Sa peau de miel, une carnation brûlante, évoque un trésor enfoui sous le désert aride, scintillant dans la chaleur accablante.
Ses yeux, éclatants comme des émeraudes égrisées, sont le reflet d’une lutte brisée. Une rage farouche s’y lit, captivante et magnétique, tandis que des éclairs de fureur pure illuminent son regard espiègle. On pourrait y voir, irisé, l’orage grondant de ses tumultes intérieurs.
Fière, telle une panthère des neiges au regard de braise, elle s’avance avec une démarche altière, chaque pas mesuré révélant des griffes contenues.
Son défi écorché, comme une mélopée plaintive, me pousse à sonder mes propres abîmes. Elle est prête à bondir, à s’asseoir sur celui qui oserait la tancer, sa présence marquant l’espace d’une glyphe indélébile.
La prestation est un jeu subtil, mené par une geisha dansant sur le fil du rasoir, où la dangerosité résonne avec une harmonie nacrée.
Chère Aaliyah,
L'été étend son manteau doré sur le monde, et dans cette lumière douce et caressante, je pense à toi. Les journées sont longues et les nuits étoilées, emplies de promesses et de rêves. C'est dans cet esprit estival que je t'adresse ce haïku, un murmure poétique qui capture l'essence de cette saison et que je te dédie avec tout mon cœur :
"Dans un jardin parfumé, un basilic s'épanouit, Mandarine juteuse au soleil d'ambre rougit. Une tourmaline éclatante, gemme précieuse, Captive les regards, éclat mystérieux."
Sidérant de voir tant de haters, de nuisibles et de parasites écrire voire calomnier la belle Zoé.
Un peu de la même manière que les gens qui dépense plus de 5 min de leur vie afin de publier des injures sur Twitter ou dans la section commentaire de YouTube…
Fascinant de voir que cette même typologie de névropathes existent ici aussi.
Cela faisait des lustres que je n’avais pas fait un tour sur sa fiche.
Je plussois Antho92160 et Chrissss. Zoe est une perle dont il faut prendre le plus grand soin.
Envoutante : voilà le premier mot qui me vient en tête. Plus vénéneuse encore qu’un rêve érotique narré par le conte de Lautréamont. Elle est faite de la même écorce que toutes les filles à qui j’ai laissé un commentaire. Mais elle a ce quelque chose en plus qui ne laisse pas indifférent.
Autant son physique est typique, mais « consensuel » de mannequin Instagram, très belle ganache et un corps sublime. Mais son atmosphère a quelque chose d’atypique. Qui emprunte à la fois d’Umaa Thurman dans Kill Bill et du personnage de Bérénice Marlohe dans Skyfall. C’est un univers particulier tres "mob wife" et ça a été une première pour moi.
Et pour une première, avec une masseuse professionnelle... j’ai bien apprécié. C’est un métier qui ne s’improvise pas. Croyez-moi Jasmine sait jouer du trombone [avec ses mains] autant qu’avec vos grelots.
Prenez en grand soin, derrière sa beauté minérale et dure mon regard a percolé un 紙老虎. Avec elle, adoptez la 战狼外交 pour une danse avec les louves torride.
Ici messieurs je ne vais ni vous parler chinois ni tibétain. Myriam dégage une puissance alchimie bestiale.
Son séant offre une perspective que je croyais plus imprenable que la forteresse de Minas Tirith.
Un véritable chou a la crème, une pâtisserie exquise, une zlabia espiègle tout simplement. La légèreté d’une plume, l’expérience de la flute.
Elle conjugue savoir-faire avec savoir-vivre. Et en plus elle a de la gouaille. Une punchlineuse !
Messieurs, il faut le dire certains hommes perdent un temps considérable à chercher la femme de leur vie. Quitte à se perdre dans une fuite en avant pour un archétype.
À la fois muse, princesse, amante, amoureuse, confidente, Aphrodite, amie mais … aussi soubrette coquine, secrétaire lubrique, girl next door affamée…
LyLy compile toutes les fonctions et tous les adjectifs.
Elle n’est pas qu’une superbe paire de fesses à dévorer, elle est un cœur à cajoler. C’est bien simple elle m’a mis en pls.
