Cette fois ci, Angelina m’est apparue dans une robe chinoise, très ajustée, chatoyante: moulée sur elle et pour elle.
Puis la plus belle et la plus douce des mandarines, profitant de ma douche, s’est changée.
Jupette noire, toute de frou-frou et brassière de dentelle, de même couleur, du plus bel effet, avec un ruban de satin qui courait le long de la liane tatouée sur son dos.
Pour se perdre entre ses jambe.
Ou plus coquin, quand elle se penchait, en avant, entre ses jolies fesses, dissimulant sa féminité.
Avec un érotisme troublant. A peine voulu.
Tenue particulièrement étudiée, pour rimer avec des jouets, softs, que je lui avais offerts, à ma précédente visite.
Pour jouer à un remake de 50 nuances de Grey.
Nous jouâmes.
Elle sourît.
Et, comme d’habitude, elle a été la meilleure joueuse.
La ronde de ses baisers n’a été interrompue que par son examen approfondi de ma vigoureuse, tendue à craquer dès sa première apposition de paumes.
Quand ses lèvres les ont remplacé.
Je craquais: jouissance et satisfaction.
Pas même eu une pensée pour sa spécialité Ice & Fire.