Profond respect pour ces femmes capables de nous offrir leur corps et leur coeur avec cette sincérité bluffante. Que de bonheur elles nous apportent !
Mon rapport galant aux femmes a été forgé adolescent à la lecture d'ouvrages romanesques de grands écrivains à cheval entre le XIX et le XX siècle.
Autant dire que mes codes sont aux antipodes de ceux du porno, où la crudité me déplait et la réification de la femme m'offense. J'apprécie le charme courtois du vouvoiement, puis le rapprochement et l'abandon dans le tutoiement.
La vulgarité et la familiarité me rebutent. Délicatesse, douceur, prévenance et petites attentions me touchent. Le contraste avec l'impétuosité sensuelle devient alors d'autant plus savoureux. Je retrouve ces qualités plus fréquemment chez les courtisanes ayant été éduquées dans la culture asiatique classique.
Celles inscrites dans mon TOP 50 (ordonné) m'ont mis la tête à l'envers, chacune à leur façon. Quant à celles qui n'y figurent pas, cela signifie que je n'ai pas l'intention de les revoir.
J'ai rencontré toutes les escortes de ma liste de suivi. Si elles n'ont pas de commentaire, c'est qu'elles l'ont effacé (j'avais sans doute émis une réserve).
Je n'éprouve pas d'animosité pour celles qui m'ont trompé ou déçu. Si quelque chose m'avait plu avant de les voir, je le signale, mais je termine par une ou plusieurs réserves.
Lila étant indisponible, c’est Linda qui m’a reçu. Elle portait une robe épousant au plus serré ses courbes pleines et excitantes. Ça et son visage rayonnant, voilà un accueil chaleureux qui augurait du meilleur pour la suite !
Passage sous la douche, où la belle prit soin de savonner certaines parties fort réceptives aux caresses, avant de guider avec espièglerie mes mains sur ses atouts charnels débordant d’érotisme.
Là, je compris qu’il allait falloir un mental d’acier pour rester sage durant toute la séance de massage.
Pourtant, l’atmosphère se prêtait au lâcher-prise : musique relaxante, pénombre entretenue par l’apaisante lumière des bougies, table de massage adaptée, propreté et hygiène.
Oui, mais à l’opposé, son ventre, ses cuisses, ses seins (comme on les sent bien !) qui vous massent et vous malaxent, ses doigts caressants qui s’infiltrent, polissons… Seul un moine Shaolin résisterait, imperturbable, à tant de stimulations.
À quel moment cela a-t-il dégénéré ? La voilà sur moi, ma tête entre ses cuisses, sa bouche suçotant mon désir, puis elle se redressa, assise sur mon visage. Un peu plus tard, je l’allongeai et ma langue poursuivit son œuvre, jusqu’à lui substituer un organe plus pénétrant.
Pour finir, un massage réparateur et apaisant suivi d’une nouvelle douche à deux. Je reviendrai !
J’avais pris rendez-vous tôt ce matin avec une Belle au Bois Dormant qui émergea deux heures plus tard, désolée. Partie remise.
Entretemps, j’avais contacté Lily qui, très réactive, me reçut moins d’une demi-heure plus tard. Efficace !
Décidément, il était encore bien tôt. Ses yeux étaient embués de sommeil et elle portait une petite tenue de nuit en satin. C’est bien sa silhouette sur les photos, mais le filtre du visage lui fait perdre quelques années.
Traits harmonieux avec de jolies lèvres attirantes quand elle les entrouvre, mais qu’on ne peut qu’effleurer, dommage (petit rhume hivernal ? Ne l’attirais-je pas du tout ? French Kisses non proposés ? …).
Quoi qu’il en soit, sa fellation m’a procuré des sensations délicieuses. Après 10 jours d’abstinence, j’ai dû l’interrompre plusieurs fois pour ne pas jouir, mon cerveau reptilien insistant par ailleurs pour que je m’abandonne au plaisir.
Difficile de combattre ses instincts, mais c’est entre leurs cuisses, peau contre peau, que j’aime me libérer.
Aujourd’hui, Cindy portait une robe très moulante qui soulignait à merveille ses formes si attirantes, si excitantes. J’avais le sourire jusqu’aux oreilles. Pas le temps de la contempler davantage, qu’elle me dévorait de baisers. Wouah ! Cette générosité, ce débordement d’amour m’avaient manqué ! Nos langues se mêlèrent longuement, c’était un délice.
Je n’aurais pu rêver accueil plus chaleureux.
Pressé de sentir le soyeux de sa peau, sa tiédeur et son parfum délicieux et discret, de coller sa féminité contre mon corps, la robe disparut très vite. À la voir, à la toucher, à l’embrasser, c’est fou comme le désir s’enflammait. Je me sentais comme un marron sur la braise, où la coque se fendille et éclate dans l’atmosphère torride.
Exploser, c’est d’ailleurs ce qui m’arriva plus tard, mais trop tôt : perte de contrôle surprise due à l’intensité sensuelle, romantique et érotique de nos ébats. Ses gémissements, son désir, sa faim de sexe et de tendresse, son petit corps adorable qui me presse et se tortille, m’ont vaincu par saturation des sens. En y pensant à nouveau, ça palpite dans la poitrine.
Et comme toujours, un corps, des seins à se damner. Une tendresse, une affection, une petite frimousse à faire fondre. Une fellation savoureuse, caressante, aspirante, gourmande, chaude et humide… Sensations intenses et variées !
@smertrios, j'ignore ce que vous avez demandé de sa liste qu'elle ne pratique plus, mais pour ce qui est de sa fellation, avec gorges profondes, incroyable, Lilith n'a absolument pas à craindre la concurrence. Elle plane clairement au dessus.
Mon premier commentaire finissait par une boutade, une revanche à prendre sur une lingerie récalcitrante.
Aujourd’hui, Cindy m’accueillit dans une belle nuisette de dentelle rouge, si diaphane que ce dessous coquin ne dissimulait que peu ses charmes terriblement féminins, brûlants de promesses érotiques. Oubliée, l’agrafe capricieuse de la fois passée.