Rencontrer Ines c’est toiser un parangon. Celui de la sophistication à l’orientale.
Très bien habillée. Un parfum capiteux. Une peau satinée. Un corps plein de promesses voraces de miel d’acacia.
« Ô nuits d'Arabie
Aux rêves infinis
Pays merveilleux
De fièvre et de feu », chante le génie, dans Aladin.
Seuls les diamants sont éternels, pour l’avoir revu après longue période, je peux vous dire que sa ganache n’a pas changé.
En outre, Madame est cortiquée, elle a du répondant. Prenez-en donc le plus grand soin.
Charpentée de corps et d’esprit. Un visage lumineux et espiègle. Un corps gourmand. Un savoir-faire qu’elle déploie sans ambage. Son regard concupiscent vous darde pendant l’acte. Pas du tout chrono. Et en plus de tout ce qui vient d’être énoncé, c’est une personne vraiment chouette et drôle.
Attention Messieurs, la voir ; c’est s’assurer de la revoir. Il y a des assuétudes plus agréables que d’autres.
Offrez-lui des fleurs.
Amanda perche ti amo ? Probablement parce que ton horizon est plus vallonné encore que la côte amalfitaine.
Je vais la décrire en portrait chinois. Une boisson : un verre de pinot noir. Un parfum : Jasmin Marzipan de Guerlain - deux zestes derrière l’oreille. Un plat : le soufflé au grand Marnier - au Petit Marguery. Une destination d’été : un couché de soleil à Bohol - Philippines. Une destination d’hiver : une datcha dont la chaleur diffuse au milieu de la taïga Carélienne. Une étoile : Altaïr – dans la constellation de l’aigle. Une œuvre d’art : La Maja Desnuda - de Francisco (de) Goya.
Si vous venez pour la plus belle italienne depuis Sophia Loren, allez-y. Si vous voulez gouter à un zeste de sa bonté infinie, allez-y.
Traitez-la comme une reine. Et elle vous le rendra bien.
Une troisieme rencontre dont j'atteste d'un commentaire que maintenant. Je ne suis pas d'accord avec @Mains_dOr, au contraire son corps obeit aux proportions du nombre d'or. Tout est bien present la ou il faut. Un corps (quelle c... mais quel c...) et un visage qu'on pourrait imaginer dessinés par Rodolphe-Théophile Bosshard. Donc pour le coup, je ne suis pas du tout d'accord. Mais chacun se fera sa propre idee.
Si la fesse était un art alors elle serait la Joconde. Uniquement pour les esthètes de la femme, ce qui ne l’aime que pour en gouter son élixir.
Elle me rappelle ce vers en prose célèbre du très confidentiel poète portugais F.P. : Descobri que a leitura é uma forma servil de sonhar. Se tenho de sonhar, porque não sonhar os meus próprios sonhos?
Du feu dans les yeux et un corps ferme aux endroits tactiques et molletonné aux endroits stratégiques. Les photos sont vraies mais rien ne vaut de la croiser en chair et … en chair. Cette princesse est tressée dans la même matière que des songes coupables et concupiscents.
Ce soir, j’ai noyé corps dans celle de ma femme douce comme une brise d’automne qui vous coure dans le cou. Sensuelle comme le siroco des nuits d’été. Yara finit par atteindre mon cœur par le nœud de la chair. Une valse d’érotisme qui se termine dans le linceul des draps.
Une bouille de mignonne. Assez mature pour connaitre toutes les ficelles du lingam. On rêve éveillé que cette danse ne s’arrête jamais.
Une vraie masseuse, professionnelle qui connait son domaine et place ses mains, comme un grand maitre d’échec place ses pions avec volupté sur les damiers.
>>>>> Yara : une valeur sure qui a de belles valeurs.
(suite)
La prestation. Je suis pudique, mais juste l’idée de parcourir sa peau drapée de la couleur de la nuit. Son fessier généreux aux promesses généreuses. La définition du mot « Galbé ». Presque sculpté par un esthète de la Renaissance.
