ayant été éduquées dans la culture asiatique classique.
Celles inscrites dans mon TOP 50 (ordonné) m'ont mis la tête à l'envers, chacune à leur façon. Quant à celles qui n'y figurent pas, cela signifie que je n'ai pas l'intention de les revoir.
J'ai rencontré toutes les escortes de ma liste de suivi. Si elles n'ont pas de commentaire, c'est qu'elles l'ont effacé (j'avais sans doute émis une réserve).
Je n'éprouve pas d'animosité pour celles qui m'ont trompé ou déçu. Si quelque chose m'avait plu avant de les voir, je le signale, mais je termine par une ou plusieurs réserves.
Lindan habite à la même adresse. Je comptais la découvrir aujourd’hui, après une expérience matinale (Amy) tellement intense que le désir me brûlait encore. Xixie en avait décidé autrement. J’étais sa chasse gardée ! Après un instant de flottement où je pensai : « c’est fou ce que Lindan ressemble à Xixie ! », j’obtempérai. Après tout, ce que Femme veut, Dieu le veut !
Et comme la semaine précédente, je passai un moment merveilleux en sa compagnie, à la dévorer de baisers comme un amoureux, à l’enlacer, à caresser son corps avec envie, à contempler sa jolie frimousse encadrée de ses longs cheveux lisses, à glisser mes doigts dans son entrejambe et les sentir mouillés après seulement quelques attouchements…
Cette beauté menue et bien gaulée est très excitante. J’ai eu envie de l’entendre gémir et de la sentir se tortiller sous les assauts de ma langue. Ce qu’elle fit, jusqu’à s’abandonner au plaisir, tendue comme un arc. Quel beau cadeau , quelle générosité !
Plus tard, cette amante appliquée démontra une bonne résistance, me chevauchant longuement en amazone. Quel délice de sentir ce petit corps tonique s’efforcer de me procurer le plus de sensations possibles ! Avec succès.
Quand à Lindan, le chant lointain et étouffé de ressorts tressautant joyeusement me fit comprendre à la toute fin qu’elle avait trouvé un camarade de jeu.
Deux portraits (tout récents) d’Amy m’avaient particulièrement touché. Celui où ses cheveux s’abandonnent en cascade sur ses épaules, et cet autre à la suite, elle à demi allongée, un pendentif autour du cou. Sur chaque, Amy dégage un charme sensuel, une invitation aux débordements charnels, une pudeur polissonne dans son sourire et dans l’éclat de ses yeux.
À la voir en vrai, quel plaisir de découvrir que les photos sont de piètre qualité comparées au modèle ! C’est vrai de ses portraits comme de ces photos qui nous dévoilent trop de ses atouts féminins.
Apaisante, presque réservée, cette belle femme se montre entreprenante dans les jeux d’amour. Sa poitrine opulente, mais vraiment bien formée, participe aux câlins de la meilleure des manières, que se soit en se frottant sur votre torse, sur votre visage, ou en venant stimuler et durcir votre désir. C’est doux, tendre, moelleux, mais aussi torride, enivrant, excitant. On a envie de la serrer fort contre soi et de fondre en elle.
Elle sait aussi se servir de sa bouche, avec un talent pour vous garder bien raide et vous procurer du plaisir. Et une fois qu’on l’a pénétrée, comme l’on s’y sent bien !
Après l’avoir quittée, je réalisais que de petites bulles de champagne semblaient pétiller dans mon abdomen et me monter à la tête en accélérant le cœur.
Xixie m’offrit une cure rafraîchissante de douceur, de câlins et de tendresse.
Son corps menu, gracieux, ferme et tonique, à la taille joliment dessinée et aux jambes bien ciselées, à la peau soyeuse colorée par le soleil, c’était une folle invitation aux caresses. Je soupire encore de nos étreintes.
Ses tétons bien sombres, pointant insolemment sur ses petits seins adorables à empoigner, m’ont régalé tout du long. Quel délice que de les sucer !
Régulièrement, je m’arrêtais entre deux baisers profonds, langoureux, excitants, et saisissais délicatement son visage entre les mains pour la contempler. Un plaisir pour les yeux ! Le regard tendre qu’elle me portait alors éveillait dans mes tripes des petites flammèches joyeuses proches d’une émotion amoureuse. Mazette ! Comme c’était agréable de replonger ainsi dans l’adolescence !
Après l’amour, nous restâmes longtemps fusionnés. Et lorsque nos corps se déboîtèrent, hygiène oblige, ce fut pour nous rapprocher à nouveau, peau contre peau, et discuter (en français !), enlacés, apaisés, complices.
Plus tard dans la rue, j’accrochais le regard de dames qui me dévisageaient brièvement, de cette manière qui vous envisage. Plus que mon quota hebdomadaire. Mince alors ! Soit j’avais de la sauce tomate sur le menton, soit la magie de Xixie avait renforcé mon aura.
Les bonnes appréciations de mes camarades @BH92 et @ElRaoul ne pouvaient que me convaincre. Merci à eux ! Douce, attentive, affamée de baisers et de câlins, la vivacité et la prise d’initiatives d’Emily donnèrent du rythme tout du long.
Douche à deux, où la belle apporta une attention particulière à la propreté de zones avides de caresses, qui montrèrent leur reconnaissance avec la plus turgescente des rigidités.
Une fois sur le lit, je découvris les délices d’un 69 inversé, mon amante suçant avec avidité mon entrejambe par en dessous, un doigt explorateur stimulant les contours sensibles de mon sphincter.
Plus tard, tandis que ma langue butinait son bouton floral, ses doigts nerveux me chassèrent un peu plus bas, et imprimèrent une cadence qui accéléra jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un râle libératoire. S’ensuivit cette langueur amoureuse qui rend les femmes si tendres et si désirables après l’orgasme.