Comme elle était belle et séduisante, ainsi ! D’autant qu’elle avait rehaussé la pulpe de ses lèvres d’une pointe de rouge à lèvres, invitant à les dévorer sans attendre. Tandis que nos langues s’entre mêlaient, mes mains avides de sa peau si soyeuse s’égaraient sur ses flancs. Ses seins magnifiques débordaient sur les côtés. Miam ! Leur texture, leur rondeur, leur fière tenue, leur douceur, leur fermeté, leur densité… Tout en eux m’emballait, m’enflammait. Et une fois libérés de la nuisette, quelle beauté à contempler !
S’ensuivit une longue séance de câlins, de baisers profonds, de corps à corps, à la fois charnels, romantiques et sensuels, poussant parfois mon désir à deux doigts de l’extase, notamment lorsqu’elle frottait l’extrémité de mon membre sur son intimité trempée, à la recherche du plaisir, ou lorsque sa délicieuse bouche prodiguait les meilleurs soins à mon envie d’elle.
J’ai adoré. Tout. Je voudrais revenir, et retrouver la même spontanéité, la même générosité de corps et de cœur.
J'ai conscience que ma parole n'a aucune valeur auprès de ceux qui n'ont pas fréquenté au moins l'une de celles que j'ai commentées, mais je confirme que ce sont effectivement les vraies photos de Susuliang.
Vous constaterez de visu qu'elle fait 19-20 ans maximum, toute douce et toute mignonne. Sa fraîcheur la rend particulièrement attirante. Et pour ceux qui connaissent un peu, une appréciation positive de @bussiere ou de @BH92, c'est la certitude de ne pas se tromper.
Dans les commentaires, vous m’aviez intrigué avec ce mystère planant autour d’un fauteuil. En fait, il est très pratique ! Un conseil, sans divulguer plus, rasez-vous l’entrejambe : Amy, sa langue, c’est du velours.
Autre source de délice, Amy dégage beaucoup de tendresse. Quand elle sourit en grand, son visage s’illumine. On croirait voir son âme, c’est rafraîchissant. Lorsqu’elle s’exprime en français, on se laisse caresser par la mélodie tranquille de sa voix, empreinte de mignonnes et séduisantes intonations.
Ses « ouh là là ! », « c’est bon ! », et d’autres encore, s'échappent de ses lèvres sur les accords de l'innocence surprise par un plaisir nouveau. Cette association explosive décuple l’excitation.
Ces mots-là, chargés de désir, presque soupirés, votre langue les convoque en butinant son bouton d’amour, particulièrement dur et proéminent, gorgé d’appétit charnel, tandis que ses mains crispées dans vos cheveux vous pressent contre sa vulve. Miam !
J’ai aussi été enchanté par son attitude, balançant entre ingénue et polissonne, comme ce constat alors qu’elle s’empalait sur mon envie d’elle : « Regarde, je suis trempée, ça rentre tout seul ».
A la toute fin, Amy se comporte en amante attentionnée, prenant soin de vous sécher après la douche et de vous rhabiller.
Alissa m’a reçu dans la tenue noire bordée de rouge qui figure, à aujourd’hui, sur les deux dernières photos (le filtre affine sa silhouette et son visage).
Onctueuse comme un câlin douillet, comme un bon pain chaud, comme une crème veloutée. Voilà ce qui m’a frappé chez elle dès les premiers instants, alors que je goûtais à ses baisers gourmands. Peu de temps après, mes mains savouraient ce même moelleux en pétrissant ses seins et son corps. C’est doux, c’est chaud, c’est réconfortant. C’est excitant, aussi. À tel point que j’ai bandé dru tout du long.
Il faut dire que cette charmante demoiselle possédait d’autres atouts pour maintenir mon érection en éveil.
Sûre de son effet, la coquine m’a présenté sa croupe. Mazette ! Mon regard lubrique a cru toucher le divin.
Puis, j’ai boulotté ses chairs intimes, délicieusement molles et mouillées de désir. Lorsqu’elle a trop tôt joui sous les taquineries de ma langue, mon appétit de luxure n’était pas encore rassasié.
Autre point. Son envie de vous est si abondante qu’on la pénètre avec une grande facilité. Toujours cette onctuosité, que l’on apprécie aussi dans les amples va-et-vient. Serré contre elle, la tête enfouie dans son cou ou les lèvres collées aux siennes, alors que ses bras vous enveloppent, et vous bougeant entre ses cuisses… Vous voudriez être ailleurs ? Pas moi.
JiXiang, sur ta capacité à nous apporter du bonheur, mission accomplie.
Preuve de ton talent, tu as déclenché lors de nos ébats deux phénomènes très agréables et inédits pour moi. Mon commentaire précédent les aborde avec légèreté et un peu crûment, mais ils m’ont touchés.
D’abord, cette communion charnelle, cette alchimie qui m’a fait perdre les frontières entre ce qui relevait de ton plaisir et du mien. Cette magie était grisante, donnait envie de fondre en toi, et j'en éprouvais une grande reconnaissance.
Ensuite, mon érection n'a pas été affectée par l'orgasme, restant tout aussi dure qu’avant, comme si je n’avais pas encore joui.
Quand une séance de galipettes a été particulièrement longue et bien menée, ma raideur se maintient plus longtemps, mais elle finit par abdiquer, quelle que soit ma volonté de la prolonger.
Là, elle était partie pour durer. Te voir nue l’avivait encore davantage, éveillant le souvenir de nos caresses. Ton petit air malicieux, que je trouve séduisant, n’arrangeait rien. Du coup, il m’a fallu lutter pour que l’engin se ramollisse, un comble !
Voilà deux signes illustrant que j’avais vraiment apprécié notre moment, intense en sensations et en surprises, merci beaucoup !
Messieurs, je vous souhaite de sentir les mêmes vibrations.