Il est écrit “Regarde avec tes oreilles.” - dans le Roi Lear de Shakespeare. Et bien Noura vous propose une jouissance en toute cérébralité. Je ne dirais pas plus ; si ce n’est qu’elle est bonne actrice.
Je me suis fait longtemps une idée de la plus vieille institution du monde. Noura l’a réinventé. Mieux elle a réinventé le féminin : par le rêve, le symbole et un réel bien physique.
« Une boule de vice avec un boule délicieux a Boulbi », j’allais commencer mon commentaire comme ceci et puis j’ai appuyé delete sur mon brouillon. Elle ne mérite pas un commentaire trivial.
Alors je reprends. Avec Noura, on est avec amie qui vous cajole, vous chouchoute, vous embrassasse, vous câline. Ce sont bien ses photos. Une langue de velours, un fessier veloute, une peau plus plus douce que du vélin. C’est dire ! Car Noura est un félin, une tigresse… Non ça y est j’ai la terminologie appropriée : un fauve aux yeux de louve qui nous accueille dans son lupanar.
Le lieu. Un quasi soft de très bon standing situe dans un quartier cosy de la ville tout aussi cosy de Boulogne Billancourt. Je ne vais pas faire mon Stéphane Plazza. 1) parce que le loustic a l’air bien cuit dans son histoire scabreuse 2) parce que peu de badauds (du latin : punter) se promène sur 7model a des fins de prospections immobilières. Mais rien que pour l’appart cela vaut le déplacement.
J’ai repris un déjeuner avec elle. Comme souvent, c’est une marotte mais le second rendez vous se tient autour d’une assiette.
Belle de jour et belle de nuit. Elle a une peau mate comme zébrée par la puissance érotique de la nuit. Et un sourire dont l’éclat rappelle les pétillantes journées de printemps.
Moment sportif, sulfureux ; disons-le franchement : torride. Nina est bien la personne sur les photos donc tous les compliments étant déjà fait ou actés par la présence des cliches qui parlent d’eux, je passe à ce qui n’a pas été dit. De très très beaux yeux. Vraiment un regard vert de gris a part sur une peau olivâtre. Fait très « amusant » pour les cinéphiles et amateurs de la Beauté, Nina est à mi-chemin entre Noemie Lenoir, Noémie Lvovsky et Nomie Kocher. Elle empreinte le meilleur des trois noemies. Coicindence ? Je ne pense point.
Linda est un rayon de soleil. Probablement le dernier de l’année avant que l’automne pluvieux et gris ne s’abatte sur Paris.
Et même s’il faisait nuit noire, elle resterait la dernière lumière de la Ville Lumière. Elle est très pro sans pour autant être mécanique ou froide pour un sou.
Comparativement a d’autres divas, le rapport qualité prix est excellent. Excellent je pese mes mots. Car on loue un moment « cocooning » avec une très belle âme, qui a le bon gout d’être un très beau visage.
Deja vu, cela remonte. Un bonbon, c'est le premier mot qui me vient en tete. Son visage est tres tres beau, elle acuse un profil a la Théodore Chassériau. Cute au possible. Je suis surpris qu'il n'y est pas de commentaire. Elle a une bouille extremement mimi. Joli silhouette chaloupee, assez "mamacitesque". Elle a un coeur pur, on se confier a elle. Pas chrono pour un sous. Il s'agit donc de lui temoigner autant de respect qu'elle nous en temoigne.
Vu et revu. Cette fois pour un diner. Pas de partie d’accrobranche et autres mouvements souples. Comme une veille amie, un ancien crush avec qui on garde le contact. Juste le plaisir de converser, d’échanger et de la savoir près de nous. Elle sait rendre chaque moment unique.
Pas une potiche en mode cactus, elle a sublimé une soirée pour cette rentrée torride. Et si Mirah peut / sait être torride comme ce mois de Septembre, je l’ai booké pour sa douceur. Son côté câlin. Le feu et la glace sont à son répertoire.
Sa peau de miel, une carnation brûlante, évoque un trésor enfoui sous le désert aride, scintillant dans la chaleur accablante.