Sa générosité ne s’arrêta pas là. Nous faisions l’amour, et le plaisir finit par m’emporter, mais sans y entraîner Emily. Elle profita de ce que mon érection persistait pour s’y frotter encore et encore, jusqu’à jouir une seconde fois. Radieuse, elle me montra les sécrétions qu’elle avait libérées, recueillies sur la pulpe de ses doigts.
Se donner à vous avec une telle dévotion, voilà des sensations et des images précieuses à conserver !
Toujours aussi agréable et efficace, la prise en charge par CARO. Vous l'avertissez de votre présence en bas de l'immeuble, et vous voilà en possession des directives avant même que, soucieux de ne pas éveiller les soupçons du voisinage, vous n'invoquiez vos talents de phasme.
Cela m'avait pris la veille. J'avais eu très envie d'elle, d'effleurer sa peau si douce, de parcourir ses courbes méchamment féminines, d'empoigner ses fesses bien rondes, de pétrir ses seins savoureux, et de l'embrasser, beaucoup, beaucoup. Quand l'impulsion est saine, pourquoi générer de la frustration ? Autant satisfaire cet appétit charnel.
Ainsi fut fait. CARO m'a offert de très longues gâteries. Sa langue virevoltait sur l'extrémité de mon membre, dardant, roulant, pressant. Des sensations exquises et variées irradiaient par vague, me portant à un souffle de la perte de contrôle. Tandis que sa bouche me prodiguait ces soins, je profitais du miroir très coquin courant le long du lit. Très excitante, la vue !
Plus tard, nous inversâmes. J'adore son sexe. Il est magnifique. Suçoter ses lévres épaisses et charnues, qu'on sent bien gonflées, quel régal ! J'espère que les gémissements que je lui ai arrachés étaient authentiques.
Reformulation de tout ça dans un registre fruste, adapté aux attentes de @Unmeckipasse :
« CARO, elle est sacrément bonne ! »
Cette fougueuse amante m’a enchanté ! @ElRaoul me l’avait chaudement recommandée et il avait raison : j’ai été emballé. Je comprends aussi l’impatience de ceux qui attendent son retour à Angers ou ailleurs.
Dès la porte franchie, me voilà dévoré de baisers, sa langue s’enroulant sans répit autour de la mienne. Le soldat revenant du front n’aurait pas reçu accueil plus ardent.
Mes mains s’infiltrèrent aisément sous son petit haut polisson, qui remonta de lui-même sur ses seins, dont la rondeur et le moelleux succulents, à la pointe toujours tendue, me rendirent fou d’excitation.
Douche à deux, collés-serrés. Vive les douceurs savonnées ! Là, sa bouche s’empara de mon envie d’elle. Quel délice ! Ses lèvres coulissaient si bien que je me croyais plongé dans son étroite féminité, bien humide de désir.
Retour dans la chambre, à profiter de son corps ferme au ventre musclé, corps contre corps, rivés l’un à l’autre comme deux amoureux passionnés.
Caresses, câlins, jeux de langue coquins, tendresse, puis cette amazone expressive et pleine d’énergie me chevaucha dans un galop endiablé, jusqu’à rompre la digue de mon plaisir.
Elle me quitta comme elle me reçut : sous une avalanche de baisers. Une heure bien dépassée, à baigner dans l’amour d’une femme rayonnante… Du coup, une fois dehors, vous rayonnez aussi.
Su Su poste ses vraies photos. Le portrait en plein la représente bien, à ceci prêt que sa jeunesse adoucit davantage ses traits. Une femme toute menue, toute mignonne, toute jolie, avec une pincée de mélancolie renforçant son charme.
Ça commença fort dès l’ouverture de la porte. Un visage adorable surgit dans l’entrebâillement. La belle portait une nuisette vaporeuse. Miam !
Mes mains découvrirent plus tard que ce bout de tissu se retroussait avec aisance, et qu’elle était complètement nue dessous. Mon désir montait tranquillement, attisé par les caresses de Su Su, quand je défis une bretelle pour saisir un sein. Sa forme pleine, son galbe ferme, sa pointe tendue… Comme de l’essence déversé sur le feu couvant de mon excitation ! D’un coup, me voilà raide et dur comme un roc. Quel accélérateur !
Pour les câlins, elle embrassa à merveille, ses lèvres caressantes au toucher, ses dents qui mordillaient, sa bouche offerte à l’exploration de nos langues. Ses talents buccaux s’exprimèrent avec tout autant de bonheur lorsqu’elle s’aventura plus bas.
Lorsque nos corps s’entremêlèrent, Su Su semblait si fragile, que je la manipulais avec précaution. Après qu'elle m'ait donné du plaisir, son intimité se contracta pour me garder opérationnel plus longtemps. Miam again !
Gros coup de cœur ! Happé par le charme de cette gracieuse nymphe, le sourire m’a habité tout du long.
Son petit corps ferme et juvénile se cale parfaitement contre le nôtre.
Sa taille, ses fesses, ses cuisses, son ventre plat, ses petits seins charmants à la pointe toujours dressée, son cou gracile, tout est plaisir à contempler, caresser, empoigner, effleurer, pétrir, taquiner, selon l’envie.
Ses lèvres pleines s’amollissant sous les baisers, quel délice ! Et son visage… Comme cette jeune femme douce et souriante est jolie, mais jolie ! Je n’ai pas cessé de la regarder. Un moment, j’ai même ressenti un bref coup de cafard à l’idée de la quitter bientôt sans m’être pleinement rassasié de son joli minois. Combien de fois lui ai-je dit qu’elle était « pretty » ?