@ibrahima2006, Cindy m’a montré votre commentaire sur le site, et elle était désolée. Ça la tracassait d’avoir dû vous refuser. Vous paraissiez imposant (elle a fait le geste avec les bras), et ça l’a un peu effrayée.
Dans vos expériences passées, vous relevez à plusieurs reprises de vos amantes éphémères : « elle encaisse bien », « elle tient bien le choc », « elle encaisse bien le choc ». Belle énergie sauvage, félicitations !
Seulement voilà, Cindy n’a pas un profil de hardeuse. Elle déborde d’une douceur toute féminine, et s’attend plutôt à ce que l’on prenne soin d’elle. Un pilonnage bien vigoureux aurait risqué de la blesser.
Elle avait dû pressentir que sa relative fragilité aurait pu souffrir de vos assauts enthousiastes.
Quel enthousiasme, quelle fraîcheur, quelle authenticité ! Cindy vous irradie d’amour durant toute la séance, ses yeux pétillants de bonheur, son sourire ne quittant ses lèvres que pour laisser échapper des gémissements. Elle se donne tout entière à vous.
Des baisers à profusion, langoureux, gourmands, votre langue pénétrant au plus profond et jouant avec la sienne.
Et lorsque vos doigts s’infiltrent sous son string, découvrant peu à peu ses chairs intimes, elle s’empresse de retirer l’obstacle, puis guide votre majeur le long de sa fente. À peine un aller-retour, et le voilà mouillé.
Réalisant comme vous l’excitez, une délicieuse charge d’adrénaline vous picote. Mazette ! C’est bon, ça !
Pas la place de recueillir tout ce qui m’a enchanté durant cette séance, jusqu’au massage de fin, revigorant puis coquin.
Cette splendide femme et son dévouement à notre égard orchestrent ces enchaînements de plaisir.
Splendide, oui. La peau douce et ferme, le corps tonique aux gracieuses courbes féminines (voir photos), et des seins … Magnifiques ! Peut-être les plus beaux qu’il m’ait été donné de caresser. Un galbe, un lest et une tenue parfaits, des tétons provocateurs à souhait, un régal à sucer.
Et son intimité… Miam !
Bref, Cindy m’a conquis. Je reviendrai. Par ailleurs, j’ai un compte à régler avec l’agrafe du soutien-gorge.
Puisque l’aura que dégage Amy sur ses photos vous enthousiasme, regardez celles sur son profil « Mimi » (cf. mon appréciation du 8 novembre dernier pour y accéder).
Qu’est-ce qu’elle est gracieuse et attirante, non ?
Qiulu est bien cette femme pleine d'entrain que l'on imagine après avoir vu sa video et ses photos.
Nombreux baisers, des seins moelleux à pétrir, des préliminaires buccaux qui se prolongèrent, puis un missionnaire délicieux, trop délicieux. C'était comme si une cartouche s'était engagée dans la chambre et ne demandait qu'à s'éjecter du canon, donc bascule en amazone, où Qiulu varia ses manières de me chevaucher.
Pour conclure l'heure, un massage où sa copine nous rejoignit. Mon membre palpitait à chaque pétrissage des fesses. Il voulait renaître. Après avoir pressé sur la détente, je n'avais pas été rassasié, voguant dans cet état où les filles nous mettent à l'arrivée des beaux jours, lorsqu'elles troquent leurs vêtements chauds pour des tenues courtes et légères, ravies de se savoir si jolies. Vous voyez ?
Qiulu me proposa d'étendre la séance avec sa copine. Vendu ! Fine, avec des seins ronds comme des pommes, aux mamelons bien foncés. Miam ! Des câlins, des baisers, des préliminaires, et un missionnaire très tendre, très serré en elle qui me demandait de me mouvoir doucement. Trop gros ? Mieux profiter (elle gémissait mieux ainsi) ? Je ne sais pas.
Après l'orgasme, elle contracta son vagin pour me garder longtemps prisonnier de ses cuisses, dur et toujours actif.
J’avais tellement apprécié cette séance avec Mimi/Amy (cf. mon appréciation du 29 octobre), que j’avais fréquenté une autre escorte dans l’après-midi, croyant parvenir à étouffer le feu qui me brûlait encore. Cette escapade ne fit qu'atténuer ce manque mâtiné de désir : nos moments intimes persistèrent encore longtemps dans ma chair et dans mon esprit.
Regardez ce portrait d'elle les yeux baissés, ses cheveux comme peints en volutes d'aquarelle, l'air pudique, puis laissez-vous emporter par le torrent d'érotisme surgissant de sous cette lingerie retroussée sur ses seins. Mélange détonnant, non ?
Cette femme dégage aussi une grande douceur, dans sa voix et dans ses actes. Sensuelle et distinguée, torride et apaisante, gracieuse et excitante, sa féminité se sublime dans ces contrastes qui la rendent si désirable, si envoûtante.
D'ailleurs, ça me plaisait tellement, que je glissais parfois la main sur les contours de son visage et dans sa chevelure, juste pour la contempler. Elle laissait alors échapper un petit rire presque gêné, charmante coquetterie la rendant encore plus craquante.
Wahoo ! A l’évocation de ces moments savoureux, et d’autres aussi tendres ou plus coquins, mon sang pulse à m'étourdir un peu. Encore cette ivresse délicieuse que j’avais ressentie la dernière fois.
Lindan habite à la même adresse. Je comptais la découvrir aujourd’hui, après une expérience matinale (Amy) tellement intense que le désir me brûlait encore. Xixie en avait décidé autrement. J’étais sa chasse gardée ! Après un instant de flottement où je pensai : « c’est fou ce que Lindan ressemble à Xixie ! », j’obtempérai. Après tout, ce que Femme veut, Dieu le veut !