Ses yeux, éclatants comme des émeraudes égrisées, sont le reflet d’une lutte brisée. Une rage farouche s’y lit, captivante et magnétique, tandis que des éclairs de fureur pure illuminent son regard espiègle. On pourrait y voir, irisé, l’orage grondant de ses tumultes intérieurs.
Fière, telle une panthère des neiges au regard de braise, elle s’avance avec une démarche altière, chaque pas mesuré révélant des griffes contenues.
Son défi écorché, comme une mélopée plaintive, me pousse à sonder mes propres abîmes. Elle est prête à bondir, à s’asseoir sur celui qui oserait la tancer, sa présence marquant l’espace d’une glyphe indélébile.
La prestation est un jeu subtil, mené par une geisha dansant sur le fil du rasoir, où la dangerosité résonne avec une harmonie nacrée.
Ô courbes onctueuses,
Que je cajole en mon songe.
Ta mélodie douce heureuse
Me fait durcir sans mensonge.
Quelque soit le prix du Paris-Brest,
Ton popotin m’a surpris.
Ainsi que tes bzezs
Ronds et gros comme 🪐.
Ma 🍆 au zénith rentre alors dans ta lune 🌒
Chère Aaliyah,
L'été étend son manteau doré sur le monde, et dans cette lumière douce et caressante, je pense à toi. Les journées sont longues et les nuits étoilées, emplies de promesses et de rêves. C'est dans cet esprit estival que je t'adresse ce haïku, un murmure poétique qui capture l'essence de cette saison et que je te dédie avec tout mon cœur :
"Dans un jardin parfumé, un basilic s'épanouit, Mandarine juteuse au soleil d'ambre rougit. Une tourmaline éclatante, gemme précieuse, Captive les regards, éclat mystérieux."
Sidérant de voir tant de haters, de nuisibles et de parasites écrire voire calomnier la belle Zoé.
Un peu de la même manière que les gens qui dépense plus de 5 min de leur vie afin de publier des injures sur Twitter ou dans la section commentaire de YouTube…
Fascinant de voir que cette même typologie de névropathes existent ici aussi.
Cela faisait des lustres que je n’avais pas fait un tour sur sa fiche.
Je plussois Antho92160 et Chrissss. Zoe est une perle dont il faut prendre le plus grand soin.
Envoutante : voilà le premier mot qui me vient en tête. Plus vénéneuse encore qu’un rêve érotique narré par le conte de Lautréamont. Elle est faite de la même écorce que toutes les filles à qui j’ai laissé un commentaire. Mais elle a ce quelque chose en plus qui ne laisse pas indifférent.
Autant son physique est typique, mais « consensuel » de mannequin Instagram, très belle ganache et un corps sublime. Mais son atmosphère a quelque chose d’atypique. Qui emprunte à la fois d’Umaa Thurman dans Kill Bill et du personnage de Bérénice Marlohe dans Skyfall. C’est un univers particulier tres "mob wife" et ça a été une première pour moi.
Et pour une première, avec une masseuse professionnelle... j’ai bien apprécié. C’est un métier qui ne s’improvise pas. Croyez-moi Jasmine sait jouer du trombone [avec ses mains] autant qu’avec vos grelots.
Prenez en grand soin, derrière sa beauté minérale et dure mon regard a percolé un 紙老虎. Avec elle, adoptez la 战狼外交 pour une danse avec les louves torride.
Ici messieurs je ne vais ni vous parler chinois ni tibétain. Myriam dégage une puissance alchimie bestiale.
Son séant offre une perspective que je croyais plus imprenable que la forteresse de Minas Tirith.
Un véritable chou a la crème, une pâtisserie exquise, une zlabia espiègle tout simplement. La légèreté d’une plume, l’expérience de la flute.
Elle conjugue savoir-faire avec savoir-vivre. Et en plus elle a de la gouaille. Une punchlineuse !
Messieurs, il faut le dire certains hommes perdent un temps considérable à chercher la femme de leur vie. Quitte à se perdre dans une fuite en avant pour un archétype.
À la fois muse, princesse, amante, amoureuse, confidente, Aphrodite, amie mais … aussi soubrette coquine, secrétaire lubrique, girl next door affamée…
LyLy compile toutes les fonctions et tous les adjectifs.
