Renatinha, Italo-Brésilienne au tempérament de feu, est l'incarnation du charme et de la féminité absolue.
Chevelure dorée, regard envoûtant, sourire angélique et silhouette sculpturale, la belle Amazone m'a accueilli subtilement maquillée, vêtue d'un bustier de satin noir, d'un porte-jarretelles de même, et d'escarpins vernis à talons aiguilles.
Stupéfait devant pareille beauté, j'en perdis tout esprit d'initiative. Dieu merci, Renatinha a posé sur mes lèvres un baiser langoureux, et me susurrant des paroles mielleuses à l'oreille de sa voix ô combien douce, elle m'attira délicatement vers sa couche moelleuse.
Cette digne "Fille d'Aphrodite" - à l'humour débridé - caressante et vigoureuse au besoin, m'offrit ma plus folle nuit d'amour : c'est incontestablement une escorte de classe internationale.
J'ai connu moult filles qui promettaient "monts et merveilles", mais pas une capable de rivaliser avec cette déesse à l'éducation sans pareille, et d'une rare élégance vestimentaire.
Allez à Renatinha comme l'on va quérir sa fiancée ; avec tendresse et dévotion, propre et parfumé, débordant de générosité : elle vous le rendra au centuple.
Force est d'avouer que cette sirène exotique et moi partageons la pratique courante de la langue italienne ; et je crois bien qu'avec une réelle maîtrise du Français, elle deviendrait vite la reine de Paris - du moins, l'est-elle dans mon cœur.
Sculpturale déesse à la croupe rebondie et à la poitrine généreuse, Patricia m'a reçu harnachée d'un corset en vinyle noir et d'une paire de gants longs en cuir de même coloris.
Lèvres peintes, sourire enjôleur, longue crinière douce comme la soie, elle distille suaves baisers et savantes caresses ; et ne manque ni de répartie, ni d'humour.
Je me suis abandonné en toute confiance dans les bras de cette superbe hôtesse à la féminité bouleversante ; jouet consentant d'une Maîtresse confirmée dans l'art du plaisir charnel.
Avec une douceur indicible et une patience d'ange, elle m'a mené au septième ciel ; me mettant le feu aux entrailles.
J'ai rencontré maintes "Filles d'Aphrodite", mais peu qui soient aussi attachantes que Patricia ; et aucune qui ne m'ait procuré pareille extase sexuelle.
A peine l'ai-je quitté que je brûle d'impatience de la retrouver : je crois bien qu'elle m'a ensorcelé à jamais.
Que dire de Patricia, si ce n’est qu’elle confine à la perfection : son visage est celui d’une poupée, sa silhouette celle d’une déesse – poitrine généreuse, fessier rebondi et taille svelte ; et sa longue chevelure brune, sa peau dorée sont douces comme un pétale de rose.
Sa bouche gourmande – aux lèvres pulpeuses – embrasse avec volupté, ses mains volubiles – aux ongles peints – caressent suavement ; et son infatigable « couleuvre » s’immisce avec bonheur et délicatesse dans tous les interstices – éveillant aux tréfonds de l’âme des plaisirs insoupçonnés.
En outre, non contente de convier ses amants dans les allées embaumées du « Jardin d’Eden », cette « Fille d’Aphrodite » les régale de son humour et de sa curiosité intellectuelle inextinguibles.
Combien j’aimerais lui passer la bague au doigt ; las, la Belle ne goûte que perle rose et diamant bleu.
Il est des félicités indicibles qui chavirent le cœur ; on redoute de ne les mériter guère.
Et l’on préférerait ne les avoir jamais éprouvées, tant la perspective de leur fin prochaine tourmente l’âme.
S’abandonner dans les bras de la sublime Patricia – tête posée sur sa généreuse poitrine, baiser goulûment ses lèvres charnues – douces comme un pétale de rose, caresser sa soyeuse chevelure, son derme cuivré plus velouté qu’une peau de pêche ; voilà qui participe de ces instants rares et précieux, dont le souvenir indélébile s’ancre aux tréfonds de la mémoire.
Assoiffé de conquêtes, j’ai étreint moult « filles » durant maintes années ; nulle n’avait la troublante beauté, la verve jubilatoire, l’humour taquin, les douces manières et la patience infinie de Patricia.
Aussi, cessez donc ces pérégrinations inutiles, ces errances stériles, oubliez ces « Joconde » fanées dont le fard masque péniblement la médiocrité.