Et comme la semaine précédente, je passai un moment merveilleux en sa compagnie, à la dévorer de baisers comme un amoureux, à l’enlacer, à caresser son corps avec envie, à contempler sa jolie frimousse encadrée de ses longs cheveux lisses, à glisser mes doigts dans son entrejambe et les sentir mouillés après seulement quelques attouchements…
Cette beauté menue et bien gaulée est très excitante. J’ai eu envie de l’entendre gémir et de la sentir se tortiller sous les assauts de ma langue. Ce qu’elle fit, jusqu’à s’abandonner au plaisir, tendue comme un arc. Quel beau cadeau , quelle générosité !
Plus tard, cette amante appliquée démontra une bonne résistance, me chevauchant longuement en amazone. Quel délice de sentir ce petit corps tonique s’efforcer de me procurer le plus de sensations possibles ! Avec succès.
Quand à Lindan, le chant lointain et étouffé de ressorts tressautant joyeusement me fit comprendre à la toute fin qu’elle avait trouvé un camarade de jeu.
Deux portraits (tout récents) d’Amy m’avaient particulièrement touché. Celui où ses cheveux s’abandonnent en cascade sur ses épaules, et cet autre à la suite, elle à demi allongée, un pendentif autour du cou. Sur chaque, Amy dégage un charme sensuel, une invitation aux débordements charnels, une pudeur polissonne dans son sourire et dans l’éclat de ses yeux.
À la voir en vrai, quel plaisir de découvrir que les photos sont de piètre qualité comparées au modèle ! C’est vrai de ses portraits comme de ces photos qui nous dévoilent trop de ses atouts féminins.
Apaisante, presque réservée, cette belle femme se montre entreprenante dans les jeux d’amour. Sa poitrine opulente, mais vraiment bien formée, participe aux câlins de la meilleure des manières, que se soit en se frottant sur votre torse, sur votre visage, ou en venant stimuler et durcir votre désir. C’est doux, tendre, moelleux, mais aussi torride, enivrant, excitant. On a envie de la serrer fort contre soi et de fondre en elle.
Elle sait aussi se servir de sa bouche, avec un talent pour vous garder bien raide et vous procurer du plaisir. Et une fois qu’on l’a pénétrée, comme l’on s’y sent bien !
Après l’avoir quittée, je réalisais que de petites bulles de champagne semblaient pétiller dans mon abdomen et me monter à la tête en accélérant le cœur.
Xixie m’offrit une cure rafraîchissante de douceur, de câlins et de tendresse.
Son corps menu, gracieux, ferme et tonique, à la taille joliment dessinée et aux jambes bien ciselées, à la peau soyeuse colorée par le soleil, c’était une folle invitation aux caresses. Je soupire encore de nos étreintes.
Ses tétons bien sombres, pointant insolemment sur ses petits seins adorables à empoigner, m’ont régalé tout du long. Quel délice que de les sucer !
Régulièrement, je m’arrêtais entre deux baisers profonds, langoureux, excitants, et saisissais délicatement son visage entre les mains pour la contempler. Un plaisir pour les yeux ! Le regard tendre qu’elle me portait alors éveillait dans mes tripes des petites flammèches joyeuses proches d’une émotion amoureuse. Mazette ! Comme c’était agréable de replonger ainsi dans l’adolescence !
Après l’amour, nous restâmes longtemps fusionnés. Et lorsque nos corps se déboîtèrent, hygiène oblige, ce fut pour nous rapprocher à nouveau, peau contre peau, et discuter (en français !), enlacés, apaisés, complices.
Plus tard dans la rue, j’accrochais le regard de dames qui me dévisageaient brièvement, de cette manière qui vous envisage. Plus que mon quota hebdomadaire. Mince alors ! Soit j’avais de la sauce tomate sur le menton, soit la magie de Xixie avait renforcé mon aura.
Les bonnes appréciations de mes camarades @BH92 et @ElRaoul ne pouvaient que me convaincre. Merci à eux ! Douce, attentive, affamée de baisers et de câlins, la vivacité et la prise d’initiatives d’Emily donnèrent du rythme tout du long.
Douche à deux, où la belle apporta une attention particulière à la propreté de zones avides de caresses, qui montrèrent leur reconnaissance avec la plus turgescente des rigidités.
Une fois sur le lit, je découvris les délices d’un 69 inversé, mon amante suçant avec avidité mon entrejambe par en dessous, un doigt explorateur stimulant les contours sensibles de mon sphincter.
Plus tard, tandis que ma langue butinait son bouton floral, ses doigts nerveux me chassèrent un peu plus bas, et imprimèrent une cadence qui accéléra jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un râle libératoire. S’ensuivit cette langueur amoureuse qui rend les femmes si tendres et si désirables après l’orgasme.
Sa générosité ne s’arrêta pas là. Nous faisions l’amour, et le plaisir finit par m’emporter, mais sans y entraîner Emily. Elle profita de ce que mon érection persistait pour s’y frotter encore et encore, jusqu’à jouir une seconde fois. Radieuse, elle me montra les sécrétions qu’elle avait libérées, recueillies sur la pulpe de ses doigts.
Se donner à vous avec une telle dévotion, voilà des sensations et des images précieuses à conserver !
Toujours aussi agréable et efficace, la prise en charge par CARO. Vous l'avertissez de votre présence en bas de l'immeuble, et vous voilà en possession des directives avant même que, soucieux de ne pas éveiller les soupçons du voisinage, vous n'invoquiez vos talents de phasme.
Cela m'avait pris la veille. J'avais eu très envie d'elle, d'effleurer sa peau si douce, de parcourir ses courbes méchamment féminines, d'empoigner ses fesses bien rondes, de pétrir ses seins savoureux, et de l'embrasser, beaucoup, beaucoup. Quand l'impulsion est saine, pourquoi générer de la frustration ? Autant satisfaire cet appétit charnel.
Ainsi fut fait. CARO m'a offert de très longues gâteries. Sa langue virevoltait sur l'extrémité de mon membre, dardant, roulant, pressant. Des sensations exquises et variées irradiaient par vague, me portant à un souffle de la perte de contrôle. Tandis que sa bouche me prodiguait ces soins, je profitais du miroir très coquin courant le long du lit. Très excitante, la vue !