Elle n’est pas qu’une superbe paire de fesses à dévorer, elle est un cœur à cajoler. C’est bien simple elle m’a mis en pls.
Envoyé de mon iPhone
Rencontrer Ines c’est toiser un parangon. Celui de la sophistication à l’orientale.
Très bien habillée. Un parfum capiteux. Une peau satinée. Un corps plein de promesses voraces de miel d’acacia.
« Ô nuits d'Arabie
Aux rêves infinis
Pays merveilleux
De fièvre et de feu », chante le génie, dans Aladin.
Seuls les diamants sont éternels, pour l’avoir revu après longue période, je peux vous dire que sa ganache n’a pas changé.
En outre, Madame est cortiquée, elle a du répondant. Prenez-en donc le plus grand soin.
Charpentée de corps et d’esprit. Un visage lumineux et espiègle. Un corps gourmand. Un savoir-faire qu’elle déploie sans ambage. Son regard concupiscent vous darde pendant l’acte. Pas du tout chrono. Et en plus de tout ce qui vient d’être énoncé, c’est une personne vraiment chouette et drôle.
Attention Messieurs, la voir ; c’est s’assurer de la revoir. Il y a des assuétudes plus agréables que d’autres.
Offrez-lui des fleurs.
Amanda perche ti amo ? Probablement parce que ton horizon est plus vallonné encore que la côte amalfitaine.
Je vais la décrire en portrait chinois. Une boisson : un verre de pinot noir. Un parfum : Jasmin Marzipan de Guerlain - deux zestes derrière l’oreille. Un plat : le soufflé au grand Marnier - au Petit Marguery. Une destination d’été : un couché de soleil à Bohol - Philippines. Une destination d’hiver : une datcha dont la chaleur diffuse au milieu de la taïga Carélienne. Une étoile : Altaïr – dans la constellation de l’aigle. Une œuvre d’art : La Maja Desnuda - de Francisco (de) Goya.
Si vous venez pour la plus belle italienne depuis Sophia Loren, allez-y. Si vous voulez gouter à un zeste de sa bonté infinie, allez-y.
Traitez-la comme une reine. Et elle vous le rendra bien.
Une troisieme rencontre dont j'atteste d'un commentaire que maintenant. Je ne suis pas d'accord avec @Mains_dOr, au contraire son corps obeit aux proportions du nombre d'or. Tout est bien present la ou il faut. Un corps (quelle c... mais quel c...) et un visage qu'on pourrait imaginer dessinés par Rodolphe-Théophile Bosshard. Donc pour le coup, je ne suis pas du tout d'accord. Mais chacun se fera sa propre idee.
Si la fesse était un art alors elle serait la Joconde. Uniquement pour les esthètes de la femme, ce qui ne l’aime que pour en gouter son élixir.
Elle me rappelle ce vers en prose célèbre du très confidentiel poète portugais F.P. : Descobri que a leitura é uma forma servil de sonhar. Se tenho de sonhar, porque não sonhar os meus próprios sonhos?
Du feu dans les yeux et un corps ferme aux endroits tactiques et molletonné aux endroits stratégiques. Les photos sont vraies mais rien ne vaut de la croiser en chair et … en chair. Cette princesse est tressée dans la même matière que des songes coupables et concupiscents.
(Ton voisin)
Ce soir, j’ai noyé corps dans celle de ma femme douce comme une brise d’automne qui vous coure dans le cou. Sensuelle comme le siroco des nuits d’été. Yara finit par atteindre mon cœur par le nœud de la chair. Une valse d’érotisme qui se termine dans le linceul des draps.
Une bouille de mignonne. Assez mature pour connaitre toutes les ficelles du lingam. On rêve éveillé que cette danse ne s’arrête jamais.
Une vraie masseuse, professionnelle qui connait son domaine et place ses mains, comme un grand maitre d’échec place ses pions avec volupté sur les damiers.
>>>>> Yara : une valeur sure qui a de belles valeurs.
(suite)
La prestation. Je suis pudique, mais juste l’idée de parcourir sa peau drapée de la couleur de la nuit. Son fessier généreux aux promesses généreuses. La définition du mot « Galbé ». Presque sculpté par un esthète de la Renaissance.