Si vous aspirez à la déesse humble et sculpturale, à la quête du « Saint Graal » ; alors, il n’est que Patricia pour vous faire goûter le bonheur intégral.
J’ai rencontré la stupéfiante Patricia le 14/02/2021 à Strasbourg ; ce fut un véritable moment d’anthologie. Cette « fille » est une perle à la beauté rare (tant intérieure qu’extérieure) : visage de poupée, corps de déesse, sourire envoûtant, cœur noble et pur. Elle m’a reçu parfaitement coiffée et maquillée, vêtue d’un bustier brodé noir et crème, d’un pantalon en cuir et d’escarpins stiletto. Son accueil est cordial et chaleureux. Patricia embrasse divinement, caresse avec bonheur et fait l’amour avec application. Elle est très attentive au plaisir et au bien-être de son partenaire ; prenant tout son temps pour l’amener progressivement vers les plus hautes cimes de la délectation charnelle. Ce furent les 90 minutes les plus intenses de ma vie amoureuse ; et je l’ai quitté la mort dans l’âme, avec l’odieux sentiment d’abandonner une fiancée, ô combien dévouée. Je compte, depuis, les secondes qui me séparent de notre prochaine rencontre ; car j’ai égaré mon cœur dans sa soyeuse chevelure.
À l’instar du révérend KING, j’ai fait un rêve ; non point de fraternité interethnique – quoique – mais d’un bonheur perpétuellement renouvelé, d’effusions charnelles recommencées, sitôt les cimes du plaisir atteintes.
Comment s’arracher – en effet – aux suaves caresses de Patricia, à ses baisers soyeux comme un pétale de rose, à ses gourmandes turgescences ?
Est-il supplice plus douloureux que de quitter cette chaleureuse hôtesse au visage de poupée, aux courbes vertigineuses, au sourire plus radieux qu’un bouillant soleil ?
Allons bon ! Il est plus aisé pour un chameau de passer par le chas d’une aiguille, que pour un amant avisé d’abandonner les bras hospitaliers de Patricia.
Vous en doutez ? Tant mieux ! Il me sera donc loisible – ainsi qu’aux esthètes authentiques – de m’enivrer, encore et toujours, des charmes indicibles de cette « Aphrodite » à l’humour décapant, et au cœur chevaleresque.
Si tous les chemins mènent à Rome, celui du bonheur conduit inéluctablement à Patricia.
Cette hôtesse au charme incandescent (visage angélique, opulente poitrine, taille de guêpe, longue crinière de soie) accueille le visiteur en tenue affriolante, perchée sur talons aiguilles ; affichant sourire enjôleur et féminité absolue.
S’abandonner dans les bras de la Belle, c’est pénétrer dans l’antichambre du Paradis ; Patricia – regard de braise, derme satiné – embrasse à la perfection et caresse avec délectation.
Puis au terme de vertigineux préludes, cette lascive Maîtresse – fourbissant et dardant son glaive – réveillera au tréfonds de votre âme un geyser intarissable.
Mais cela serait vain, si cette « Vénus » ne comptait mille autres qualités ; un art consommé de la conversation (son Français est fort correct), une patience infinie, un humour délicieux, un soupçon de folie douce…
Vous l’aurez compris : si Rome est « l’alpha et l’oméga » de la chrétienté, Patricia est la quintessence de l’hermaphrodisme.
La beauté est un fruit envoûtant, dont la suave liqueur enivre inexorablement
A quoi bon lutter ? Vous reviendrez vers Patricia, comme le fleuve retourne à la mer et la pluie aux cieux ; sa féminité absolue, son humour taquin, sa patience infinie enchaîneront votre cœur à sa folle raison.
Lassés de mille conquêtes insignifiantes, vous capitulerez avec bonheur ; blottis contre la peau satinée de cette sculpturale déesse.
Sa bouche de velours gourmande happera vos coussinets d’amour - buvant votre souffle tiède ; sa langue humide dessinera le contour de votre oreille ; ses lèvres charnues distilleront leurs baisers langoureux sur vos torse et nuque ; ses mains câlines glisseront sur votre épine dorsale comme l’archet sur le violon.
Puis au terme d’une cavalcade ébouriffante - allumant un volcan incandescent au creux des reins ; sa longue chevelure parfumée d’embruns - rejetée en arrière - caressera vos cuisses vacillantes.
Et lorsque vous vous abandonnerez à la douce étreinte de ses bras énamourés - pressés contre ses lourdes mamelles ; vous comprendrez, alors, qu’il n’est point d’autre Paradis.