Plus tard, nous inversâmes. J'adore son sexe. Il est magnifique. Suçoter ses lévres épaisses et charnues, qu'on sent bien gonflées, quel régal ! J'espère que les gémissements que je lui ai arrachés étaient authentiques.
Reformulation de tout ça dans un registre fruste, adapté aux attentes de @Unmeckipasse :
« CARO, elle est sacrément bonne ! »
Lila étant indisponible, c’est Linda qui m’a reçu. Elle portait une robe épousant au plus serré ses courbes pleines et excitantes. Ça et son visage rayonnant, voilà un accueil chaleureux qui augurait du meilleur pour la suite !
Passage sous la douche, où la belle prit soin de savonner certaines parties fort réceptives aux caresses, avant de guider avec espièglerie mes mains sur ses atouts charnels débordant d’érotisme.
Là, je compris qu’il allait falloir un mental d’acier pour rester sage durant toute la séance de massage.
Pourtant, l’atmosphère se prêtait au lâcher-prise : musique relaxante, pénombre entretenue par l’apaisante lumière des bougies, table de massage adaptée, propreté et hygiène.
Oui, mais à l’opposé, son ventre, ses cuisses, ses seins (comme on les sent bien !) qui vous massent et vous malaxent, ses doigts caressants qui s’infiltrent, polissons… Seul un moine Shaolin résisterait, imperturbable, à tant de stimulations.
À quel moment cela a-t-il dégénéré ? La voilà sur moi, ma tête entre ses cuisses, sa bouche suçotant mon désir, puis elle se redressa, assise sur mon visage. Un peu plus tard, je l’allongeai et ma langue poursuivit son œuvre, jusqu’à lui substituer un organe plus pénétrant.
Pour finir, un massage réparateur et apaisant suivi d’une nouvelle douche à deux. Je reviendrai !
J’avais pris rendez-vous tôt ce matin avec une Belle au Bois Dormant qui émergea deux heures plus tard, désolée. Partie remise.
Entretemps, j’avais contacté Lily qui, très réactive, me reçut moins d’une demi-heure plus tard. Efficace !
Décidément, il était encore bien tôt. Ses yeux étaient embués de sommeil et elle portait une petite tenue de nuit en satin. C’est bien sa silhouette sur les photos, mais le filtre du visage lui fait perdre quelques années.
Traits harmonieux avec de jolies lèvres attirantes quand elle les entrouvre, mais qu’on ne peut qu’effleurer, dommage (petit rhume hivernal ? Ne l’attirais-je pas du tout ? French Kisses non proposés ? …).
Quoi qu’il en soit, sa fellation m’a procuré des sensations délicieuses. Après 10 jours d’abstinence, j’ai dû l’interrompre plusieurs fois pour ne pas jouir, mon cerveau reptilien insistant par ailleurs pour que je m’abandonne au plaisir.
Difficile de combattre ses instincts, mais c’est entre leurs cuisses, peau contre peau, que j’aime me libérer.
Aujourd’hui, Cindy portait une robe très moulante qui soulignait à merveille ses formes si attirantes, si excitantes. J’avais le sourire jusqu’aux oreilles. Pas le temps de la contempler davantage, qu’elle me dévorait de baisers. Wouah ! Cette générosité, ce débordement d’amour m’avaient manqué ! Nos langues se mêlèrent longuement, c’était un délice.
Je n’aurais pu rêver accueil plus chaleureux.
Pressé de sentir le soyeux de sa peau, sa tiédeur et son parfum délicieux et discret, de coller sa féminité contre mon corps, la robe disparut très vite. À la voir, à la toucher, à l’embrasser, c’est fou comme le désir s’enflammait. Je me sentais comme un marron sur la braise, où la coque se fendille et éclate dans l’atmosphère torride.
Exploser, c’est d’ailleurs ce qui m’arriva plus tard, mais trop tôt : perte de contrôle surprise due à l’intensité sensuelle, romantique et érotique de nos ébats. Ses gémissements, son désir, sa faim de sexe et de tendresse, son petit corps adorable qui me presse et se tortille, m’ont vaincu par saturation des sens. En y pensant à nouveau, ça palpite dans la poitrine.
Et comme toujours, un corps, des seins à se damner. Une tendresse, une affection, une petite frimousse à faire fondre. Une fellation savoureuse, caressante, aspirante, gourmande, chaude et humide… Sensations intenses et variées !
@smertrios, j'ignore ce que vous avez demandé de sa liste qu'elle ne pratique plus, mais pour ce qui est de sa fellation, avec gorges profondes, incroyable, Lilith n'a absolument pas à craindre la concurrence. Elle plane clairement au dessus.
Mon premier commentaire finissait par une boutade, une revanche à prendre sur une lingerie récalcitrante.
Aujourd’hui, Cindy m’accueillit dans une belle nuisette de dentelle rouge, si diaphane que ce dessous coquin ne dissimulait que peu ses charmes terriblement féminins, brûlants de promesses érotiques. Oubliée, l’agrafe capricieuse de la fois passée.
Comme elle était belle et séduisante, ainsi ! D’autant qu’elle avait rehaussé la pulpe de ses lèvres d’une pointe de rouge à lèvres, invitant à les dévorer sans attendre. Tandis que nos langues s’entre mêlaient, mes mains avides de sa peau si soyeuse s’égaraient sur ses flancs. Ses seins magnifiques débordaient sur les côtés. Miam ! Leur texture, leur rondeur, leur fière tenue, leur douceur, leur fermeté, leur densité… Tout en eux m’emballait, m’enflammait. Et une fois libérés de la nuisette, quelle beauté à contempler !
S’ensuivit une longue séance de câlins, de baisers profonds, de corps à corps, à la fois charnels, romantiques et sensuels, poussant parfois mon désir à deux doigts de l’extase, notamment lorsqu’elle frottait l’extrémité de mon membre sur son intimité trempée, à la recherche du plaisir, ou lorsque sa délicieuse bouche prodiguait les meilleurs soins à mon envie d’elle.
