Cette jeune femme souriante et toute fine s’apparente à un petit lutin espiègle échappé d’une forêt enchantée. Elle m’a d’ailleurs reçu dans une tenue blanche et peu pudique, évoquant une vestale au service des dieux antiques, et plus précisément du dieu Pan, ce coquin à l’esprit suffisamment ouvert pour réfuter la virginité comme symbole de pureté.
Sisi (You) est fine, certes, mais pas squelettique : Dame Nature l’a pourvue de seins délicieux à câliner, qui se logent à la perfection dans le creux de mes grandes paluches, ainsi que de petites fesses fort agréables à empoigner. Pour rester sur ses attraits, je raffole de ses tétons, toujours dressés, épais, appelant à la succion et aux taquineries de doigts ne sachant plus où donner de la tête.
Elle-même vous embrasse, vous mordille les lèvres ou le cou dans de brefs accès de sauvagerie contenue (cette petite fleur a des épines), vous griffe (légèrement, que les épidermes délicats se rassurent), vous pince et suçote le torse, ronge l’extrémité de votre flûte … Et autres polissonneries révélant un petit côté indomptable.
La séance se termine par un massage appuyé. La fragilité de Sisi n’est qu’apparente. Elle dissimule énergie et vigueur. Pour ceux qui préfèrent plus doux, rassurez-vous, elle s’enquiert de savoir si ce n’est pas trop fort.