L’atmosphère se prête à la sensualité et à l’abandon des sens. Lumière tamisée et musique douce. À son image.
La séance se termina par un massage excellent et très complet. Une première pour moi, Niya massa l’abdomen, malaxant les organes comme si ses mains les tenaient. Incroyable !
À la fin, je l’ai trouvée si adorable tandis qu’elle reboutonnait ma chemise, que le désir m’assaillit à nouveau. Malheureusement, pas possible de prolonger cet instant de grâce, fallait aller bosser.
@Unmeckipasse, vous êtes conçu brut de fonderie, soit. Des ressentis basiques, c’est votre droit.
Mais pourquoi venir polluer la fiche de CARO en vous octroyant le rôle pédant de censeur, jugeant de ce que l’on peut dire ou non ?
Certains d’entre nous ont la chance d’éprouver sous les caresses de CARO des sensations charnelles et sensuelles autrement plus subtiles, et c’est leur droit de les partager.
J’ai jeté un coup d'œil à vos commentaires… Vous avez une langue sacrément fourchue.
Appartement bien agencé, très grand lit dans vaste chambre. Séance déroulée avec la diligence attendue de la part d’un homme pressé et caresses légères permises.
Merci Emilia pour votre disponibilité 😘.
Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
Sisi (You) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de Sisi n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.
Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
You (Sisi) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de You n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.
Caro me trottait toujours dans la tête, et ma chair la réclamait. Une nouvelle visite s'imposait donc !
Comme la veille, la contemplation de sa lingerie coquine, sublimant son corps tout de belles courbes appétissantes, produisit l'effet d'une étincelle sur un bâton de dynamite.
Quel plaisir de la presser contre moi comme une fleur délicate, et de butiner ses lévres puis de laisser nos langues se chercher, se mêler, virevolter, puis pénétrer plus profonds comme pour nous absorber l'un dans l'autre ! C'était délicieusement sensuel, je ne m'en lassais pas.
En parallèle, mon désir s'attisait à empoigner ses fesses aux rondeurs appelant les caresses, à infiltrer quelques doigts dans ses bas le long de ses cuisses, et à glisser une main fureteuse dans son soutien-gorge. D'ailleurs, ce dessous ne resta guère longtemps en place. Avis aux petits polissons : il se dégraphe en un claquement de doigt.
S'ensuivit une débauche de caresses buccales réciproques et de tendres baisers généreux : nos langues furent l'instrument de bien des plaisirs partagés. Nous fîmes ensuite l'amour comme deux amants s'unissant après une longue absence (c'était en tout cas mon ressenti).
Pour finir, sachez que Caro parle français avec un accent distingué, habité des tonalités d'autrefois. Cela se marie très bien avec son allure et son sourire empreint de bonté.
Le premier contact avec Caro déclencha deux bouffées de joie coup sur coup, l’une en découvrant ses yeux rieurs et son visage accueillant, l’autre en caressant du regard la lingerie coquine qui accentuait la féminité excitante de ses formes.
Ces bons présages se confirmèrent lorsque je la serrai contre moi. Plutôt grande femme, mon hôtesse se calait parfaitement dans mes bras. Mes mains vagabondèrent sur son corps à la peau si lisse, empoignèrent ses fesses fermes et bien charnues, rodèrent le long de ses seins, tandis que nos langues s’entrelaçaient longuement et avec gourmandise. Miam ! Caro m’avait transporté hors du monde, où elle me maintint d’ailleurs jusqu’à ce qu’elle me fasse jouir, bien plus tard.
Une fois allongés, mon amante partit en exploration, s’attardant sur mon torse, puis descendant sur l’entrejambe suçoter les deux petits compagnons. D’ordinaire, je redoute une succion douloureuse. Pas avec la délicate Caro.
Et sa fellation… Divine ! On croirait coulisser entre des cuisses trempées de désir. Sa langue pressant le gland, quel régal ! Là, je bande à nouveau.
Manque de place pour tout écrire, c’est frustrant ! En vrac, j’ai adoré sucer ses grosses lèvres gonflées d’excitation et rouler ma langue sur son bouton d’amour tendu et bien dur. J’ai adoré ses câlins, ses baisers et sa tendresse, enlacés.
Hier, les émotions montaient crescendo à mesure que je découvrais Anna à travers ses photos. Cette ascension émotionnelle se poursuivit aujourd’hui, après que sa porte s’ouvrit.
Comme cette femme est belle ! Bien au delà de ce que le léger filtre appliqué sur ses photos laisse espérer. Celles prises de profil dévoilent un peu de sa réelle beauté.
Comme cette femme est attirante ! Elle me reçut vêtue d’une aguichante petite lingerie de ce rouge qui sied si bien aux brunes, ses cheveux gracieusement noués, m’offrant sourire et bonne humeur, s’exprimant avec une voix d'une mélodie et d'une douceur charmeuses.
Comme cette femme est excitante ! Ses baisers veloutés, onctueux, voluptueux vous transportent. Ses seins, à la fois lourds et fermes, réclament les caresses. Ses hanches contrastent à ravir avec sa taille. On ne se lasse pas de parcourir ses courbes féminines à la peau si douce.
Comme cette femme est tendre et complice ! Elle nous prodigue toute l'attention d'une amante amoureuse.
Je l'ai quittée heureux, le sourire aux lèvres. Mais j'avais toujours soif de sa beauté et de son allure.
Elle mérite qu'on lui consacre davantage de temps : la sortir pour la regarder bouger et rire, pour savourer le chant de sa voix, pour admirer sa grâce et nous attendrir, pour profiter de doux moments complices.
