Depuis deux mois que tu n'étais pas venue
Je n'avais de cesse de penser à ton c
-orps.
Ses courbes splendides, telles des volutes
Font de toi, c'est sûr, la plus belle des p
-ersonnes.
Et ton joli fessier qui bouge et qui ondule
À sa vue, c'est simple, il faut que je l'e
-mbrasse.
J'avais très envie de te rendre visite
Pour sentir tes lèvres au contact de ma b
-ouche.
À tes côtés, passent si vite les minutes
Et ton péché mignon est d'adorer les tu
-lipes.
Tu aimes les fleurs, tu es donc anthophile
Mon grand plaisir, c'est lorsque je t'en
offre.
Merveilleuse Justine, insatiable libertine
Lorsque je te quitte, bien grosse est ma p
-eine.
Je viendrai te voir encore, pour, j'ai hâte
Prendre du plaisir dans ta toute petite cha
-mbre.