Renatinha, Italo-Brésilienne au tempérament de feu, est l'incarnation du charme et de la féminité absolue.
Chevelure dorée, regard envoûtant, sourire angélique et silhouette sculpturale, la belle Amazone m'a accueilli subtilement maquillée, vêtue d'un bustier de satin noir, d'un porte-jarretelles de même, et d'escarpins vernis à talons aiguilles.
Stupéfait devant pareille beauté, j'en perdis tout esprit d'initiative. Dieu merci, Renatinha a posé sur mes lèvres un baiser langoureux, et me susurrant des paroles mielleuses à l'oreille de sa voix ô combien douce, elle m'attira délicatement vers sa couche moelleuse.
Cette digne "Fille d'Aphrodite" - à l'humour débridé - caressante et vigoureuse au besoin, m'offrit ma plus folle nuit d'amour : c'est incontestablement une escorte de classe internationale.
J'ai connu moult filles qui promettaient "monts et merveilles", mais pas une capable de rivaliser avec cette déesse à l'éducation sans pareille, et d'une rare élégance vestimentaire.
Allez à Renatinha comme l'on va quérir sa fiancée ; avec tendresse et dévotion, propre et parfumé, débordant de générosité : elle vous le rendra au centuple.
Force est d'avouer que cette sirène exotique et moi partageons la pratique courante de la langue italienne ; et je crois bien qu'avec une réelle maîtrise du Français, elle deviendrait vite la reine de Paris - du moins, l'est-elle dans mon cœur.
Sculpturale déesse à la croupe rebondie et à la poitrine généreuse, Patricia m'a reçu harnachée d'un corset en vinyle noir et d'une paire de gants longs en cuir de même coloris.
Lèvres peintes, sourire enjôleur, longue crinière douce comme la soie, elle distille suaves baisers et savantes caresses ; et ne manque ni de répartie, ni d'humour.
Je me suis abandonné en toute confiance dans les bras de cette superbe hôtesse à la féminité bouleversante ; jouet consentant d'une Maîtresse confirmée dans l'art du plaisir charnel.
Avec une douceur indicible et une patience d'ange, elle m'a mené au septième ciel ; me mettant le feu aux entrailles.
J'ai rencontré maintes "Filles d'Aphrodite", mais peu qui soient aussi attachantes que Patricia ; et aucune qui ne m'ait procuré pareille extase sexuelle.
A peine l'ai-je quitté que je brûle d'impatience de la retrouver : je crois bien qu'elle m'a ensorcelé à jamais.
Grand Dieu ! Quelle merveilleuse hôtesse !
Que dire de Patricia, si ce n’est qu’elle confine à la perfection : son visage est celui d’une poupée, sa silhouette celle d’une déesse – poitrine généreuse, fessier rebondi et taille svelte ; et sa longue chevelure brune, sa peau dorée sont douces comme un pétale de rose.
Sa bouche gourmande – aux lèvres pulpeuses – embrasse avec volupté, ses mains volubiles – aux ongles peints – caressent suavement ; et son infatigable « couleuvre » s’immisce avec bonheur et délicatesse dans tous les interstices – éveillant aux tréfonds de l’âme des plaisirs insoupçonnés.
En outre, non contente de convier ses amants dans les allées embaumées du « Jardin d’Eden », cette « Fille d’Aphrodite » les régale de son humour et de sa curiosité intellectuelle inextinguibles.
Combien j’aimerais lui passer la bague au doigt ; las, la Belle ne goûte que perle rose et diamant bleu.
Il est des félicités indicibles qui chavirent le cœur ; on redoute de ne les mériter guère.
Et l’on préférerait ne les avoir jamais éprouvées, tant la perspective de leur fin prochaine tourmente l’âme.
S’abandonner dans les bras de la sublime Patricia – tête posée sur sa généreuse poitrine, baiser goulûment ses lèvres charnues – douces comme un pétale de rose, caresser sa soyeuse chevelure, son derme cuivré plus velouté qu’une peau de pêche ; voilà qui participe de ces instants rares et précieux, dont le souvenir indélébile s’ancre aux tréfonds de la mémoire.
Assoiffé de conquêtes, j’ai étreint moult « filles » durant maintes années ; nulle n’avait la troublante beauté, la verve jubilatoire, l’humour taquin, les douces manières et la patience infinie de Patricia.
Aussi, cessez donc ces pérégrinations inutiles, ces errances stériles, oubliez ces « Joconde » fanées dont le fard masque péniblement la médiocrité.