Quel plaisir l’on ressent à contempler vos photos ! Prenons celle de vous en secrétaire, un magazine entre les mains.
On se réjouit de votre beau visage harmonieux, ainsi que de vos yeux magnifiques comparables à ceux des nobles femmes égyptiennes de l’Antiquité. Nous voilà charmés.
Notre regard caresse ensuite vos délicates lèvres entrouvertes, qui expriment comme un discret mélange de surprise et de retenue. Les pendentifs de vos boucles d’oreille suivent la ligne de votre cou appelant aux baisers, et accompagnent le tombé nonchalant de vos cheveux. C’est très gracieux. Pour tout cela, notre cœur palpite.
Nos yeux glissent alors sur votre chemisier, tendu à craquer, puis plongent dans votre décolleté affolant. Là, les sangs s’échauffent et l’imagination s’emballe devant cette promesse de sensualité, d’érotisme et de charnel.
Plus bas, votre jupe si courte et si serrée inspire mille coquines manières de la retrousser sur vos fesses, qu’on fantasme aussi rondes et pleines que vos cuisses sont galbées.
L’excitation nous enivre, le désir de vous nous démange. La tension sexuelle referme ses mâchoires, et nous voilà envoûtés.
Toute cette escalade émotionnelle concentrée sur moins de deux secondes, ça déclenche une réaction explosive. Une combustion spontanée.
Hâte de me consumer à votre contact, si vous restez quelque temps.
Je la contemplais, elle appliquée à attacher ses cheveux avant de rejoindre le lit. Geste très gracieux, très féminin. Elle surpris mon regard dans le miroir. Petits rires brefs, presque gênés. C’était charmant, ça m’a rajeuni de trente ans.
Cette parenthèse délicate se métamorphosa rapidement en une profusion de profonds baisers langoureux, de tendresse, et de caresses variées. Parcourir son corps élancé à la peau si douce était un plaisir. Des seins sublimes à pétrir et à sucer, leur extrémité vigoureuse et bien charnue (une photo l'illustre) pointant fièrement même sans stimulation.
Dans le même temps, sa langue s’aventurait un peu partout sur mon torse, tandis que ses mains polissonnes s’assuraient de la rigidité de mon désir. Plus tard, sa bouche prit le relais avec beaucoup de talent. C’était torride et j’étais aux anges.
Et puis, j’aimais bien comme elle me regardait, ses yeux pétillants et sa lèvre joliment relevée projetant un sourire sur tout son visage.
Avant de s'empaler, Aiko lâcha ses longs cheveux. Ah, j’aimais ça, les voir se balancer sur ses épaules au rythme de nos ébats !
Pour finir, nous discutâmes sans prendre garde au temps qui passe. Aiko a soif d’enrichir son français. L’un d’entre vous lui a appris « préliminaires ». Ça sert peu chez la boulangère, mais entre ses bras, si !
J’avais déjà rencontré Feier (appréciation du 9 janvier), et je n’avais pas su me rassasier d’elle avec toute la ferveur méritée. Voilà l’affront lavé, à présent.
Si je me souvenais de ses hanches, bien marquées pour une femme asiatiques (miam !), ainsi que de ses fesses sublimes à caresser, son petit être irradiait aujourd’hui d’une flamme enjouée qui m’avait échappé. Feier semblait épanouie et sereine, comme accomplie. C’était très plaisant, et cela forgea de suite une atmosphère complice et tendre.
Ambiance sensuelle, aussi ! Son petit haut remontait aisément le long de la courbure de ses seins, tandis que mes mains venaient épouser leur galbe. Par ailleurs, de longs et profonds baisers nous accompagnèrent tout du long.
Cette proximité charnelle appela d’autres jeux de bouche, bien plus polissons, ceux-là. Ses doigts légers comme une plume me caressaient tout l’entrejambe, tandis que sa bouche suçait, aspirait, pompait, parfois remplacée par quelques doigts dansant sur mon extrémité. A ce moment-là, de délicieux spasmes me parcouraient, partant du scrotum. Fantastique ! Tout n’était plus que pur plaisir érotique, l’orgasme tenu à distance pour profiter, profiter encore.
Débordant de reconnaissance, je plongeai ensuite ma langue entre ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle s’abandonnât. J’ai adoré qu’elle m’en remerciât à plusieurs reprises.
Pour compléter mon appréciation précédente, sachez que cette charmante femme délivre vraiment une prestation d’escorte exclusive, pour un bouquet de roses tout à fait abordable (standard).
Il n’y a pas de mystère. Nana n’accumule pas tant de bonnes appréciations par hasard.
Déjà, cette jolie femme au corps élancé vous accueille dans une nuisette torride, fort bien conçue pour mettre en valeur ses charmes féminins, taille fine, seins pleins et fesses rondes. J’en oubliais de respirer.
Autre surprise, c’est elle, c’est bien elle, tout aussi classe et charmante que sur les photos, et qui s’exprime bien en français.
Ses longs baisers langoureux, avec nos langues longuement mêlées, m’ont transporté dans son univers baigné de sensualité et de romantisme.
J’étais aux anges, et lorsqu’elle s’enquérait de mon ressenti, je répliquais par un fade « très bien », loin d’exprimer l’intensité de mon feu d’artifice intérieur après que sa bouche avait sucé et aspiré mon désir d’elle, par exemple.
Ravi, je le fus aussi alors que ma langue honorait son entrejambe, et qu’elle participait activement à déclencher son orgasme.
Et faire l’amour fut d’un naturel ! Son sexe, que l’excitation rend si chaud, si humide, si accueillant, facilita la pénétration. Quel délice ensuite de se mouvoir en elle, ondulant au rythme du plaisir, nos lèvres jointes !
