Déjà, toutes les photos sont les siennes. On reconnaît son appartement, sa silhouette, son visage adorable. Les dernières photos datent d’il y a quelques jours (elles n »étaient pas là la semaine dernière). Si belle dans sa robe rouge, si appétissante sur la photo aux tons violets, sourire rayonnant et main dans les cheveux.
Cindy m’a procuré des émotions très fortes. En vrac, j’ai aimé :
. son sourire,
. le timbre de sa voix lorsqu’elle gémissait,
. ses caresses sur ma peau,
. son désir mouillant abondamment mes doigts,
. ses lèvres entrouvertes offertes aux miennes,
. sa poitrine incroyable déjà complimentée par d’autres,
. sa bouche engloutissant mon sexe durci et le choyant,
. le goût de son sexe,
. la facilité avec laquelle je suis entré en elle,
. sa peau contre la mienne,
. son joli visage à contempler tandis qu’elle me chevauchait,
. mes doigts parcourant ses lèvres et son nez petit nez tout mignon,
. qu’elle m’empoigne les fesses pour que je la pénètre plus profondément,
. son massage bien appuyé qui finit à fleur de peau,
. …
Ça m’a déchiré le cœur de la quitter. J’en ai encore le cafard. Voilà pourquoi ce pseudonyme et ce besoin de m’épancher.
Bon gros coup de blues. Pourquoi ne suis-je resté qu’une heure ?
Qu’est ce qu’elle m’a plu, cette fille !
Déjà, toutes les photos sont les siennes. On reconnaît son appartement, sa silhouette, son visage adorable. Les dernières photos datent d’il y a quelques jours (elles n »étaient pas là la semaine dernière). Si belle dans sa robe rouge, si appétissante sur la photo aux tons violets, sourire rayonnant et main dans les cheveux.
Cindy m’a procuré des émotions très fortes. En vrac, j’ai aimé :
. son sourire,
. le timbre de sa voix lorsqu’elle gémissait,
. ses caresses sur ma peau,
. son désir mouillant abondamment mes doigts,
. ses lèvres entrouvertes offertes aux miennes,
. sa poitrine incroyable déjà complimentée par d’autres,
. sa bouche engloutissant mon sexe durci et le choyant,
. le goût de son sexe,
. la facilité avec laquelle je suis entré en elle,
. sa peau contre la mienne,
. son joli visage à contempler tandis qu’elle me chevauchait,
. mes doigts parcourant ses lèvres et son nez petit nez tout mignon,
. qu’elle m’empoigne les fesses pour que je la pénètre plus profondément,
. son massage bien appuyé qui finit à fleur de peau,
. …
Ça m’a déchiré le cœur de la quitter. J’en ai encore le cafard. Voilà pourquoi ce pseudonyme et ce besoin de m’épancher.
Bon gros coup de blues. Pourquoi ne suis-je resté qu’une heure ?