J’ai adoré. Tout. Je voudrais revenir, et retrouver la même spontanéité, la même générosité de corps et de cœur.
J'ai conscience que ma parole n'a aucune valeur auprès de ceux qui n'ont pas fréquenté au moins l'une de celles que j'ai commentées, mais je confirme que ce sont effectivement les vraies photos de Susuliang.
Vous constaterez de visu qu'elle fait 19-20 ans maximum, toute douce et toute mignonne. Sa fraîcheur la rend particulièrement attirante. Et pour ceux qui connaissent un peu, une appréciation positive de @bussiere ou de @BH92, c'est la certitude de ne pas se tromper.
Dans les commentaires, vous m’aviez intrigué avec ce mystère planant autour d’un fauteuil. En fait, il est très pratique ! Un conseil, sans divulguer plus, rasez-vous l’entrejambe : Amy, sa langue, c’est du velours.
Autre source de délice, Amy dégage beaucoup de tendresse. Quand elle sourit en grand, son visage s’illumine. On croirait voir son âme, c’est rafraîchissant. Lorsqu’elle s’exprime en français, on se laisse caresser par la mélodie tranquille de sa voix, empreinte de mignonnes et séduisantes intonations.
Ses « ouh là là ! », « c’est bon ! », et d’autres encore, s'échappent de ses lèvres sur les accords de l'innocence surprise par un plaisir nouveau. Cette association explosive décuple l’excitation.
Ces mots-là, chargés de désir, presque soupirés, votre langue les convoque en butinant son bouton d’amour, particulièrement dur et proéminent, gorgé d’appétit charnel, tandis que ses mains crispées dans vos cheveux vous pressent contre sa vulve. Miam !
J’ai aussi été enchanté par son attitude, balançant entre ingénue et polissonne, comme ce constat alors qu’elle s’empalait sur mon envie d’elle : « Regarde, je suis trempée, ça rentre tout seul ».
A la toute fin, Amy se comporte en amante attentionnée, prenant soin de vous sécher après la douche et de vous rhabiller.
Une délicieuse geisha, gracieuse et apaisante.
Alissa m’a reçu dans la tenue noire bordée de rouge qui figure, à aujourd’hui, sur les deux dernières photos (le filtre affine sa silhouette et son visage).
Onctueuse comme un câlin douillet, comme un bon pain chaud, comme une crème veloutée. Voilà ce qui m’a frappé chez elle dès les premiers instants, alors que je goûtais à ses baisers gourmands. Peu de temps après, mes mains savouraient ce même moelleux en pétrissant ses seins et son corps. C’est doux, c’est chaud, c’est réconfortant. C’est excitant, aussi. À tel point que j’ai bandé dru tout du long.
Il faut dire que cette charmante demoiselle possédait d’autres atouts pour maintenir mon érection en éveil.
Sûre de son effet, la coquine m’a présenté sa croupe. Mazette ! Mon regard lubrique a cru toucher le divin.
Puis, j’ai boulotté ses chairs intimes, délicieusement molles et mouillées de désir. Lorsqu’elle a trop tôt joui sous les taquineries de ma langue, mon appétit de luxure n’était pas encore rassasié.
Autre point. Son envie de vous est si abondante qu’on la pénètre avec une grande facilité. Toujours cette onctuosité, que l’on apprécie aussi dans les amples va-et-vient. Serré contre elle, la tête enfouie dans son cou ou les lèvres collées aux siennes, alors que ses bras vous enveloppent, et vous bougeant entre ses cuisses… Vous voudriez être ailleurs ? Pas moi.
JiXiang, sur ta capacité à nous apporter du bonheur, mission accomplie.
Preuve de ton talent, tu as déclenché lors de nos ébats deux phénomènes très agréables et inédits pour moi. Mon commentaire précédent les aborde avec légèreté et un peu crûment, mais ils m’ont touchés.
D’abord, cette communion charnelle, cette alchimie qui m’a fait perdre les frontières entre ce qui relevait de ton plaisir et du mien. Cette magie était grisante, donnait envie de fondre en toi, et j'en éprouvais une grande reconnaissance.
Ensuite, mon érection n'a pas été affectée par l'orgasme, restant tout aussi dure qu’avant, comme si je n’avais pas encore joui.
Quand une séance de galipettes a été particulièrement longue et bien menée, ma raideur se maintient plus longtemps, mais elle finit par abdiquer, quelle que soit ma volonté de la prolonger.
Là, elle était partie pour durer. Te voir nue l’avivait encore davantage, éveillant le souvenir de nos caresses. Ton petit air malicieux, que je trouve séduisant, n’arrangeait rien. Du coup, il m’a fallu lutter pour que l’engin se ramollisse, un comble !
Voilà deux signes illustrant que j’avais vraiment apprécié notre moment, intense en sensations et en surprises, merci beaucoup !
Messieurs, je vous souhaite de sentir les mêmes vibrations.
@ibrahima2006, Cindy m’a montré votre commentaire sur le site, et elle était désolée. Ça la tracassait d’avoir dû vous refuser. Vous paraissiez imposant (elle a fait le geste avec les bras), et ça l’a un peu effrayée.
Dans vos expériences passées, vous relevez à plusieurs reprises de vos amantes éphémères : « elle encaisse bien », « elle tient bien le choc », « elle encaisse bien le choc ». Belle énergie sauvage, félicitations !
Seulement voilà, Cindy n’a pas un profil de hardeuse. Elle déborde d’une douceur toute féminine, et s’attend plutôt à ce que l’on prenne soin d’elle. Un pilonnage bien vigoureux aurait risqué de la blesser.
Elle avait dû pressentir que sa relative fragilité aurait pu souffrir de vos assauts enthousiastes.
Quel enthousiasme, quelle fraîcheur, quelle authenticité ! Cindy vous irradie d’amour durant toute la séance, ses yeux pétillants de bonheur, son sourire ne quittant ses lèvres que pour laisser échapper des gémissements. Elle se donne tout entière à vous.