Et quelle satisfaction, une fois nos corps séparés, de noter l’abondance de ses sécrétions à la racine de mon membre !
Un massage à l’huile me fit atterrir tout en douceur.
Lindan habite à la même adresse. Je comptais la découvrir aujourd’hui, après une expérience matinale (Amy) tellement intense que le désir me brûlait encore. Xixie en avait décidé autrement. J’étais sa chasse gardée ! Après un instant de flottement où je pensai : « c’est fou ce que Lindan ressemble à Xixie ! », j’obtempérai. Après tout, ce que Femme veut, Dieu le veut !
Et comme la semaine précédente, je passai un moment merveilleux en sa compagnie, à la dévorer de baisers comme un amoureux, à l’enlacer, à caresser son corps avec envie, à contempler sa jolie frimousse encadrée de ses longs cheveux lisses, à glisser mes doigts dans son entrejambe et les sentir mouillés après seulement quelques attouchements…
Cette beauté menue et bien gaulée est très excitante. J’ai eu envie de l’entendre gémir et de la sentir se tortiller sous les assauts de ma langue. Ce qu’elle fit, jusqu’à s’abandonner au plaisir, tendue comme un arc. Quel beau cadeau , quelle générosité !
Plus tard, cette amante appliquée démontra une bonne résistance, me chevauchant longuement en amazone. Quel délice de sentir ce petit corps tonique s’efforcer de me procurer le plus de sensations possibles ! Avec succès.
Quand à Lindan, le chant lointain et étouffé de ressorts tressautant joyeusement me fit comprendre à la toute fin qu’elle avait trouvé un camarade de jeu.
Deux portraits (tout récents) d’Amy m’avaient particulièrement touché. Celui où ses cheveux s’abandonnent en cascade sur ses épaules, et cet autre à la suite, elle à demi allongée, un pendentif autour du cou. Sur chaque, Amy dégage un charme sensuel, une invitation aux débordements charnels, une pudeur polissonne dans son sourire et dans l’éclat de ses yeux.
À la voir en vrai, quel plaisir de découvrir que les photos sont de piètre qualité comparées au modèle ! C’est vrai de ses portraits comme de ces photos qui nous dévoilent trop de ses atouts féminins.
Apaisante, presque réservée, cette belle femme se montre entreprenante dans les jeux d’amour. Sa poitrine opulente, mais vraiment bien formée, participe aux câlins de la meilleure des manières, que se soit en se frottant sur votre torse, sur votre visage, ou en venant stimuler et durcir votre désir. C’est doux, tendre, moelleux, mais aussi torride, enivrant, excitant. On a envie de la serrer fort contre soi et de fondre en elle.
Elle sait aussi se servir de sa bouche, avec un talent pour vous garder bien raide et vous procurer du plaisir. Et une fois qu’on l’a pénétrée, comme l’on s’y sent bien !
Après l’avoir quittée, je réalisais que de petites bulles de champagne semblaient pétiller dans mon abdomen et me monter à la tête en accélérant le cœur.
Exquise sensation d’ivresse !
Xixie m’offrit une cure rafraîchissante de douceur, de câlins et de tendresse.
Son corps menu, gracieux, ferme et tonique, à la taille joliment dessinée et aux jambes bien ciselées, à la peau soyeuse colorée par le soleil, c’était une folle invitation aux caresses. Je soupire encore de nos étreintes.
Ses tétons bien sombres, pointant insolemment sur ses petits seins adorables à empoigner, m’ont régalé tout du long. Quel délice que de les sucer !
Régulièrement, je m’arrêtais entre deux baisers profonds, langoureux, excitants, et saisissais délicatement son visage entre les mains pour la contempler. Un plaisir pour les yeux ! Le regard tendre qu’elle me portait alors éveillait dans mes tripes des petites flammèches joyeuses proches d’une émotion amoureuse. Mazette ! Comme c’était agréable de replonger ainsi dans l’adolescence !
Après l’amour, nous restâmes longtemps fusionnés. Et lorsque nos corps se déboîtèrent, hygiène oblige, ce fut pour nous rapprocher à nouveau, peau contre peau, et discuter (en français !), enlacés, apaisés, complices.
Plus tard dans la rue, j’accrochais le regard de dames qui me dévisageaient brièvement, de cette manière qui vous envisage. Plus que mon quota hebdomadaire. Mince alors ! Soit j’avais de la sauce tomate sur le menton, soit la magie de Xixie avait renforcé mon aura.
Les bonnes appréciations de mes camarades @BH92 et @ElRaoul ne pouvaient que me convaincre. Merci à eux ! Douce, attentive, affamée de baisers et de câlins, la vivacité et la prise d’initiatives d’Emily donnèrent du rythme tout du long.
Douche à deux, où la belle apporta une attention particulière à la propreté de zones avides de caresses, qui montrèrent leur reconnaissance avec la plus turgescente des rigidités.
Une fois sur le lit, je découvris les délices d’un 69 inversé, mon amante suçant avec avidité mon entrejambe par en dessous, un doigt explorateur stimulant les contours sensibles de mon sphincter.
Plus tard, tandis que ma langue butinait son bouton floral, ses doigts nerveux me chassèrent un peu plus bas, et imprimèrent une cadence qui accéléra jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un râle libératoire. S’ensuivit cette langueur amoureuse qui rend les femmes si tendres et si désirables après l’orgasme.
Sa générosité ne s’arrêta pas là. Nous faisions l’amour, et le plaisir finit par m’emporter, mais sans y entraîner Emily. Elle profita de ce que mon érection persistait pour s’y frotter encore et encore, jusqu’à jouir une seconde fois. Radieuse, elle me montra les sécrétions qu’elle avait libérées, recueillies sur la pulpe de ses doigts.
