@mazing, oui Melinda fait son mètre soixante pas plus et sa corpulence est bien celle des photos. Peut-être un ou deux kilos en plus, qui ajoutent encore au sensasions ébouriffantes qu'elle a l'art de produire et que jamais on ne peut plus oublier.

Beauté princière avec juste les années en plus qu’il faut pour en faire une reine. Ces fesses légèrement saillantes sont bien à elle, et cette poitrine somptueuse, d’où s’échappent deux beaux tétons grands sortis ! On les tète comme un biberon. Un corps incroyable. Comme jamais. Parfait pour l’amour.
Mon corps se coule dans le sien dans une volupté farouche, comme si nous étions liquides. Avec Melinda c’est d’emblée du cinq étoiles étincelantes.

Après avoir jouis en elle, uriner continuait de me procurer un franc plaisir d’exultation, à croire que notre orgasme était resté tatoué en moi pour se perpétuer sans cesse. 
 

Anaïk est cette personne que je recherchais depuis toujours, qui est en avance sur toutes les autres femmes, en un mot qui est parfaite. C'est avec beaucoup de naturel que le contact s'établit, pour aller très simplement à l'exultation souveraine en ayant pris des chemins qui sentent bon l'amour des premiers jours du printemps.
Albert Einstein disait ironiquement qu'il avait eu la preuve de l'existence de dieu en écoutant Yehudi Menuhin jouer du violon, hé bien moi, c'est en faisant l'amour avec Anaïk.
Anaïk, c'est la puissance d'un sous marin atomique portée par la caresse d'une brise d'été.

Isabella c'est un enchantement. Il commence dès la première seconde, avec sa voix au téléphone. Un chant de bergeronnette qui arrache carrément à la gravitation terrestre et quand la porte s'ouvre c'est bien ce canon façon Aslan qui apparaît, plus baby doll encore que sur ses photos. Le fluide s'installe immédiatement, se dégage de ses épaules, de ses fesses aux coussins délicieusement cambrées, de son artillerie lourde qui te pointe. Elle a plein d'ornementations sensuelles irrésistibles qui n'appartiennent qu'à elle et bientôt, funambules nous traversons des galaxies sur une corde d'argent. Et puis les roulements lointains du tonnerre se rapprochent, nous explosent en milliers de nuages qui flottent longtemps, nous condensent en gouttes jumelles, complices et bavardes comme des gosses. Du grand art et bien plus. Nietzsche n'imaginait-il pas un art supérieur à l'art des œuvres d'art, celui de l'invention des fêtes.
Ton artiste aux boucles d'angelot.

Bien que je ne m’incline devant la toute puissance de phrases toute faites, les citations sur la page d’Alessia avaient tout pour me plaire mais ce n’est qu’après lui avoir écrit une très sincère lettre d’admiration que ses petits doigts se mirent à répondre des messages à mes messages et qu’une rencontre a pu se profiler. Arrivé là, j’aurai quelque impudeur à tout dire de ce que nous avons échangé car dès lors, nous étions entrés dans un uni-vers qui n’est plus le celui du domaine public mais le terrain d’une relation parfaitement privée. Néanmoins je peux affirmer que ses beaux seins lourds emplissent vraiment très bien la main et que l’enlacer est un véritable don des dieux. Alessia dit d’elle qu’elle est un ange tombé du ciel. Bien sûr, on ne peut pas demander aux escortes d’êtres toutes des poètes. Être les ambassadrices du paradis est déjà une très noble fonction.

Je crains que des connaisseurs la garde pour eux !

Vivi est douce, affectueuse et très actif, donc un très bon plan.

La porte s’ouvrit doucement et découvrit la beauté surprenante de cette jeune nymphe en deux pièces assorties aux couleurs de sa peau et aussi de ses cheveux.
J’étais ému, autant qu'elle.
Une beauté presque irréelle. Un visage somptueux. Taille moyenne, élancée avec de longues jambes très fines et d'adorables petits pieds sur des talons projetant sa chute de reins vertigineuse sur ses hanches de mousseline.
Le bout de mes doigts caressait une sorte d’émanation où j'ai sombré sans retenue possible. Je me suis dégagé à temps pour revenir dans sa magie et c’est une nouvelle tension du vide, en équilibre sur un fil, qui bande le ressort de son jouet.
Mon humble anatomie est jetée aux vents sous sa voilure.
Notre esquif s’envole au loin, léger comme la plume.
La voile se déchire à deux reprises rapprochées.
Nous tirons les derniers bords avant d'essuyer la bourrasque qui va nous balancer là où nous savons que nous n’avons plus besoin de savoir.

Luiza existe, je l'ai rencontrée. Elle est aussi vraie que ses photos et cette vérité se manifeste également dans la franchise de l'étreinte, la progression dans la découverte des corps, presque innocente, comme si c'était la première fois, pour elle comme pour moi. Quand on a quelques kilomètres au compteur c'est une sensation étonnante. C'est aussi une fille très sûre, douce, affectueuse, sensuelle, généreuse, avec en plus cette surprise de la remise à zéro de quelque chose chez soi, qu'on ne connaissait même pas.

Tu es bien aimable de répondre à ces lâches sans éducation ni intelligence, avec cet esprit ciselé. Tes lignes parfaites donnent un exemple d'émancipation qui signe la qualité de ton esprit et qui est l'honneur du service du sexe.

Un corps de caoutchouc, sa souplesse et le répondant, avec un creuset de latex qui mène dans tous les sens, jusqu’au creux du cœur.
Une magnifique poupée, mince, féline, ferme, réactive, infatigable.
Aux touchers toujours extraordinairement justes.
Tout naturellement.
Un pur talent.
Une artiste pleine de raffinements.

Grosse arnaque !