Des baisers à profusion, langoureux, gourmands, votre langue pénétrant au plus profond et jouant avec la sienne.
Et lorsque vos doigts s’infiltrent sous son string, découvrant peu à peu ses chairs intimes, elle s’empresse de retirer l’obstacle, puis guide votre majeur le long de sa fente. À peine un aller-retour, et le voilà mouillé.
Réalisant comme vous l’excitez, une délicieuse charge d’adrénaline vous picote. Mazette ! C’est bon, ça !
Pas la place de recueillir tout ce qui m’a enchanté durant cette séance, jusqu’au massage de fin, revigorant puis coquin.
Cette splendide femme et son dévouement à notre égard orchestrent ces enchaînements de plaisir.
Splendide, oui. La peau douce et ferme, le corps tonique aux gracieuses courbes féminines (voir photos), et des seins … Magnifiques ! Peut-être les plus beaux qu’il m’ait été donné de caresser. Un galbe, un lest et une tenue parfaits, des tétons provocateurs à souhait, un régal à sucer.
Et son intimité… Miam !
Bref, Cindy m’a conquis. Je reviendrai. Par ailleurs, j’ai un compte à régler avec l’agrafe du soutien-gorge.
@Nice_Man, rassurez-vous, Xixie n'est pas une supercherie. Vous pouvez sereinement déposer votre cape de justicier.
Ces photos sont des accroches, certes, qui ne la représentent pas (ou peut-être les premières), comme bien souvent.
En revanche, l'engagement est réel, elle se démène pour vous conduire au plaisir, et elle est toute mignonne.
Elle ne mérite clairement pas votre jugement expéditif. J'ai lu vos commentaires. Une litanie plutôt malveillante. Vous n'aimez pas les femmes ?
@elSolo, c’est exactement ça !
Puisque l’aura que dégage Amy sur ses photos vous enthousiasme, regardez celles sur son profil « Mimi » (cf. mon appréciation du 8 novembre dernier pour y accéder).
Qu’est-ce qu’elle est gracieuse et attirante, non ?
Qiulu est bien cette femme pleine d'entrain que l'on imagine après avoir vu sa video et ses photos.
Nombreux baisers, des seins moelleux à pétrir, des préliminaires buccaux qui se prolongèrent, puis un missionnaire délicieux, trop délicieux. C'était comme si une cartouche s'était engagée dans la chambre et ne demandait qu'à s'éjecter du canon, donc bascule en amazone, où Qiulu varia ses manières de me chevaucher.
Pour conclure l'heure, un massage où sa copine nous rejoignit. Mon membre palpitait à chaque pétrissage des fesses. Il voulait renaître. Après avoir pressé sur la détente, je n'avais pas été rassasié, voguant dans cet état où les filles nous mettent à l'arrivée des beaux jours, lorsqu'elles troquent leurs vêtements chauds pour des tenues courtes et légères, ravies de se savoir si jolies. Vous voyez ?
Qiulu me proposa d'étendre la séance avec sa copine. Vendu ! Fine, avec des seins ronds comme des pommes, aux mamelons bien foncés. Miam ! Des câlins, des baisers, des préliminaires, et un missionnaire très tendre, très serré en elle qui me demandait de me mouvoir doucement. Trop gros ? Mieux profiter (elle gémissait mieux ainsi) ? Je ne sais pas.
Après l'orgasme, elle contracta son vagin pour me garder longtemps prisonnier de ses cuisses, dur et toujours actif.
L'idée d'un troisième tour m'effleura.
Oui @Valerian1, vous avez raison !
J’avais tellement apprécié cette séance avec Mimi/Amy (cf. mon appréciation du 29 octobre), que j’avais fréquenté une autre escorte dans l’après-midi, croyant parvenir à étouffer le feu qui me brûlait encore. Cette escapade ne fit qu'atténuer ce manque mâtiné de désir : nos moments intimes persistèrent encore longtemps dans ma chair et dans mon esprit.
Regardez ce portrait d'elle les yeux baissés, ses cheveux comme peints en volutes d'aquarelle, l'air pudique, puis laissez-vous emporter par le torrent d'érotisme surgissant de sous cette lingerie retroussée sur ses seins. Mélange détonnant, non ?
Cette femme dégage aussi une grande douceur, dans sa voix et dans ses actes. Sensuelle et distinguée, torride et apaisante, gracieuse et excitante, sa féminité se sublime dans ces contrastes qui la rendent si désirable, si envoûtante.
D'ailleurs, ça me plaisait tellement, que je glissais parfois la main sur les contours de son visage et dans sa chevelure, juste pour la contempler. Elle laissait alors échapper un petit rire presque gêné, charmante coquetterie la rendant encore plus craquante.
Wahoo ! A l’évocation de ces moments savoureux, et d’autres aussi tendres ou plus coquins, mon sang pulse à m'étourdir un peu. Encore cette ivresse délicieuse que j’avais ressentie la dernière fois.
Lindan habite à la même adresse. Je comptais la découvrir aujourd’hui, après une expérience matinale (Amy) tellement intense que le désir me brûlait encore. Xixie en avait décidé autrement. J’étais sa chasse gardée ! Après un instant de flottement où je pensai : « c’est fou ce que Lindan ressemble à Xixie ! », j’obtempérai. Après tout, ce que Femme veut, Dieu le veut !
Et comme la semaine précédente, je passai un moment merveilleux en sa compagnie, à la dévorer de baisers comme un amoureux, à l’enlacer, à caresser son corps avec envie, à contempler sa jolie frimousse encadrée de ses longs cheveux lisses, à glisser mes doigts dans son entrejambe et les sentir mouillés après seulement quelques attouchements…
Cette beauté menue et bien gaulée est très excitante. J’ai eu envie de l’entendre gémir et de la sentir se tortiller sous les assauts de ma langue. Ce qu’elle fit, jusqu’à s’abandonner au plaisir, tendue comme un arc. Quel beau cadeau , quelle générosité !
