Ambre, je t'adresse ces quelques mots que m'évoque notre entrevue d'hier pendant laquelle tu m'as troublé du désir de connaitre ses lignes racées qui caractérisent ta superbe plastique....
"Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
Polis comme de l’huile, onduleux comme un cygne,
Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ;
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,
S’avançaient, plus câlins que les Anges du mal,
Pour troubler le repos où mon âme était mise,
Et pour la déranger du rocher de cristal
Où, calme et solitaire, elle s’était assise."
C'est du Baudelaire...
À Très bientôt,