Si vous aspirez à la déesse humble et sculpturale, à la quête du « Saint Graal » ; alors, il n’est que Patricia pour vous faire goûter le bonheur intégral.
J’ai rencontré la stupéfiante Patricia le 14/02/2021 à Strasbourg ; ce fut un véritable moment d’anthologie. Cette « fille » est une perle à la beauté rare (tant intérieure qu’extérieure) : visage de poupée, corps de déesse, sourire envoûtant, cœur noble et pur. Elle m’a reçu parfaitement coiffée et maquillée, vêtue d’un bustier brodé noir et crème, d’un pantalon en cuir et d’escarpins stiletto. Son accueil est cordial et chaleureux. Patricia embrasse divinement, caresse avec bonheur et fait l’amour avec application. Elle est très attentive au plaisir et au bien-être de son partenaire ; prenant tout son temps pour l’amener progressivement vers les plus hautes cimes de la délectation charnelle. Ce furent les 90 minutes les plus intenses de ma vie amoureuse ; et je l’ai quitté la mort dans l’âme, avec l’odieux sentiment d’abandonner une fiancée, ô combien dévouée. Je compte, depuis, les secondes qui me séparent de notre prochaine rencontre ; car j’ai égaré mon cœur dans sa soyeuse chevelure.
À l’instar du révérend KING, j’ai fait un rêve ; non point de fraternité interethnique – quoique – mais d’un bonheur perpétuellement renouvelé, d’effusions charnelles recommencées, sitôt les cimes du plaisir atteintes.
Comment s’arracher – en effet – aux suaves caresses de Patricia, à ses baisers soyeux comme un pétale de rose, à ses gourmandes turgescences ?
Est-il supplice plus douloureux que de quitter cette chaleureuse hôtesse au visage de poupée, aux courbes vertigineuses, au sourire plus radieux qu’un bouillant soleil ?
Allons bon ! Il est plus aisé pour un chameau de passer par le chas d’une aiguille, que pour un amant avisé d’abandonner les bras hospitaliers de Patricia.
Vous en doutez ? Tant mieux ! Il me sera donc loisible – ainsi qu’aux esthètes authentiques – de m’enivrer, encore et toujours, des charmes indicibles de cette « Aphrodite » à l’humour décapant, et au cœur chevaleresque.
Si tous les chemins mènent à Rome, celui du bonheur conduit inéluctablement à Patricia.
Cette hôtesse au charme incandescent (visage angélique, opulente poitrine, taille de guêpe, longue crinière de soie) accueille le visiteur en tenue affriolante, perchée sur talons aiguilles ; affichant sourire enjôleur et féminité absolue.
S’abandonner dans les bras de la Belle, c’est pénétrer dans l’antichambre du Paradis ; Patricia – regard de braise, derme satiné – embrasse à la perfection et caresse avec délectation.
Puis au terme de vertigineux préludes, cette lascive Maîtresse – fourbissant et dardant son glaive – réveillera au tréfonds de votre âme un geyser intarissable.
Mais cela serait vain, si cette « Vénus » ne comptait mille autres qualités ; un art consommé de la conversation (son Français est fort correct), une patience infinie, un humour délicieux, un soupçon de folie douce…
Vous l’aurez compris : si Rome est « l’alpha et l’oméga » de la chrétienté, Patricia est la quintessence de l’hermaphrodisme.
La beauté est un fruit envoûtant, dont la suave liqueur enivre inexorablement
A quoi bon lutter ? Vous reviendrez vers Patricia, comme le fleuve retourne à la mer et la pluie aux cieux ; sa féminité absolue, son humour taquin, sa patience infinie enchaîneront votre cœur à sa folle raison.
Lassés de mille conquêtes insignifiantes, vous capitulerez avec bonheur ; blottis contre la peau satinée de cette sculpturale déesse.
Sa bouche de velours gourmande happera vos coussinets d’amour - buvant votre souffle tiède ; sa langue humide dessinera le contour de votre oreille ; ses lèvres charnues distilleront leurs baisers langoureux sur vos torse et nuque ; ses mains câlines glisseront sur votre épine dorsale comme l’archet sur le violon.
Puis au terme d’une cavalcade ébouriffante - allumant un volcan incandescent au creux des reins ; sa longue chevelure parfumée d’embruns - rejetée en arrière - caressera vos cuisses vacillantes.
Et lorsque vous vous abandonnerez à la douce étreinte de ses bras énamourés - pressés contre ses lourdes mamelles ; vous comprendrez, alors, qu’il n’est point d’autre Paradis.