Plus tard, cette amante appliquée démontra une bonne résistance, me chevauchant longuement en amazone. Quel délice de sentir ce petit corps tonique s’efforcer de me procurer le plus de sensations possibles ! Avec succès.
Quand à Lindan, le chant lointain et étouffé de ressorts tressautant joyeusement me fit comprendre à la toute fin qu’elle avait trouvé un camarade de jeu.
Deux portraits (tout récents) d’Amy m’avaient particulièrement touché. Celui où ses cheveux s’abandonnent en cascade sur ses épaules, et cet autre à la suite, elle à demi allongée, un pendentif autour du cou. Sur chaque, Amy dégage un charme sensuel, une invitation aux débordements charnels, une pudeur polissonne dans son sourire et dans l’éclat de ses yeux.
À la voir en vrai, quel plaisir de découvrir que les photos sont de piètre qualité comparées au modèle ! C’est vrai de ses portraits comme de ces photos qui nous dévoilent trop de ses atouts féminins.
Apaisante, presque réservée, cette belle femme se montre entreprenante dans les jeux d’amour. Sa poitrine opulente, mais vraiment bien formée, participe aux câlins de la meilleure des manières, que se soit en se frottant sur votre torse, sur votre visage, ou en venant stimuler et durcir votre désir. C’est doux, tendre, moelleux, mais aussi torride, enivrant, excitant. On a envie de la serrer fort contre soi et de fondre en elle.
Elle sait aussi se servir de sa bouche, avec un talent pour vous garder bien raide et vous procurer du plaisir. Et une fois qu’on l’a pénétrée, comme l’on s’y sent bien !
Après l’avoir quittée, je réalisais que de petites bulles de champagne semblaient pétiller dans mon abdomen et me monter à la tête en accélérant le cœur.
Exquise sensation d’ivresse !
Xixie m’offrit une cure rafraîchissante de douceur, de câlins et de tendresse.
Son corps menu, gracieux, ferme et tonique, à la taille joliment dessinée et aux jambes bien ciselées, à la peau soyeuse colorée par le soleil, c’était une folle invitation aux caresses. Je soupire encore de nos étreintes.
Ses tétons bien sombres, pointant insolemment sur ses petits seins adorables à empoigner, m’ont régalé tout du long. Quel délice que de les sucer !
Régulièrement, je m’arrêtais entre deux baisers profonds, langoureux, excitants, et saisissais délicatement son visage entre les mains pour la contempler. Un plaisir pour les yeux ! Le regard tendre qu’elle me portait alors éveillait dans mes tripes des petites flammèches joyeuses proches d’une émotion amoureuse. Mazette ! Comme c’était agréable de replonger ainsi dans l’adolescence !
Après l’amour, nous restâmes longtemps fusionnés. Et lorsque nos corps se déboîtèrent, hygiène oblige, ce fut pour nous rapprocher à nouveau, peau contre peau, et discuter (en français !), enlacés, apaisés, complices.
Plus tard dans la rue, j’accrochais le regard de dames qui me dévisageaient brièvement, de cette manière qui vous envisage. Plus que mon quota hebdomadaire. Mince alors ! Soit j’avais de la sauce tomate sur le menton, soit la magie de Xixie avait renforcé mon aura.
Les bonnes appréciations de mes camarades @BH92 et @ElRaoul ne pouvaient que me convaincre. Merci à eux ! Douce, attentive, affamée de baisers et de câlins, la vivacité et la prise d’initiatives d’Emily donnèrent du rythme tout du long.
Douche à deux, où la belle apporta une attention particulière à la propreté de zones avides de caresses, qui montrèrent leur reconnaissance avec la plus turgescente des rigidités.
Une fois sur le lit, je découvris les délices d’un 69 inversé, mon amante suçant avec avidité mon entrejambe par en dessous, un doigt explorateur stimulant les contours sensibles de mon sphincter.
Plus tard, tandis que ma langue butinait son bouton floral, ses doigts nerveux me chassèrent un peu plus bas, et imprimèrent une cadence qui accéléra jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un râle libératoire. S’ensuivit cette langueur amoureuse qui rend les femmes si tendres et si désirables après l’orgasme.
Sa générosité ne s’arrêta pas là. Nous faisions l’amour, et le plaisir finit par m’emporter, mais sans y entraîner Emily. Elle profita de ce que mon érection persistait pour s’y frotter encore et encore, jusqu’à jouir une seconde fois. Radieuse, elle me montra les sécrétions qu’elle avait libérées, recueillies sur la pulpe de ses doigts.
Se donner à vous avec une telle dévotion, voilà des sensations et des images précieuses à conserver !
Toujours aussi agréable et efficace, la prise en charge par CARO. Vous l'avertissez de votre présence en bas de l'immeuble, et vous voilà en possession des directives avant même que, soucieux de ne pas éveiller les soupçons du voisinage, vous n'invoquiez vos talents de phasme.
Cela m'avait pris la veille. J'avais eu très envie d'elle, d'effleurer sa peau si douce, de parcourir ses courbes méchamment féminines, d'empoigner ses fesses bien rondes, de pétrir ses seins savoureux, et de l'embrasser, beaucoup, beaucoup. Quand l'impulsion est saine, pourquoi générer de la frustration ? Autant satisfaire cet appétit charnel.
Ainsi fut fait. CARO m'a offert de très longues gâteries. Sa langue virevoltait sur l'extrémité de mon membre, dardant, roulant, pressant. Des sensations exquises et variées irradiaient par vague, me portant à un souffle de la perte de contrôle. Tandis que sa bouche me prodiguait ces soins, je profitais du miroir très coquin courant le long du lit. Très excitante, la vue !
Plus tard, nous inversâmes. J'adore son sexe. Il est magnifique. Suçoter ses lévres épaisses et charnues, qu'on sent bien gonflées, quel régal ! J'espère que les gémissements que je lui ai arrachés étaient authentiques.
Reformulation de tout ça dans un registre fruste, adapté aux attentes de @Unmeckipasse :
« CARO, elle est sacrément bonne ! »