Il est écrit “Regarde avec tes oreilles.” - dans le Roi Lear de Shakespeare. Et bien Noura vous propose une jouissance en toute cérébralité. Je ne dirais pas plus ; si ce n’est qu’elle est bonne actrice.
Je me suis fait longtemps une idée de la plus vieille institution du monde. Noura l’a réinventé. Mieux elle a réinventé le féminin : par le rêve, le symbole et un réel bien physique.
« Une boule de vice avec un boule délicieux a Boulbi », j’allais commencer mon commentaire comme ceci et puis j’ai appuyé delete sur mon brouillon. Elle ne mérite pas un commentaire trivial.
Alors je reprends. Avec Noura, on est avec amie qui vous cajole, vous chouchoute, vous embrassasse, vous câline. Ce sont bien ses photos. Une langue de velours, un fessier veloute, une peau plus plus douce que du vélin. C’est dire ! Car Noura est un félin, une tigresse… Non ça y est j’ai la terminologie appropriée : un fauve aux yeux de louve qui nous accueille dans son lupanar.
Le lieu. Un quasi soft de très bon standing situe dans un quartier cosy de la ville tout aussi cosy de Boulogne Billancourt. Je ne vais pas faire mon Stéphane Plazza. 1) parce que le loustic a l’air bien cuit dans son histoire scabreuse 2) parce que peu de badauds (du latin : punter) se promène sur 7model a des fins de prospections immobilières. Mais rien que pour l’appart cela vaut le déplacement.
J’ai repris un déjeuner avec elle. Comme souvent, c’est une marotte mais le second rendez vous se tient autour d’une assiette.
Belle de jour et belle de nuit. Elle a une peau mate comme zébrée par la puissance érotique de la nuit. Et un sourire dont l’éclat rappelle les pétillantes journées de printemps.
(assez surpris que je sois le seul a commenté )
Moment sportif, sulfureux ; disons-le franchement : torride. Nina est bien la personne sur les photos donc tous les compliments étant déjà fait ou actés par la présence des cliches qui parlent d’eux, je passe à ce qui n’a pas été dit. De très très beaux yeux. Vraiment un regard vert de gris a part sur une peau olivâtre. Fait très « amusant » pour les cinéphiles et amateurs de la Beauté, Nina est à mi-chemin entre Noemie Lenoir, Noémie Lvovsky et Nomie Kocher. Elle empreinte le meilleur des trois noemies. Coicindence ? Je ne pense point.
Linda est un rayon de soleil. Probablement le dernier de l’année avant que l’automne pluvieux et gris ne s’abatte sur Paris.
Et même s’il faisait nuit noire, elle resterait la dernière lumière de la Ville Lumière. Elle est très pro sans pour autant être mécanique ou froide pour un sou.
Comparativement a d’autres divas, le rapport qualité prix est excellent. Excellent je pese mes mots. Car on loue un moment « cocooning » avec une très belle âme, qui a le bon gout d’être un très beau visage.
Deja vu, cela remonte. Un bonbon, c'est le premier mot qui me vient en tete. Son visage est tres tres beau, elle acuse un profil a la Théodore Chassériau. Cute au possible. Je suis surpris qu'il n'y est pas de commentaire. Elle a une bouille extremement mimi. Joli silhouette chaloupee, assez "mamacitesque". Elle a un coeur pur, on se confier a elle. Pas chrono pour un sous. Il s'agit donc de lui temoigner autant de respect qu'elle nous en temoigne.
Vu et revu. Cette fois pour un diner. Pas de partie d’accrobranche et autres mouvements souples. Comme une veille amie, un ancien crush avec qui on garde le contact. Juste le plaisir de converser, d’échanger et de la savoir près de nous. Elle sait rendre chaque moment unique.
Pas une potiche en mode cactus, elle a sublimé une soirée pour cette rentrée torride. Et si Mirah peut / sait être torride comme ce mois de Septembre, je l’ai booké pour sa douceur. Son côté câlin. Le feu et la glace sont à son répertoire.