Iaorana,
Cela était un plaisir de t'ouvrir les portes de mon empire... celle de mes yeux, celle de mes mains, de ma bouche et la porte du temps ouverte entre mes jambes.
Au seuil de ton paysage, j'ai aimé être cette fleur des nuits d’été aux lèvres de la foudre. Cette fleur qui rit et pleure tout en gardant cette fraîcheur de perle vivante, donnant son coeur tout en ouvrant ses jambes.
Comme la mer, je berce les étoiles et me réclame d'être la faim, le pain, la soif l’ivresse haute et le dernier mariage entre rêve et vertu.
A bientôt et nana comme on dit chez toi 😊🤗