Quand arrive la nuit je suis en manque tel un fumeur d'opium dont les volutes stagnent autour de lui. Quand le soleil se couche dans son brassier au ponant mes doigts dessine ton visage ,ta silhouette les courbes gracieuses de ton corps et mon être qui frémit du besoin ardent de ton corps de te contempler , de surprendre ton sourire te serrer dans mes bras .
Tu me manques cela tu l'as compris. Combien de jours encore à passer ainsi . Avant une autre rencontre. J'en suis malade de ton absence . Hésitant et étant novice je ne pensais pas devenir si vite accro d'elle . J'aimerais me l'apprivoiser rien que pour moi .