Feier descendit m’accueillir. Dans les escaliers, cette petite gazelle sautillante me devançait d’un pas vif. Son pantalon bien coupé accentuait ses hanches et sa taille fine. J’aurais bien prolongé cette contemplation un étage de plus.
Lorsqu’elle se dévêtit, je changeai d’avis sur-le-champ. La belle dévoila des dessous torrides présentant bien des opportunités d’explorations infiltrantes.
À ce stade, mon vit vire d’ordinaire au dur et ne mollit pas avant l’extase. Aujourd’hui, la batterie Duracell prenait mal la charge. Je découvrais mes organes sensibles au froid mordant, le moteur toussotant au démarrage et peinant par la suite.
Seules les délicieuses aspirations mouillées de mon amante, combinées aux taquineries de sa langue, parvenaient à maintenir raide ma dignité.
Et pourtant, ses baisers profonds et veloutés, me transportaient ; sa langue coquine me léchait partout tandis que ses seins pointus me caressaient ; son intimité mouillait à ravir ; mes mains glissaient sur sa peau lisse, satinée, et se délectaient de ses courbes excitantes ; un miroir polisson témoignait de nos ébats… Tout était là pour vivre un moment formidable.
Pour clore, Feier me détendit avec un massage de qualité appuyé là où ça soulage. En dernier réconfort, elle propose des bonbons avant de la quitter. Le sucré atténue la perte des douceurs qu'elle nous prodigue.