Se donner à vous avec une telle dévotion, voilà des sensations et des images précieuses à conserver !
Toujours aussi agréable et efficace, la prise en charge par CARO. Vous l'avertissez de votre présence en bas de l'immeuble, et vous voilà en possession des directives avant même que, soucieux de ne pas éveiller les soupçons du voisinage, vous n'invoquiez vos talents de phasme.
Cela m'avait pris la veille. J'avais eu très envie d'elle, d'effleurer sa peau si douce, de parcourir ses courbes méchamment féminines, d'empoigner ses fesses bien rondes, de pétrir ses seins savoureux, et de l'embrasser, beaucoup, beaucoup. Quand l'impulsion est saine, pourquoi générer de la frustration ? Autant satisfaire cet appétit charnel.
Ainsi fut fait. CARO m'a offert de très longues gâteries. Sa langue virevoltait sur l'extrémité de mon membre, dardant, roulant, pressant. Des sensations exquises et variées irradiaient par vague, me portant à un souffle de la perte de contrôle. Tandis que sa bouche me prodiguait ces soins, je profitais du miroir très coquin courant le long du lit. Très excitante, la vue !
Plus tard, nous inversâmes. J'adore son sexe. Il est magnifique. Suçoter ses lévres épaisses et charnues, qu'on sent bien gonflées, quel régal ! J'espère que les gémissements que je lui ai arrachés étaient authentiques.
Reformulation de tout ça dans un registre fruste, adapté aux attentes de @Unmeckipasse :
« CARO, elle est sacrément bonne ! »
Cette fougueuse amante m’a enchanté ! @ElRaoul me l’avait chaudement recommandée et il avait raison : j’ai été emballé. Je comprends aussi l’impatience de ceux qui attendent son retour à Angers ou ailleurs.
Dès la porte franchie, me voilà dévoré de baisers, sa langue s’enroulant sans répit autour de la mienne. Le soldat revenant du front n’aurait pas reçu accueil plus ardent.
Mes mains s’infiltrèrent aisément sous son petit haut polisson, qui remonta de lui-même sur ses seins, dont la rondeur et le moelleux succulents, à la pointe toujours tendue, me rendirent fou d’excitation.
Douche à deux, collés-serrés. Vive les douceurs savonnées ! Là, sa bouche s’empara de mon envie d’elle. Quel délice ! Ses lèvres coulissaient si bien que je me croyais plongé dans son étroite féminité, bien humide de désir.
Retour dans la chambre, à profiter de son corps ferme au ventre musclé, corps contre corps, rivés l’un à l’autre comme deux amoureux passionnés.
Caresses, câlins, jeux de langue coquins, tendresse, puis cette amazone expressive et pleine d’énergie me chevaucha dans un galop endiablé, jusqu’à rompre la digue de mon plaisir.
Elle me quitta comme elle me reçut : sous une avalanche de baisers. Une heure bien dépassée, à baigner dans l’amour d’une femme rayonnante… Du coup, une fois dehors, vous rayonnez aussi.
Su Su poste ses vraies photos. Le portrait en plein la représente bien, à ceci prêt que sa jeunesse adoucit davantage ses traits. Une femme toute menue, toute mignonne, toute jolie, avec une pincée de mélancolie renforçant son charme.
Ça commença fort dès l’ouverture de la porte. Un visage adorable surgit dans l’entrebâillement. La belle portait une nuisette vaporeuse. Miam !
Mes mains découvrirent plus tard que ce bout de tissu se retroussait avec aisance, et qu’elle était complètement nue dessous. Mon désir montait tranquillement, attisé par les caresses de Su Su, quand je défis une bretelle pour saisir un sein. Sa forme pleine, son galbe ferme, sa pointe tendue… Comme de l’essence déversé sur le feu couvant de mon excitation ! D’un coup, me voilà raide et dur comme un roc. Quel accélérateur !
Pour les câlins, elle embrassa à merveille, ses lèvres caressantes au toucher, ses dents qui mordillaient, sa bouche offerte à l’exploration de nos langues. Ses talents buccaux s’exprimèrent avec tout autant de bonheur lorsqu’elle s’aventura plus bas.
Lorsque nos corps s’entremêlèrent, Su Su semblait si fragile, que je la manipulais avec précaution. Après qu'elle m'ait donné du plaisir, son intimité se contracta pour me garder opérationnel plus longtemps. Miam again !
Un très bon moment, tout doux !
Gros coup de cœur ! Happé par le charme de cette gracieuse nymphe, le sourire m’a habité tout du long.
Son petit corps ferme et juvénile se cale parfaitement contre le nôtre.
Sa taille, ses fesses, ses cuisses, son ventre plat, ses petits seins charmants à la pointe toujours dressée, son cou gracile, tout est plaisir à contempler, caresser, empoigner, effleurer, pétrir, taquiner, selon l’envie.
Ses lèvres pleines s’amollissant sous les baisers, quel délice ! Et son visage… Comme cette jeune femme douce et souriante est jolie, mais jolie ! Je n’ai pas cessé de la regarder. Un moment, j’ai même ressenti un bref coup de cafard à l’idée de la quitter bientôt sans m’être pleinement rassasié de son joli minois. Combien de fois lui ai-je dit qu’elle était « pretty » ?
L’atmosphère se prête à la sensualité et à l’abandon des sens. Lumière tamisée et musique douce. À son image.
La séance se termina par un massage excellent et très complet. Une première pour moi, Niya massa l’abdomen, malaxant les organes comme si ses mains les tenaient. Incroyable !
À la fin, je l’ai trouvée si adorable tandis qu’elle reboutonnait ma chemise, que le désir m’assaillit à nouveau. Malheureusement, pas possible de prolonger cet instant de grâce, fallait aller bosser.
@Unmeckipasse, vous êtes conçu brut de fonderie, soit. Des ressentis basiques, c’est votre droit.
Mais pourquoi venir polluer la fiche de CARO en vous octroyant le rôle pédant de censeur, jugeant de ce que l’on peut dire ou non ?
Certains d’entre nous ont la chance d’éprouver sous les caresses de CARO des sensations charnelles et sensuelles autrement plus subtiles, et c’est leur droit de les partager.
J’ai jeté un coup d'œil à vos commentaires… Vous avez une langue sacrément fourchue.
Appartement bien agencé, très grand lit dans vaste chambre. Séance déroulée avec la diligence attendue de la part d’un homme pressé et caresses légères permises.
Merci Emilia pour votre disponibilité 😘.
Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
Sisi (You) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de Sisi n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.
Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
You (Sisi) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de You n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.
Caro me trottait toujours dans la tête, et ma chair la réclamait. Une nouvelle visite s'imposait donc !
Comme la veille, la contemplation de sa lingerie coquine, sublimant son corps tout de belles courbes appétissantes, produisit l'effet d'une étincelle sur un bâton de dynamite.
Quel plaisir de la presser contre moi comme une fleur délicate, et de butiner ses lévres puis de laisser nos langues se chercher, se mêler, virevolter, puis pénétrer plus profonds comme pour nous absorber l'un dans l'autre ! C'était délicieusement sensuel, je ne m'en lassais pas.
En parallèle, mon désir s'attisait à empoigner ses fesses aux rondeurs appelant les caresses, à infiltrer quelques doigts dans ses bas le long de ses cuisses, et à glisser une main fureteuse dans son soutien-gorge. D'ailleurs, ce dessous ne resta guère longtemps en place. Avis aux petits polissons : il se dégraphe en un claquement de doigt.
S'ensuivit une débauche de caresses buccales réciproques et de tendres baisers généreux : nos langues furent l'instrument de bien des plaisirs partagés. Nous fîmes ensuite l'amour comme deux amants s'unissant après une longue absence (c'était en tout cas mon ressenti).
Pour finir, sachez que Caro parle français avec un accent distingué, habité des tonalités d'autrefois. Cela se marie très bien avec son allure et son sourire empreint de bonté.
Le premier contact avec Caro déclencha deux bouffées de joie coup sur coup, l’une en découvrant ses yeux rieurs et son visage accueillant, l’autre en caressant du regard la lingerie coquine qui accentuait la féminité excitante de ses formes.
Ces bons présages se confirmèrent lorsque je la serrai contre moi. Plutôt grande femme, mon hôtesse se calait parfaitement dans mes bras. Mes mains vagabondèrent sur son corps à la peau si lisse, empoignèrent ses fesses fermes et bien charnues, rodèrent le long de ses seins, tandis que nos langues s’entrelaçaient longuement et avec gourmandise. Miam ! Caro m’avait transporté hors du monde, où elle me maintint d’ailleurs jusqu’à ce qu’elle me fasse jouir, bien plus tard.
Une fois allongés, mon amante partit en exploration, s’attardant sur mon torse, puis descendant sur l’entrejambe suçoter les deux petits compagnons. D’ordinaire, je redoute une succion douloureuse. Pas avec la délicate Caro.
Et sa fellation… Divine ! On croirait coulisser entre des cuisses trempées de désir. Sa langue pressant le gland, quel régal ! Là, je bande à nouveau.
Manque de place pour tout écrire, c’est frustrant ! En vrac, j’ai adoré sucer ses grosses lèvres gonflées d’excitation et rouler ma langue sur son bouton d’amour tendu et bien dur. J’ai adoré ses câlins, ses baisers et sa tendresse, enlacés.
Charnel et sensuel. Érotico-romantique.
Magique !
Hier, les émotions montaient crescendo à mesure que je découvrais Anna à travers ses photos. Cette ascension émotionnelle se poursuivit aujourd’hui, après que sa porte s’ouvrit.
Comme cette femme est belle ! Bien au delà de ce que le léger filtre appliqué sur ses photos laisse espérer. Celles prises de profil dévoilent un peu de sa réelle beauté.
Comme cette femme est attirante ! Elle me reçut vêtue d’une aguichante petite lingerie de ce rouge qui sied si bien aux brunes, ses cheveux gracieusement noués, m’offrant sourire et bonne humeur, s’exprimant avec une voix d'une mélodie et d'une douceur charmeuses.
Comme cette femme est excitante ! Ses baisers veloutés, onctueux, voluptueux vous transportent. Ses seins, à la fois lourds et fermes, réclament les caresses. Ses hanches contrastent à ravir avec sa taille. On ne se lasse pas de parcourir ses courbes féminines à la peau si douce.
Comme cette femme est tendre et complice ! Elle nous prodigue toute l'attention d'une amante amoureuse.
Je l'ai quittée heureux, le sourire aux lèvres. Mais j'avais toujours soif de sa beauté et de son allure.
Elle mérite qu'on lui consacre davantage de temps : la sortir pour la regarder bouger et rire, pour savourer le chant de sa voix, pour admirer sa grâce et nous attendrir, pour profiter de doux moments complices.
Quel plaisir l’on ressent à contempler vos photos ! Prenons celle de vous en secrétaire, un magazine entre les mains.
On se réjouit de votre beau visage harmonieux, ainsi que de vos yeux magnifiques comparables à ceux des nobles femmes égyptiennes de l’Antiquité. Nous voilà charmés.
Notre regard caresse ensuite vos délicates lèvres entrouvertes, qui expriment comme un discret mélange de surprise et de retenue. Les pendentifs de vos boucles d’oreille suivent la ligne de votre cou appelant aux baisers, et accompagnent le tombé nonchalant de vos cheveux. C’est très gracieux. Pour tout cela, notre cœur palpite.
Nos yeux glissent alors sur votre chemisier, tendu à craquer, puis plongent dans votre décolleté affolant. Là, les sangs s’échauffent et l’imagination s’emballe devant cette promesse de sensualité, d’érotisme et de charnel.
Plus bas, votre jupe si courte et si serrée inspire mille coquines manières de la retrousser sur vos fesses, qu’on fantasme aussi rondes et pleines que vos cuisses sont galbées.
L’excitation nous enivre, le désir de vous nous démange. La tension sexuelle referme ses mâchoires, et nous voilà envoûtés.
Toute cette escalade émotionnelle concentrée sur moins de deux secondes, ça déclenche une réaction explosive. Une combustion spontanée.
Hâte de me consumer à votre contact, si vous restez quelque temps.
Je la contemplais, elle appliquée à attacher ses cheveux avant de rejoindre le lit. Geste très gracieux, très féminin. Elle surpris mon regard dans le miroir. Petits rires brefs, presque gênés. C’était charmant, ça m’a rajeuni de trente ans.
Cette parenthèse délicate se métamorphosa rapidement en une profusion de profonds baisers langoureux, de tendresse, et de caresses variées. Parcourir son corps élancé à la peau si douce était un plaisir. Des seins sublimes à pétrir et à sucer, leur extrémité vigoureuse et bien charnue (une photo l'illustre) pointant fièrement même sans stimulation.
Dans le même temps, sa langue s’aventurait un peu partout sur mon torse, tandis que ses mains polissonnes s’assuraient de la rigidité de mon désir. Plus tard, sa bouche prit le relais avec beaucoup de talent. C’était torride et j’étais aux anges.
Et puis, j’aimais bien comme elle me regardait, ses yeux pétillants et sa lèvre joliment relevée projetant un sourire sur tout son visage.
Avant de s'empaler, Aiko lâcha ses longs cheveux. Ah, j’aimais ça, les voir se balancer sur ses épaules au rythme de nos ébats !
Pour finir, nous discutâmes sans prendre garde au temps qui passe. Aiko a soif d’enrichir son français. L’un d’entre vous lui a appris « préliminaires ». Ça sert peu chez la boulangère, mais entre ses bras, si !
J’avais déjà rencontré Feier (appréciation du 9 janvier), et je n’avais pas su me rassasier d’elle avec toute la ferveur méritée. Voilà l’affront lavé, à présent.
Si je me souvenais de ses hanches, bien marquées pour une femme asiatiques (miam !), ainsi que de ses fesses sublimes à caresser, son petit être irradiait aujourd’hui d’une flamme enjouée qui m’avait échappé. Feier semblait épanouie et sereine, comme accomplie. C’était très plaisant, et cela forgea de suite une atmosphère complice et tendre.
Ambiance sensuelle, aussi ! Son petit haut remontait aisément le long de la courbure de ses seins, tandis que mes mains venaient épouser leur galbe. Par ailleurs, de longs et profonds baisers nous accompagnèrent tout du long.
Cette proximité charnelle appela d’autres jeux de bouche, bien plus polissons, ceux-là. Ses doigts légers comme une plume me caressaient tout l’entrejambe, tandis que sa bouche suçait, aspirait, pompait, parfois remplacée par quelques doigts dansant sur mon extrémité. A ce moment-là, de délicieux spasmes me parcouraient, partant du scrotum. Fantastique ! Tout n’était plus que pur plaisir érotique, l’orgasme tenu à distance pour profiter, profiter encore.
Débordant de reconnaissance, je plongeai ensuite ma langue entre ses cuisses, jusqu’à ce qu’elle s’abandonnât. J’ai adoré qu’elle m’en remerciât à plusieurs reprises.
Même enthousiasme que Gillou92.
Pour compléter mon appréciation précédente, sachez que cette charmante femme délivre vraiment une prestation d’escorte exclusive, pour un bouquet de roses tout à fait abordable (standard).
Il n’y a pas de mystère. Nana n’accumule pas tant de bonnes appréciations par hasard.
Déjà, cette jolie femme au corps élancé vous accueille dans une nuisette torride, fort bien conçue pour mettre en valeur ses charmes féminins, taille fine, seins pleins et fesses rondes. J’en oubliais de respirer.
Autre surprise, c’est elle, c’est bien elle, tout aussi classe et charmante que sur les photos, et qui s’exprime bien en français.
Ses longs baisers langoureux, avec nos langues longuement mêlées, m’ont transporté dans son univers baigné de sensualité et de romantisme.
J’étais aux anges, et lorsqu’elle s’enquérait de mon ressenti, je répliquais par un fade « très bien », loin d’exprimer l’intensité de mon feu d’artifice intérieur après que sa bouche avait sucé et aspiré mon désir d’elle, par exemple.
Ravi, je le fus aussi alors que ma langue honorait son entrejambe, et qu’elle participait activement à déclencher son orgasme.
Et faire l’amour fut d’un naturel ! Son sexe, que l’excitation rend si chaud, si humide, si accueillant, facilita la pénétration. Quel délice ensuite de se mouvoir en elle, ondulant au rythme du plaisir, nos lèvres jointes !
Et quelle satisfaction, une fois nos corps séparés, de noter l’abondance de ses sécrétions à la racine de mon membre !
Un massage à l’huile me fit atterrir tout en douceur.